Intégrale Django Reinhardt Vol. 17 par JazzMan

« L’intégrale absolue. Daniel Nevers n’oublie rien, ni sur les disques publiés en doubles coffrets, ni dans les livrets (trente à quarante pages) parfois à la limite de l’indigeste. Dernier paru, le volume 17 n’est pas venu à bout des séances romaines du printemps 1949 abordées dès le volume 16. Avec Stéphane Grappelli et une rythmique italienne conventionnelle, qui laisse aux deux complices une liberté d mouvement dont ils n’avaient jamais disposé. » JAZZMAN

« L’intégrale absolue. Daniel Nevers n’oublie rien, ni sur les disques publiés en doubles coffrets, ni dans les livrets (trente à quarante pages) parfois à la limite de l’indigeste. Dernier paru, le volume 17 n’est pas venu à bout des séances romaines du printemps 1949 abordées dès le volume 16. Avec Stéphane Grappelli et une rythmique italienne conventionnelle, qui laisse aux deux complices une liberté d mouvement dont ils n’avaient jamais disposé. » JAZZMAN