Stevie Wonder - 1962
Stevie Wonder - 1962
Ref.: FA5898

Fingertips - Soul Bongo - Hallelujah I Love Her So

Stevie Wonder

Ref.: FA5898

Direction Artistique : OLIVIER JULIEN

Label :  FREMEAUX & ASSOCIES

Durée totale de l'œuvre : 1 heures 15 minutes

Nbre. CD : 1

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Présentation

De l’implacable « Fingertips » aux furieuses reprises de l’oncle Ray, cette anthologie regroupe entre autres les deux premiers albums de Stevie Wonder. Appelé alors Little Stevie, ce génie précoce de 12 ans, égérie de la Tamla Motown, tape fort et pose les premières pierres de la révolution soul !
Patrick FRÉMEAUX 



THE JAZZ SOUL OF LITTLE STEVIE : FINGERTIPS • SQUARE • SOUL BONGO • MANHATTAN AT SIX • PAULSBY • SOME OTHER TIME • WONDERING • SESSION NUMBER 112 • BAM. TRIBUTE TO UNCLE RAY : HALLELUJAH I LOVE HER SO • AIN’T THAT LOVE • DON’T YOU KNOW • THE MASQUERADE • FRANKIE & JOHNNY • DROWN IN MY OWN TEARS • COME BACK BABY • MARY ANN • SUNSET • MY BABY’S GONE. 45T : I CALL IT PRETTY MUSIC, BUT THE OLD PEOPLE CALL IT THE BLUES (PART 1) • I CALL IT PRETTY MUSIC, BUT THE OLD PEOPLE CALL IT THE BLUES (PART 2) • LA LA LA LA LA • LITTLE STEVIE WONDER & CLARENCE PAUL - LITTLE WATER BOY • CONTRACT ON LOVE • SUNSET.

DIRECTION ARTISTIQUE : OLIVIER JULIEN

Presse
Découvert par Ronnie White, membre du groupe soul the Miracles qui le présentera à Berry Gordy, fondateur de Tamla, une filiale de la Motown, Stevie Wonder signe en mai 1962, à l’âge de 11 ans, son premier 33-tours « The Jazz Soul Of Little Stevie » où il ne joue que de l’harmonica (magnifiquement) et des bongos. On y trouve la première version uniquement instrumentale de « Fingertips » avec un accompagnement à la flûte de thomas Bowles des Funk Brothers. On est loin de la version qu’il improvisera en avril 1963 au Regal Theater de Chicago et qui deviendra très vite numéro 1 au hit-parade Billboard. Une star était née ! Pas encore en septembre 1962 quand il publie son premier album vocal « Tribute To Uncle Ray » en hommage à Ray Charles. Sa voix juvénile très haut perchée n’a pas encore muée. Certes il swingue irrésistiblement mais, trop gamin, a du mal à convaincre dans les « love songs » comme « Drown in My Own Tears » ou « Come Back Baby ».  Anecdote personnelle : je me souviens de sa première apparition en France le 13 décembre 1963 à l’Olympia à l’âge de 13 ans sous le nom de Little Stevie Wonder. Le spectacle s’appelait « Les idoles de jeunes » avec, en vedette, Dionne Warwick & The Shirelles. Mais aussi Frank Alamo, les Surfs et… le tout jeune Pierre Perret qui chanta courageusement, seul avec sa guitare, deux chansons dont « Le Tord-boyaux ». La soirée était présentée par un couple improbable : Jean-Marie Proslier et Suzanne Gabrielo ! Par Pascal ANQUETIL – JAZZ MAGAZINE
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« On connaît l’adage : même les plus grands ont commencé petits. Mais au registre des enfants prodiges, il en fut un qui surpassa en précocité Frankie Lymon, Jonny Lang et Monster Mike Welch (mais ni Mozart, ni Jordy, ni Mickey Rooney, ni Judy Garland tout de même), puisque celui que l’on désignait à ses débuts sous le sobriquet de Little Stevie Wonder enregistra son tout premier single à la veille de son douzième anniversaire… Aveugle de naissance (à la suite d’un incident de couveuse!), le dénommé Stevland Hardaway Judkins publia dans la foulée deux premiers LPs et deux autres singles, dont l’irréprochable Maison Frémeaux nous livre à présent l’intégralité des sessions captées “cette année-là” (soit 25 titres). S’ouvrant sur l’instant-smash-hit “Fingertips”, cette collection s’entame par son tout premier album (entièrement instrumental, et sobrement intitulé “The Jazz Soul Of Little Stevie”). En neuf plages (et moins d’une demi-heure), ce premier essai propulsa d’emblée notre surdoué précoce au frontispice des American Bandstands, grâce à une promotion savamment agencée par Berry Gordy, patron de Tamla. Toutes de la plume de Stevie, on y perçoit l’influence prégnante des orchestrations soyeuses de Quincy Jones, Lalo Schifrin et Ray Charles, qui dominaient alors les charts d’un rhythm n’ blues en pleine expansion. Le timbre encore juvénile du gamin ne s’y faisait pas encore entendre, mais son jeu d’harmonica (“Some Other Time”, “Session Number 112”), d’orgue (“Wondering”) et de piano (“Bam”) s’y distinguait déjà, au milieu de percussions latin-jazz débridées (“Soul Bongo”, “Manhattan At Six”) et de cuivres triomphaux (“Paulsby”, en hommage à son mentor et prof de piano, Clarence Paul). Pour son second LP de l’année, notre Wonder kid fut enfin autorisé à donner de la voix, et c’est heureux puisqu’il s’agit de l’hommage d’un jeune disciple envers l’un de ses modèles. “Tribute To Uncle Ray” s’avère en effet un coup de chapeau appuyé au grand Ray Charles, et il eût été dommage de se contenter en la matière de versions instrumentales de certains de ses classiques. En dépit de leur fidélité aux arrangements originels, on ne peut contester le décalage qu’y introduisit le registre vocal pré-pubère de Little Stevie dès sa version de “Hallelujah I Love Her So”, même si la plupart de ses réinterprétations se hissent à un niveau plus qu’honorable (ainsi de “Don’t You Know”, “The Masquerade”, “Mary Ann”, “Come Back Baby” et “Drown In My Own Tears”, où sans atteindre encore la dextérité du Genius, le clavier de Stevie et ses vocalises n’en emportent pas moins le morceau). Culminant leur timing cumulé à une petite heure, ces deux Long Players s’augmentent judicieusement des faces A et B des trois singles qui les précédèrent, au rang desquels on distinguera sans peine les deux versions (une mid-tempo-twist et une lente bluesy) de “I Call It Pretty Music, But The Old People Call It The Blues”. Seule réserve relative à cette compilation, on eût apprécié que l’anonymat des session men qui accompagnèrent le gamin lors de ces séances fusse enfin levé (lors de sa future réédition, peut-être?). Sinon, rien à redire, ça reste du nanan de bout en bout. » Par Patrick DALLONGEVILLE – PARIS MOVE
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« Un artiste légendaire dès l’enfance J’ai eu la chance de voir et d’entendre cet immense artiste de la musique afro-américaine en 2009, lors du 30ᵉ Festival international de jazz de Montréal, puis au Centre Bell. Ses chansons emblématiques, telles que « Sir Duke » et « Superstition », ont contribué à sa renommée internationale, lui conférant le statut de légende vivante avec une carrière qui s’étend sur plus de soixante ans. Né le 13 mai 1950 à Saginaw, dans l’État du Michigan, Stevie Wonder est tombé dans l’oreille d’Olivier Julien, l’un des maîtres d’œuvre de la maison de disques Frémeaux & Associés. Les débuts du jeune prodige Après avoir dirigé plusieurs intégrales consacrées à des artistes tels que Boris Vian, Serge Gainsbourg, Alain Goraguer, Georges Delerue ou Blossom Dearie, Olivier Julien décortique avec intelligence les débuts de Stevie Wonder. L’artiste enregistre à l’âge de 11 ans son premier 45 tours pour le label Tamla. Suivront The Jazz Soul of Little Stevie Wonder et Tribute To Uncle Ray, un magnifique hommage à son mentor, Ray Charles. Un jazz vibrant, empreint de soul Du jazz certes empreint de soul, jamais mécanique et hautement inflammable : cette réédition nous rappelle que le jeune Stevie est également un admirable harmoniciste, certainement influencé par le légendaire Toots Thielemans. Un plongeon dans une époque lumineuse Pour échapper aux délires économiques et trompeurs d’un individu désaxé, plongeons dans cette époque merveilleuse. Laissons-nous emporter par la musique sincère et vibrante de ce génie précoce. » Par Christophe RODRIGUEZ – LA METROPOLE
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« Stevie Wonder, la star légendaire du label Motown, effectuera à la rentrée une grande tournée européenne, la première depuis une décennie. Cette série de concerts débutera le 8 septembre prochain à Birmingham, au Royaume-Uni. Le chanteur qui a remporté 28 Grammy Awards dans sa carrière passera également par Manchester et l'O2 Arena de Londres.En France, Stevie Wonder se produira à Paris le 28 septembre prochain. (...) Stevie Wonder a vendu plus de 70 millions d'albums depuis sa collaboration avec le label Motown à l'âge de 11 ans. » Par COSMOPOLITAN
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    Fingertips
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:02:56
    1962
  • 2
    Square
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:02:59
    1962
  • 3
    Soul Bongo
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:02:18
    1962
  • 4
    Manhattan at Six
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:03:44
    1962
  • 5
    Paulsby
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:02:44
    1962
  • 6
    Some Other Time
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:05:08
    1962
  • 7
    Wondering
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:02:49
    1962
  • 8
    Session Number 112
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:03:15
    1962
  • 9
    Bam
    Stevie Wonder
    Stevie Wonder
    00:03:35
    1962
  • 10
    Hallelujah I love Her So
    Stevie Wonder
    Ray Charles
    00:02:30
    1962
  • 11
    Ain’t that Love
    Stevie Wonder
    Ray Charles
    00:02:43
    1962
  • 12
    Don’t you Know
    Stevie Wonder
    Ray Charles
    00:03:03
    1962
  • 13
    The Masquerade
    Stevie Wonder
    Alie Wrubel
    00:04:17
    1962
  • 14
    Frankie & Johnny
    Stevie Wonder
    Clarence Paul
    00:02:51
    1962
  • 15
    Drown in my Own Tears
    Stevie Wonder
    Henry Glover
    00:03:59
    1962
  • 16
    Come Back Baby
    Stevie Wonder
    Ray Charles
    00:02:49
    1962
  • 17
    Mary Ann
    Stevie Wonder
    Ray Charles
    00:02:58
    1962
  • 18
    Sunset
    Stevie Wonder
    Clarence Paul
    00:03:32
    1962
  • 19
    My Baby’s Gone
    Stevie Wonder
    Berry Gordy
    00:02:28
    1962
  • 20
    I Call it Pretty Music, but the Old People Call it the Blues (Part 1)
    Stevie Wonder
    Clarence Paul
    00:02:30
    1962
  • 21
    I Call it Pretty Music, but the Old People Call it the Blues (Part 2)
    Stevie Wonder
    Clarence Paul
    00:02:49
    1962
  • 22
    La la la la la
    Stevie Wonder
    Clarence Paul
    00:02:17
    1962
  • 23
    Little Stevie Wonder & Clarence Paul - Little Water Boy
    Stevie Wonder
    Clarence Paul
    00:02:37
    1962
  • 24
    Contract on Love
    Stevie Wonder
    Janie Bradford
    00:02:13
    1962
  • 25
    Sunset
    Stevie Wonder
    Clarence Paul
    00:02:53
    1962
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Stevie Wonder 1962

Fingertips – Soul Bongo – Hallelujah I Love her So

Par Olivier Julien

 

Stevie Wonder, né Stevland Hardaway Judkins, voit le jour le 13 mai 1950 à Saginaw dans l’état du Michigan aux États-Unis ; il est le troisième enfant d’une famille qui comptera six enfants. Son père, Calvin Judkins, est marchand de rue et vit d’une petite pension militaire, tandis que sa mère Lula Mae Hardaway, née Lula May Pitts le 11 janvier 1932, est serveuse. Elle a deux enfants d’une union précédente avec Paul Hardaway.

Né prématurément, Stevie Wonder est placé en couveuse et perd la vue à la suite d’une oxygéno­thérapie à des niveaux trop élevés qui provoquent une rétinopathie du prématuré. Lorsqu’il a quatre ans, sa mère quitte son père pour retrouver Paul Hardaway et emménage à Detroit. Stevie Wonder s’initié très tôt à la musique et joue du piano et de l’harmonica ainsi que divers instruments de percussion tout en etant assidu à la chorale de l’église pentecôtiste. Il commence à enregistrer dès l’âge de huit ans et suit les cours de piano de Clarence Paul. C’est Ronnie White, compositeur du groupe soul The miracles accompagnant Smokey Robinson, qui lui donne sa première chance. Le petit Stevie signe alors avec le label Tamla à l’age de onze ans et sort son premier quarante-cinq tours I call it pretty music, but the old people call it the blues (45 tours SP 17 cm Tamla 54061) en mai 1962 avant un album instrumental The Jazz Soul Of Little Stevie (Tamla TM 233) en septembre sous le nom de Little Stevie Wonder. Le mois suivant, sort le premier trente-trois tours en tant que chanteur : Tribute To Uncle Ray (Tamla TM 232) en hommage à Ray Charles ainsi qu’un quarante-cinq tours La la la la la avec en face B un duo avec Clarence Paul : Little Water Boy (45 tours SP 17 cm Tamla 54070) puis en décembre le simple Contract on love / Sunset. (45 tours SP 17 cm Tamla 54074). Il obtient son premier numéro un avec le titre Fingertips et compose pour differents artistes du label, ses premiers disques génèrent trente millions de dollars.

En 1966, avec des ventes qui baissent et la voix qui mue, Berry Gordy, dirigeant du label Motown hésite à renouveler son contrat mais Sylvia Moy, compositrice et productrice, le convaint de lui donner une dernière chance. Le succès est de retour, Stevie se produit au Harlem cultural festival puis, après de longues tractations avec Gordy, il devient son propre producteur pour l’album Signed, Sealed and Delivered qui sort en 1970.

Robert Margouleff et Malcolm Cecil, les pionniers de la musique électronique, lui font découvrir les synthétiseurs Moog et ARP qu’il utilise pour le disque Music of my mind qui se présente comme un album concept et non plus une suite de singles. Stevie Wonder aborde les thèmes sociaux dans les albums Talking book et Innervisions avec Big brother et Living for the City tout en continuant à aligner les hits avec Superstition et You are the Sunshine of my Life. Le 4 octobre 1975, il participe au Wonder dream concert à Kingston aux côtés de Bob Marley dont les bénéfices sont reversés à l’institut Jamaïcain pour les aveugles. Dans l’album Songs in the Key of Life, il rend hommage à Duke Ellington avec le titre Sir Duke qui devient un hit tout comme I Wish. Cet album est classé à la troisième place du classement des cinq cents meilleurs albums de tous les temps établis par le magazine Rolling Stone en 2020. En 1977, il se produit à Lagos au Nigeria dans le cadre du festival FESTAC 77. Dans l’album de 1980, Hotter than July, Stevie Wonder rend hommage à Bob Marley sur Master blaster (Jammin’) et milite pour l’instauration d’un jour férié national en mémoire de Martin Luther King avec le titre Happy Birthday. Il aura gain de cause en 1986 lorsque Ronald Reagan instaure le troisième lundi du mois de janvier comme jour férié de commémoration. En 1982, il participe à l’album Tug of War de l’ex Beatles Paul McCartney sur le duo Ebony and Ivory qui se classe numéro un des charts. Stevie Wonder remporte l’Oscar de la meilleure chanson originale pour I Just Called to Say I Love You extrait du film The Woman in Red (La fille en rouge) qui se classe numéro un en Grande-Bretagne pendant six semaines en 1984 et figure désormais parmi les vingt meilleures ventes de disques de l’histoire au Royaume-Uni. L’année suivante, il obtient un nouveau hit avec Part-time lover extrait de l’album Square Circle et fait partie du collectif USA for Africa pour la chanson We Are the World.

En 1987, l’album Characters est un succès et contient notamment un premier duo avec Michael Jackson : Get it. Un second, Just Good Friends, paraît la même année sur l’album Bad de Michael Jackson. En 1989, il est intronisé au Rock and Roll Hall of Fame et en 1991, il signe la bande originale du film Jungle fever réalisé par Spike Lee. Après huit ans de travail, il sort l’album Conversation pieces en 1995 et reçoit un Lifetime achievement award aux Grammy Awards de 1996 qui récompense l’intégralité de sa carrière avant un Grammy Hall of Fame Award pour le single Superstition en 1998 puis les albums Talking book et Innervisions sont primés l’année suivante. En 2002, ce sont l’album Songs in the key of life et le single You are the sunshine of my life qui sont récompensés. En 2006, il collabore avec les rappeurs Busta Rhymes et Snoop Doggy Dog. L’album A time to love sort en 2005, puis il prend part à la campagne de Barack Obama en modifiant les paroles de I wish et Sir Duke et en enregistrant un clip politique en sa faveur. Pour la victoire du candidat, il interprète aux côtés de Shakira et Usher, le titre Higher ground devant trois cent mille personnes. En 2009, il clôt le festival Mawazine Rythmes du monde de Rabat avant d’ouvrir le Festival de jazz de Montréal devant deux cent mille personnes et chante à la cérémonie d’hommage à Michael Jackson. Il fond en larmes en interprétant The way you make me feel de Jackson lors des concerts du vingt-cinquième anniversaire en l’honneur du Rock and Roll Hall of Fame. En décembre, il est nommé messager de la paix au siège de l’ONU lors de la journée internationale en faveur des personnes handicapées.

En 2010, il se produit en France aux arènes de Nîmes et reçoit la médaille de Commandeur des arts et lettres ainsi qu’une Victoire d’honneur aux Victoires de la musique.

Le 29 septembre 2011, il apparaît au festival Rock in Rio 4 puis l’année suivante, il rend hommage à son amie Whitney Houston lors de la cérémonie d’adieu durant laquelle il interprète avec beaucoup d’émotions la chanson modifiée pour l’occasion Ribbon in the sky. Le 4 juin 2012, il participe au concert donné pour le jubilé de diamant de la reine Élisabeth II. Il reprend en duo avec Céline Dion le tube Overjoyed en 2013 pour l’album Loved me back to life de cette dernière. En 2016, il apparaît en live à la cérémonie des Grammy Awards, aux côtés de Daft Punk, Pharrell Williams, Nile Rodgers et Nathan East et enregistre en duo avec Ariana Grande le titre Faith pour le film d’animation Tous En Scène. Le 13 mai 2024, jour du soixante-quatorzieme anniversaire de Wonder, le président ghanéen Nana Akufo-Addo lui a conféré la citoyenneté ghanéenne. Stevie Wonder a prêté le serment d›allégeance et a reçu son certificat de citoyenneté à la Jubilee House à Accra.

 

Stevie Wonder a été nommé à soixante-quatorze reprises et a reçu vingt-cinq récompenses aux Grammy Awards. Il est reconnu interna­tiona­lement et reste une référence pour de nombreux artistes et personnalités.

 

Olivier Julien

© 2025 Frémeaux & Associés

 

 

DISCOGRAPHIE

 

The Jazz Soul Of Little Stevie

1 - Fingertips (Little Stevie)

2 - Square (Little Stevie)

3 - Soul bongo (Little Stevie)

4 - Manhattan at six (Little Stevie)

5 - Paulsby (Little Stevie)

6 - Some other time (Little Stevie)

7 - Wondering (Little Stevie)

8 - Session number 112 (Little Stevie)

9 - Bam (Little Stevie)

Tamla TM 233

 

Tribute To Uncle Ray

10 - Hallelujah I love her so (Ray Charles)

11 - Ain’t that love (Ray Charles)

12 - Don’t you know (Ray Charles)

13 - The masquerade (Alie Wrubel / Herbert Magidson)

14 - Frankie & Johnny (arrangements by Clarence Paul)

15 - Drown in my own tears (Henry Glover)

16 - Come back baby (Ray Charles)

17 - Mary Ann (Ray Charles)

18 - Sunset (Clarence Paul / Stevie Judkins)

19 - My baby’s gone (Berry Gordy)

Tamla TM 232

 

 

 

45T

20 -
I call it pretty music, but the old people
call it the blues (Part 1) (Clarence Paul / Berry Gordy)

21 - I call it pretty music, but the old people call it the blues (Part 2) (Clarence Paul / Berry Gordy)

45 tours SP 17 cm Tamla 54061

 

22 - La la la la la (Clarence Paul)

23 - Little Stevie Wonder & Clarence Paul - Little water boy (Clarence Paul)

45 tours SP 17 cm Tamla 54070

 

24 - Contract on love (Brian Holland / Janie Bradford / Lamont Dozier)

25 - Sunset (Clarence Paul / Stevie Judkins)

45 tours SP 17 cm Tamla 54074

 

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