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« Rendons à Pagnol… » Par Le Journal du Médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Après « Marius » et « Fanny », les éditions Frémeaux remettent à la disposition du public la dernière partie de la trilogie de Marcel Pagnol. L’éditeur a procédé à une véritable transformation du film en livre audio, dont une version où l’auteur fait office de narrateur entre les scènes et le dialogues. Ce coffret présente également une archive inédite dans laquelle Pagnol se confie sur la préparation du tournage de « César ». Comme le précise Patrick Frémeaux, éditeur de ce trésor : « La puissance évocatrice de la dimension sonore confère à l’œuvre une extraordinaire présence et révèle l’intemporalité des thèmes éternels si bien narrés par Marcel Pagnol ».Par B.R. – LE JOURNAL DU MEDECIN
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« Nous en apprenons un peu plus sur ce mouvement… » Par Le Cri du Coyote
Catégories : Article de presse ( Article de presse )La lecture du livret de cette compilation 3 CD, de Bruno Blum, m’en a appris un peu plus sur un mouvement dont je ne connaissais que les reprises de titres R’n’R ou rockabilly, les Cramps, plus psychobilly que punk rock pour moi, en tête, piochés chez des artistes connus ou plus obscurs, dont un Ricky Nelson (« Lonesome town ») loin de l’image rebelle, alors que le punk rock a ignoré Gene Vincent, collant pourtant mieux à son image. D’autres reprises titres, des New York Dolls, des Sex Pistols, ou des Ramones, ne sont pas mentionnés. Cette anthologie plonge jusqu’en 1926 et fait découvrir des titres obscurs, grosso modo par ordre chronologique. Le premier CD est d’intérêt moindre pour les rockeurs, avec les morceaux jazz d’avant 1946, puis on passe à du rockin’ r’n’b solide, voire sauvage (« Hurry hurry babe », Roy Brown). Les deux autres comportent les versions originales, plus des morceaux illustrant les propos du livret sur les thèmes et inspirations du punk rock. A l’écoute, o [...]
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“A thoroughly entertaining an educative release” Par Blues & Rhythm
Catégories : Article de presse ( Article de presse )This kind of material is becoming more familiar in this “roots of soul” context these days, but Frémeaux offers a more pared down history than some others. It works too, as the listener is taken from the early days of the recording of black music to something that has an obvious correlation in soul music very quickly. It is interesting an instructive to compare, on the first disc, Blind Willie Johnson’s opener with Marie Knight’s version of “I Just Can’t Keep From Crying Sometimes”. At the end of the same disc, The Southern Tones, recording for Duke in January 1954, provide the inspiration for Ray Charles and “I’ve Got A Women”, recorded ten months later and which rather neatly opens disc two. I do not recall hearing Little Miss Cornshucks’ version of “Try A Little Tenderness” before either, though I know Otis Redding’s cover well. The second disc contains many performers who cut classic soul material, and the line between r&b and soul music in indeed blurred here; this confusion [...]
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“There are plenty of instrumentals” par Pipeline
Catégories : Article de presse ( Article de presse )(Frémeaux FA5396) is also a various artists collection – three CDs this time – looking at Jamaican music’s roots in shuffle and including both American and Jamaican rhythm and blues. There are plenty of instrumentals, 15 in all, with many hot horn blasters like Todd Rhodes’ “Page Boy Shuffle”, guitar workouts such as Lowell Fulson’s “Guitar Shuffle” and Johnny Otis’s incredible “Boogie Guitar”, and more specifically Jamaican (though still strongly blues-based) numbers including Count Ossie’s “ African Shuffle”Par Norman DARWEN - PIPELINE
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« Le français est tendance chez nos vocalistes » par Jazzmagazine Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )[…] Annick Tangora mérite pleinement la compagnie de Marie Canonge, Thomas Bramerie, Tony Rabeson ou Alain Jean-Marie, lorsqu’elle écrit en français sur les musiques de ses comparses, de Michel Petrucciani et ses comparses […]. Philippe VINCENT -JAZZMAGAZINE/JAZZMAN
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« Un instrument qui n’a jamais cessé de fasciner » par Jazzmagazine Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Cette anthologie retrace en trois CD l’histoire et l’évolution d’un instrument qui n’a jamais cessé de fasciner les foules. Rigueurs du domaine public oblige, les pionniers et les novateurs sont privilégiés, d’Eddie Durham à Bo Diddley en passant par Scotty Moore et Ernest Ranglin. On conseille aux jazzfans d’enchaîner avec le coffret « Progressions : 100 Years Of Jazz Guitar », qui commence en 1906 et se termine en 2001. JF - JAZZMAGAZINE/JAZZMAN
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« Elle touche à son sommet » par Jazzmagazine Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Pionnière avant-gardiste et post-moderne, telle est Mary Lou. 1927 : à dix-sept ans, elle prête aux Jeanette’s Synco Jazzer un piano pétri de stride et déjà contaminé par Earl Hines. Jean-Paul Ricard qui signe cette réédition, assisté de Jean Buzelin, nous la fait réentendre dix ans plus tard avec Andy Kirk et ses Twelve Clouds of Joy pour lesquels elle compose Walkin’ and Swingin’ dont Charlie Christian (qu’elle commanda à John Hammond ) reprendra un motif comme thème-riff des jam sessions du Minton’s (Down On Teddy’s Hill qui deviendra le Rhythm-a-Ning de Thelonious Monk). Mais voilà déjà huit ans qu’elle est la pompe à bonheur des Douze Nuages de joie de Kirk. En 1940, dix euphoriques cumulus de cette sélection plus loin (Twinlin’ et son piano gambadant pieds nus dans les premières vaguelettes de la plage, Mary’s Idea qui distille l’esprit de Kansas), prenant la tête de Six Men and a Girl et des Kansas city Seven, elle donne des ailes au Baby Dear de Bennie Moten et à son nouv [...]
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« La survenue de la grâce » par Jazzmagazine Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Rappelons que Scott Hamilton, méconnu de nos plus jeunes lecteurs, ravit leurs aînés par la promesse qu’il apporta au milieu des années 70 (il eut vingt ans en 1974) d’une continuation du middle jazz dans la fraîcheur, entendons par middle jazz une zone France entre swing et bop, et par fraîcheur ce qui permet à tout fruit de combiner fermeté de sa texture à l’épanouissement de saveurs toujours renouvelées au gré du temps qu’il fait. Pour le recevoir, le patron vibraphoniste de Caveau de la Huchette avait réuni un personnel de choix : Philippe Duchemin, habitué de cette voie du milieu où le précédèrent les idoles Erroll Garner et Oscar Peterson, Patricia Lebeugle, titulaire du Trio Duchemin et coutumière des aventures conduites par Dany Doriz, et Didier Dorise, grandi aux portes du club de Papa Doriz. Ne manquait plus que quelques interventions extérieures pour pimenter un programme empruntant à Benny Goodman (Slipped Disc), Charlie Christian (Air Mail Special), Johnny Mandel (He [...]