Mademoiselle Swing Fourcade par Revue Etudes Tsiganes

L’univers est proche de celui du trio de Stéphane Grappelli avec Marc Fosset et Jean-Philippe Viret. Si le jeu de Florence est plus moderne, plus nerveux que celui du maître, son phrasé souple et sensible (cf. Sometime ago) n’oublie jamais le swing (cf. That’s all). L’alliance rythmique acoustique et solo électrique – excellent Marc Perez, toujours très musical – donne un mixte savoureux de swing manouche et de jazz américain. François COUVREUX, REVUE ETUDES TSIGANES