Des chansons a l’énergie Pop à la croisée des Balkans et de la folk. Norig & No Gypsy orchestra est une invitation à découvrir les horizons chamarrés d’une artiste saisissante. Dans cet album pop-world unique en son genre, à la fois viscéral, éclatant et sensuel, la voix puissante de la chanteuse provoque ivresse et frisson. Augustin BONDOUX / Patrick FRÉMEAUX
Pop energy songs at the crossroads of Gypsy music and Folk. Norig & No Gypsy orchestra is an invitation to discover the colorful horizons of a striking artist . In this one-of-a-kind Pop/World album, visceral , radiant and sensual, the intoxicating power in Norig's voice gives you the shivers.
DUMBALA DUMBA • CIRIRIP • DZELEM DZELEM • SARAIMAN • ZILE DE LA MINE • LE SHAVORE • THE GYPSY’S WIFE • NELUTA • À TON ÉTOILE • CAMARAULA
DIRECTION ARTISTIQUE : NORIG / PRODUCTION : MUSIQUES DU COMPTOIR
Liste des articles de presse consacrés à ce CD :
- « Un bijou » par FIP « La chanteuse française d’origine espagnole, passionnée de culture tzigane, sort un nouvel opus pénétrant entre pop et folk. Initiée très jeune au chant tzigane, Norig s'est éprise du cri d'un peuple qui fait écho à son âme, après avoir vu Le Temps des Gitans de Kusturica. Elle s'est imprégnée de cette culture et lui rend hommage à sa façon. Après Ionela chanté en français, entre ballade et rock, elle dévoile le 27 mars prochain son dernier disque Norig & No Gypsy Orchestra, aux couleurs plus pop, réalisé avec des musiciens incroyables et inventifs, la meilleure des teams, souligne t-elle. Depuis son premier album Gadji, aux croisements des traditions balkaniques, du jazz manouche et du tango, Norig, surnommée alors la “nouvelle voix tzigane française” s'est nourrie de belles rencontres avec Teofilo Chantre, Babx ou encore, le réalisateur Tony Gatlif. Ce dernier l’invitait sur la B.O. du film Exils et sur le spectacle Django Drom, aux côtés de Didier Lockwood, Biréli Lagrène et Stochelo Rosenberg, puis de nouveau sur son film Indignados (2012). On se souvient aussi de sa participation au “Cabaret déraciné”, en hommage aux génocides arménien, juif et tzigane, aux côtés de la pianiste Macha Gharibian. On aime ce chant viscéral à la croisée des Balkans, qui évolue entre pop et folk moderne. Un bijou à se mettre dans les oreilles si l'on ne craint pas d'être secoué. » Par Catherine CARETTE - FIP