Opinion de François Mitterrand sur le Gaullisme en 1995

"Ce que la nature des choses et le verdict de l’Histoire me conduisent à garder comme des acquis précieux pour la France. Son rôle pendant la guerre, cette idée que rien n’est jamais perdu, le 18 juin et la suite appartiennent à l’Histoire (…) Sa prescience diplomatique, militaire et nucléaire (…) Les institutions de la Ve République – qu’on les approuve ou pas –, et donc la fondation d’un nouveau régime. Ce sont là des actes majeurs."
François Mitterrand, Mémoires interrompus, © 1995 Odile Jacob.