A chaque fois que je voyais Cabu...

A chaque fois que je voyais Cabu, par association d’idées, je me disais qu’il fallait que j’écoute Trenet. Je possède l’intégrale des ses chansons, dans l’édition Frémeaux. Mais j’ai jamais trouvé moyen de mettre la main dessus. Cabu n’est plus là. Par association d’idées, je me dis la même chose : il faut que j’écoute Trenet.
Joann Sfar . Paris . Février 2015