« La belle leçon de Pierre Vidal Naquet » par Le Monde

[...] Mais en même temps, il ne perd jamais de vue qu’il s’agit d’abord d’une œuvre poétique, créée pour le plaisir, souligne la brutalité de quelques scènes, l’atmosphère dramatique des unes et burlesque des autres, fait ressortir l’humour dont le poète accompagne à l’occasion des scènes tragiques comme celle de Polyphème. Que vous soyez ignorant d’Homère ou son lecteur assidu, l’envie vous saisira vite de lire, ou mieux de réentendre, les deux poèmes.[...] Maurice SARTRE - LE MONDE