« Un de plus, mais un bon. » par Trad Mag

Loulou Boislaville dirigeait cet orchestre dans les années 1960/1970. Avec ce genre de groupe, la musique des Antilles s’est mise à voyager, à se faire connaître et aimer. A l’époque, des grandes tournées ont lieu pour des ensembles qui présentent des spectacles très complets avec danses, chorégraphies, évocations historiques, voire discours touristique ! Le groupe s’est d’ailleurs appelé Les Ballets Martiniquais puis Le Grand Ballet de la Martinique. C’est l’occasion de réentendre la biguine mais aussi des valses et mazurkas très enlevées sur clarinette et saxophone ou même accordéon. Pour les amateurs : un de plus, mais un bon.
Par Etienne BOURS  - TRAD MAG