La quintessence d’un jazz distillé en 36 chefs-d’oeuvre par La Nouvelle République

« Opus 2 de ce qui est plus qu’une compilation : l’application de l’adage bien connu, « pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient ». Alain Gerber, insatiable sourcier, s’est replongé dans ses vieilles cires et ses infatigables vinyles pour en extraire une nouvelle fois la quintessence d’un jazz distillé en 36 chefs-d’œuvre… » A.D. – LA NOUVELLE REPUBLIQUE

« Opus 2 de ce qui est plus qu’une compilation : l’application de l’adage bien connu, « pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient ». Alain Gerber, insatiable sourcier, s’est replongé dans ses vieilles cires et ses infatigables vinyles pour en extraire une nouvelle fois la quintessence d’un jazz distillé en 36 chefs-d’œuvre. Le plus fin du gratin du swing s’y donne rendez-vous. Que retenir ? Tout. Malgré, et même surtout l’imperfection de certaines interprétations. Parce qu’elles reflètent un style, une époque, un talent, une émotion, un espoir, elles ont fait du jazz la musique même de la vie. Du « Salt Peanuts », de Dizzy Gillespie, au « China Boy », de Sidney Bechet, en passant par « The Man I Love », de Billie Holiday, il y a là des pierres blanches qui ont le scintillement – sentimentalement parlant – du diamant. Et puis, comme toujours, les textes de Gerber se savourent avec une telle délectation… » A.D. – LA NOUVELLE REPUBLIQUE