-
Malavoi - par Lylo
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Habitées par le violoniste Mano Césaire et le chanteur Pierre Jabert, ces plages antillaises ont le parfum nostalgique des biguines et autres boléros. Les Caraïbes, à une encablure, envoient d’ingénus baisers. » par Lylo
-
Une vedette internationale jeune par Trad Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Mieux connu comme danseur et pédagogue du « Shivänjali», hommage gestuel très encodé au dieu Shiva, Raghunnath Manet propose ici, en 2 CD assez différents, sa facette d’instrumentiste. Sur le premier disque, accompagné au mrudangam (sorte de tabla horizontale et longue dont les deux peaux sont frappées), au ghatam (jarre- percussion) et, évidement, par le lancinant bourdon de la tempura, il interprète des râgâs du soir, dans un style souvent plus rythmique que recueilli, avec un goût pour des motifs répétitifs qui rappelle parfois plus la danse que le poème musical. Un visage original d’une tradition mieux connue au sitar. Le second CD fait entendre Raghunath Manet aux syllabes rythmiques, cet outil mnémotechnique des percussionnistes, véritable instrument vocal, dont les publics occidentaux sont friands. La partie mélodique proprement dite est tenue par un chanteur et une flûte, le tout enveloppé par le mrudangam et la tampura. Clairement voué à l’expression du corps, ce disque r [...]
-
Excellent album par Ecouter Voir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Cet excellent album consacré à R. Manet, joueur de veena sur le premier disque, et danseur scandant des syllabes rythmiques sur le deuxième, prouve encore une fois que les éditions de Frémeaux & Associés jouent dans la cour des grands." Ecouter Voir.
-
Tout simplement le plus grand danseur masculin de son continent par Christophe D
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Le jeune danseur Raghunat Manet ne se satisfait pas d'être tout simplement le plus grand danseur masculin de son continent - comme sa tournée française vient de le démontrer ; non, Raghunat Manet fait également valoir sa maîtrise instrumentale, prodigieuse dans l'art de la Veena !Ceux qui ne connaissent rien à la musique indienne peuvent se figurer la Veena sous la forme du "gaffophone" de la B.D. de Gaston Lagaffe, compromis entre la guitare, la contrebasse et l'aspirateur - non, sans rire, cet instrument aux profondes résonances fait merveille dans les méditations de Raghunat Manet, en solitaire ou en duo.Une porte ouverte sur les beautés de l'imaginaire indou." Christophe Deshoulières - Centre Presse, Courrier de l'ouest, Presse Océan, Le Maine libre, L'Eclair.
-
Moment magique par Le Nouvel Observateur
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Originaire de Pondichéry, Raghunath Manet, musicien, initié dès l’âge le plus tendre au chant carnatique, est aussi un étonnant danseur de Bharata Natyam dans lequel certains critiques ont vu le Noureev indien. Avec ses musiciens, il célèbre le cinquantième anniversaire de la déclaration des droits de l’homme. Pour partager ce moment magique, un double CD enregistré à Vienne. » par Le Nouvel Observateur.
-
Un cd qui ravira les amateurs de curiosités par le Musée du Quai Branly
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Qu’on ne s’y trompe pas ! Si le jazz fut la bande son des années folles, c’est du côté d’Honolulu qu’il faut aller chercher la part de rêve de l’entre deux guerres. En un CD et 18 titres, cette compilation des éditions Frémeaux ne déroge pas à la règle : des enregistrements de qualité, un livret bien documenté et illustré. Il n’en faut pas plus pour se laisser porter par les échos hawaïens de Mme Louise et Franck Ferera ou le Runnin’ Wild de Jacques Deport et son orchestre hawaïen… Un cd qui ravira les amateurs de curiosités ! » Nicolas Menut – Musée du Quai Branly
-
Irrésistible musique de danse aux parfums épicés comme leur jambalaya par le Mus
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« L’expression populaire de nos lointains "cousins français" d’Amérique se manifeste avant tout dans leur irrésistible musique de danse aux parfums épicés comme leur jambalaya. Puisant dans les plus anciennes traditions franco-acadiennes, elle mêle les vieilles danses françaises aux rythmes entraînant du blues et de la country music dans l’explosion des sons uniques, à la fois joyeux et mélancoliques, gais et nostalgiques, de l’accordéon et du violon, et avec la saveur d’une langue colorée et imagée. C’est cette culture toujours bien vivante, car ancrée dans de solides traditions, qu’explore Jean Buzelin grâce à des disques souvent très rares qui font revivre son histoire et son évolution depuis les premiers enregistrements de 1928 jusqu’à la veille de la guerre. Tout le pays des bayous tient dans la musique cajun." (Patrick Frémeaux, extrait des notes de pochette du double CD) » Musée du Quai Branly
-
Une culture caractérisée par l'insularité par le Musée du Quai Branly
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« La biguine, la valse et la mazurka créoles constituent les trois genres principaux d’une musique qui traduit admirablement la spécificité hétérogène d’une société et d’une culture caractérisées par l’insularité (Martinique, Guadeloupe), le métissage ethnique et la persistance d’anciennes traditions françaises. La biguine fait flore à Paris ; entre 1918 et 1939 surtout grâce aux musiciens antillais, au clarinettiste martiniquais Alexandre Stellio, au Bal colonial de la rue Blomet et aux grandes expositions internationales de 1931 et 1937. Les enregistrements réalisés à Paris entre 1929 et 1940 sont les plus intéressants, témoignant à la fois de la diversité des styles et des orchestres, biguine satirique, improvisations jazziques des orchestres de la Nouvelle-Orléans, influences de l’éclectisme parisien de l’époque. » (Patrick Frémeaux, extrait des notes de pochette du double CD) - Musée du Quai Branly