CHARLES AZNAVOUR - LIVE IN PARIS - 3 AVRIL 1962
CHARLES AZNAVOUR - LIVE IN PARIS - 3 AVRIL 1962
Ref.: FA5717

CHARLES AZNAVOUR

Ref.: FA5717

Label : Frémeaux & Associés

Total duration of the pack : 1 hours 10 minutes

Nbre. CD : 1

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Presentation

Charles Aznavour was about to turn 38, and he gave an accomplished 22-song recital that asserted his originality and earned him the recognition of both public and critics. The legend was beginning. Philippe COMOY

Recorded in 1962 — two years after his famous Alhambra recital, and four years before his first disc made with an audience — this is the rst live recording of Charles Aznavour released on disc. You can hear every nuance in the rich palette of music of one of the most important figures to represent French song internationally. Patrick FRÉMEAUX

The Live in Paris collection by Michel Brillié allows listeners to hear previously-unreleased recordings (made at concerts and private- or radio-sessions) by the great 20th stars in jazz, rock & roll and song. These “live” takes, and the artists’ rapport with their audiences, gives these performances an additional soul and sensibility in counterpoint to the rigorous demands of studio recordings. Particular care was taken when restoring the sound of these tapes in order to meet CD standards while preserving the original colours of the period.
Patrick FRÉMEAUX & Gilles PÉTARD



Tracklist
  • Piste
    Title
    Main artist
    Autor
    Duration
    Registered in
  • 1
    J'ai perdu la tête
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:55
    1962
  • 2
    Tu étais trop jolie
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:49
    1962
  • 3
    On ne sait jamais
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:17
    1962
  • 4
    Lucie
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:03:49
    1962
  • 5
    L'amour, c'est comme un jour
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:03:54
    1962
  • 6
    Trousse chemise
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:40
    1962
  • 7
    Je m'voyais dejà
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:03:23
    1962
  • 8
    Monologue sur Viens
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:01:36
    1962
  • 9
    Deux guitares
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:04:09
    1962
  • 10
    Alleluia
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:58
    1962
  • 11
    La marche des anges
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:29
    1962
  • 12
    L'enfant prodigue
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:31
    1962
  • 13
    Esperanza
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:38
    1962
  • 14
    Plus heureux que moi
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:26
    1962
  • 15
    Parce que
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:26
    1962
  • 16
    Tu n'a plus
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:03:33
    1962
  • 17
    Je veux te dire adieu
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:20
    1962
  • 18
    C'est merveilleux l'amour
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:04:23
    1962
  • 19
    Viens
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:04:03
    1962
  • 20
    Comme des étrangers
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:02:26
    1962
  • 21
    Le carillonneur
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:03:13
    1962
  • 22
    Il faut savoir
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:03:33
    1962
  • 23
    Tu te laisses aller
    Charles Aznavour
    Charles Aznavour
    00:04:15
    1962
Booklet

FA5717 Aznavour


CHARLES
AZNAVOUR

Live in Paris
3 AVRIL 1962
La collection des grands concerts parisiens
Dirigée par Michel Brillié et Gilles Pétard
Charles Aznavour, Olympia 1962
Par Philippe Comoy
Un chanteur mondialement reconnu
Charles Aznavour est, sans doute, le chanteur français le plus connu au monde.
Le 24 août 2017 son étoile a été inaugurée sur le fameux Walk of Fame d’Hollywood Boulevard.
Déjà en 1998, il arrivait en tête, devant Presley et Dylan, d’un sondage organisé par CNN et Timeonline pour désigner le chanteur du siècle.
Mais cette reconnaissance planétaire méritée a été longue à venir pour celui qui avait été surnommé « Le petit Charles », en référence au « Grand Charles » Trenet, ou encore « Has no voice » par des critiques US.
Au-delà de son talent, elle est le fruit de son professionnalisme, de sa ténacité, de son perfectionnisme. Elle est venue étape par étape, au fil des décennies.
Aznavour et l’Olympia
Quand il s’apprête à chanter en vedette sur la scène de l’Olympia, le 3 avril 1962, Charles Aznavour connait déjà bien ce music-hall mythique réouvert en 1954.
Il y a chanté pour la première fois le 22 juin 1955 en première partie de Sidney Bechet, puis à nouveau en décembre 55 et janvier 56, avec Roger Pierre et Jean-Marc Thibault (Aznavour leur envoie ce télégramme : « Mes enfants, c’est le triomphe, les laryngiteaux se tiennent Paris ») et aussi à partir du 28 février 1957.
En 1958 il espère un passage en vedette, mais se fâche avec Bruno Coquatrix. La brouille durera 4 ans.
Aznavour 1952 - 1962
Charles Aznavour est auteur de chansons et également compositeur. Son statut d’interprète lui a été souvent contesté en raison de sa voix si particulière.
Aussi a-t-il longtemps pensé que son salut résidait d’abord dans ses talents de parolier.
En 1952, juste après la séparation du duo Roche – Aznavour, il fait la connaissance de Gilbert Bécaud chez Edith Piaf. Une amitié, non dénuée de rivalité1, est née et ils créent ensemble de nouvelles chansons tout au long des années 502.
Au début des années 60, il place ses compositions auprès de la nouvelle vague des yé-yés (Il accueille pendant un an Johnny Hallyday dans sa grande propriété de Galluis).
La concurrence entre chanteurs est alors vive. 1962 est l’année de sortie de « Et maintenant » (Bécaud), « La Javanaise » (Gainsbourg), « Ne me quitte pas » (Brel), « Pour une amourette » (Escudéro), « Une petite fille » (Nougaro).
Et sa qualité de chanteur ne commence à être vraiment reconnue qu’à partir du triomphe de son premier récital en vedette, en décembre 1960, à l’Alhambra. Elle éclate lors du récital de 1962 que nous présentons ici.
Musicorama du 3 avril 1962 : »Ce soir, Charles Aznavour chante pour vous »
« On ne peut pas commencer un concert au sommet et continuer à monter. Il faut des baisses de tension, des chansons qui font un peu penser, qu’on applaudit différemment. Alors, j’ai « Viens », des chansons inconnues, des secondes faces, des chansons très anciennes qui ne peuvent donner autant d’enthousiasme que les autres ».3
C’est un véritable tour de chant que nous propose Charles Aznavour.
Il s’y affirme avant tout comme le chanteur de l’amour, en analyste clinique de tous ses états.
Les 22 chansons qui le composent sont toutes de lui, comme auteur ou compositeur, seul ou en tandem (avec Gilbert Bécaud pour 3 d’entre elles).
Les dates de composition vont de 1952 pour la plus ancienne (Viens) à 1962 pour les plus récentes, créées juste avant ce concert (L’amour c’est comme un jour, Trousse chemise, Alléluia, Tu n’as plus).
A bientôt 38 ans, Aznavour est en pleine possession de son art de showman.
Sa tenue de scène est des plus classique : costume et cravate sombres, chemise blanche. La silhouette est mince, le geste vif. Le cheveu est noir, coupé court, les mèches déjà rares. Les yeux noirs, mobiles, tour à tour ironiques et charmeurs.
Il est accompagné par le groupe du talentueux François Rabbath, à la basse, et de ses frères. Il les a rencontrés à Beyrouth lors d’une tournée et ils seront ses accompagnateurs de 1957 à fin avril 1962, date à laquelle François Rabbath rejoint Barbara et participe au succès de « Nantes ».
Tout au long de ce concert, Charles Aznavour affirme sans concession son originalité.
Ce n’est pas un crooner comme Sinatra4 ou Bécaud5. C’est un « styliste », c’est-à-dire quelqu’un qui utilise la singularité, voire les limites de sa voix, pour, à force de travail, se forger une identité.
Et ce n’est pas un hasard s’il est admiré par une autre styliste Bob Dylan. Celui-ci le découvrira l’année suivante lors de son concert au Carnegie Hall et évoquera en 1964 « les pleurs de Charles Aznavour » dans un poème de la pochette de « The times they are a-changin’ ».
Dans une interview de novembre 1987, il déclarera « J’aime beaucoup Charles Aznavour, je l’ai vu dans les années 60 au Carnegie Hall et il m’a simplement explosé le cerveau ».
C’est bien cet effet que procure l’écoute du concert de l’Olympia.
Les chansons du récital
Certaines sont aujourd’hui un peu oubliées et méritent d’être redécouvertes.
D’autres ont franchi avec succès l’épreuve du temps et sont devenues des incontournables du répertoire de Charles Aznavour. Quelques commentaires sur certaines d’entre elles :
#1 – J’ai perdu la tête
Ce titre qui ouvre le récital est la face B du 45 tours « Tu t’laisses aller » qui le conclut.
#5 – L’amour c’est comme un jour.
Ce poème d’Yves Stéphane (de son vrai nom Montane) colle au personnage d’Aznavour. Il sera repris en 1967 par Nina Simone.
#6 – Trousse chemise
Ce titre avait été écrit par Jacques Mareuil pour Colette Renard, mais Charles Aznavour s’en empare.
#7 – Je m’voyais déjà
Instrumental de 1958 passé inaperçu, il devient un énorme succès en 1960 lors du récital de l’Alhambra.
#8/9 – Viens
Le monologue de présentation à la Jean Constantin raconte la création de cette chanson avec son complice Bécaud. Mais Aznavour est trop sérieux pour bien manier l’humour, et son interprétation se fait parfois un peu pesante.
#10 – Deux guitares
Son père chantait cet air en Russe. Aznavour l’adapte en Français, en ne gardant des paroles originales que quelques vers et le refrain : « Encore une fois, encore et encore une fois ».
#11 – Alléluia
Sur un air à la mode de gospel-twist, Aznavour tend la main à la jeune génération de chanteurs pour qui il écrira tant de tubes.
#14 – Esperanza
Aznavour donne des paroles françaises à l’ins­trumental de l’Espagnol Ramon Cabrera Argotes. Nino de Murcia en avait fait un succès en Espagne en 1961.
#19 – C’est merveilleux l’amour
C’est une chanson du film « Une gosse sensass » de 1957 où il tient un petit rôle. Elle démarre par un scat de 2 mn, tour de force vocal sur un rythme tropical de Gilbert Bécaud.
#22 – Il faut savoir
C’est son grand succès du moment, en tête du hit-parade 15 semaines, du 8 août au 30 octobre 1961, puis à nouveau du 27 janvier au 24 février 1962.
#23 – Tu t’laisses aller
Ce monologue misogyne écrit en 1958 pour l’acteur et chanteur Christian Méry devient ensuite un classique du répertoire d’Aznavour et conclut ce récital.
Philippe COMOY
Remerciements à Annie Larroque et Philippe Lesage
Bibliographie
Aznavour, le roi de cœur. Annie et Bernard Réval. Editions France-Empire. 2000
Schnock n°23. Charles Aznavour « Etre sur scène à 100 ans ». Juin 2017
Music-hall et café-concert. Andrée Sallée et Philippe Chauveaux. Editions Bordas. 1985

© FRÉMEAUX & ASSOCIÉS 2018
1. Une blague circule à l’époque : « Pourquoi Bécaud tourne-t-il la tête quand il joue du piano ? Pour voir si Aznavour n’est pas derrière ».
2. Cf. L’anthologie Gilbert Bécaud 1953-1959, Frémeaux FA5353.
3. Interview de Charles Aznavour par Bertrand Dicale. Le Figaro 6/10/2007.
4. Aznavour remonte sur la scène de l’Olympia deux mois plus tard pour présenter Sinatra au public français : « Frank Sinatra, Paris vous appartient » (on retrouve des extraits de ce concert dans le CD Frémeaux FA5470, Frank Sinatra Live in Paris – 5/7 juin 1962).
5. Pour Louis Skorecki, Bécaud est avec Jean Sablon le grand crooner français.

Charles Aznavour, Olympia 1962

By Philippe Comoy
A singer recognized worldwide
Without any doubt Charles Aznavour is the world’s best-known French singer.
On August 24, 2017 his star received its deserved place on Hollywood Boulevard’s famous Walk of Fame.
Already in 1998, Aznavour placed ahead of Presley and Dylan in a poll organized by CNN and Timeonline that designated the Singer of the Century.
But this much-deserved worldwide recognition was a long time coming for the man with two nicknames: for one, he was called “Little Charles” — an allusion to another French singer with the same first name, the “Great Charles” (Trenet) — but his American critics also referred to Aznavour as “Charles Has-No-Voice”.
Apart from any question of talent, however, the recognition Aznavour received was the fruit of his professionalism, and of his tenacity and perfectionism. And it didn’t happen overnight, but gradually, and over decades.
Aznavour and the Olympia
When preparing to take the stage of the Olympia as a star on April 3, 1962, Charles Aznavour was already very familiar with this legendary music hall that had reopened its doors in 1954.
He had sung there for the first time on June 22, 1955 as the opening act for Sidney Bechet, and then again that December and in January 1956, appearing on the same bill as Roger Pierre and Jean-Marc Thibault (Aznavour sent them this telegram saying, “My children, this is a triumph, the laryngitic are seizing Paris!”). He also appeared there beginning February 28, 1957, and the following year he had hopes of topping the bill but fell out with the theatre’s owner, Bruno Coquatrix. They would remain on bad terms for four whole years.
Aznavour 1952 - 1962
Charles Aznavour is both songwriter and composer, but his status as a performing artist has often been contested due to the particularities of his voice. As a result, Aznavour believed for a long time that the success of his future lay in his talents as a lyricist.
In 1952, just after the separation of the tandem named Roche – Aznavour, Charles made the acquaintance of Gilbert Bécaud at the home of Edith Piaf. A friendship began (not without some rivalry between them)1 and together Aznavour & Bécaud would go on to create new songs throughout the Fifties.2
In the early Sixties, Aznavour’s songs drew interest from performers belonging to the new “yé-yé” craze (notably Johnny Hallyday, who stayed at Aznavour’s manor in Galluis for a year).
Competition between singers was rife during this period. 1962 saw the release of «Et maintenant» (by Bécaud), «La Javanaise» (Gainsbourg), «Ne me quitte pas» (Brel), «Pour une amourette» (Escudéro) and also «Une petite fille» (Nougaro).
And his name as a singer only began achieving real recognition after he triumphed in December 1960 at the Alhambra in his first song recital as the star attraction. Inside two years it was obvious that Aznavour had arrived, as shown by his 1962 recital presented here.
“Musicorama” dated April 3, 1962: “This evening, Charles Aznavour sings for you.”
“You can’t begin a concert at the summit and continue to climb. The tension has to fall at times, and there have to be songs that make people think a bit, songs that bring a different kind of applause. So, I have “Viens”, and songs people don’t know, and B-sides, and also some very old songs that can’t cause as much enthusiasm as the others.” 3
What Charles Aznavour proposes here is an authentic song recital, in which he shows himself to be above all the singer of Love, a performer in the guise of a clinical analyst of each of Love’s states.
The 22 songs that make up this recital are all his own work — as either songwriter or composer — and all were written alone or in tandem (three of them with Gilbert Bécaud.)
The dates of their composing range between 1952 (the earliest being Viens) and 1962, with the most recent being those written just before this concert, i.e. L’amour c’est comme un jour, Trousse chemise, Alléluia, and Tu n’as plus.
At close to 38 years of age, Aznavour was in full possession of his means as a master in the art of showmanship. His stage dress was totally classical: a dark suit and tie, a white shirt. He cut a slim figure, his gestures rapid. His dark hair was cut short, already thinning in places, and his black eyes roamed constantly: his gaze was by turns ironic or charming.
His accompanists here are a group led by the talented bassist François Rabbath, together with his brothers. Charles had met them in Beirut while on tour and they would accompany him from 1957 until the end of April 1962, at which point François Rabbath would join singer Barbara (and take part in the latter’s success with the song “Nantes”).
Throughout this concert, Charles Aznavour is uncompromising in asserting his originality. This is no crooner like Sinatra4 or Bécaud5: this is a “stylist” at work, in other words, someone who makes use of the singularity, even the limits, of his voice to forge his own identity through sheer hard work. And it’s no coincidence that another stylist would hold Aznavour in such high esteem. Bob Dylan discovered Charles the following year when Aznavour sang at Carnegie Hall, and in 1964 Dylan referred to “the cries of Charles Aznavour” in the poem he wrote for the sleeve of his own record “The Times They Are A-Changin’”. In a November 1987 interview Dylan stated, “I like Charles Aznavour a lot. I saw him in sixty-something at Carnegie Hall and he just blew my brains out.”
And that is exactly the effect that listening to this Olympia concert procures.
Philippe COMOY
Adapted into English by Martin DAVIES
Thanks to Annie Larroque and Philippe Lesage
© FRÉMEAUX & ASSOCIÉS 2018

1. A contemporary joke was, “Why does Bécaud look behind him when playing piano?” Answer: “To see if Aznavour isn’t breathing down his neck.”
2. Cf. the anthology “Gilbert Bécaud 1953-1959”, Frémeaux FA5353.
3. Charles Aznavour interviewed by Bertrand Dicale. Le Figaro, October 6, 2007.
4. Aznavour went back onstage at the Olympia two months later to introduce Sinatra to the French public, saying “Frank Sinatra, Paris belongs to you.” (Excerpts from the concert can be found on the record “Frank Sinatra Live in Paris – 5/7 juin 1962” (Frémeaux FA5470).
5. For Louis Skorecki, Bécaud and Jean Sablon were the greatest French crooners.
Live In Paris 3 avril 1962
Musicorama Exceptionnel / Récital Charles Aznavour

 1. J’ai perdu la tête (Charles Aznavour)     2’55
 2. Tu étais trop jolie (Charles Aznavour)     2’49
 3. On ne sait jamais (Charles Aznavour)     2’17
 4. Lucie (Charles Aznavour)     3’49
 5. L’amour c’est comme un jour (Yves Montane / Charles Aznavour)     3’54
 6. Trousse chemise (Jacques Mareuil / Charles Aznavour)     2’40
 7. Je m’voyais déjà (Charles Aznavour)     3’23
 8. Monologue sur Viens (Charles Aznavour)     1’36
 9. Viens (Charles Aznavour / Gilbert Bécaud)     4’03
10. Deux guitares (Charles Aznavour)     4’09
11. Alléluia (Charles Aznavour)     2’58
12. La marche des anges (Charles Aznavour / Georges Garvarentz)     2’29
13. L’enfant prodigue (Jacques Plante / Charles Aznavour)     2’31
14. Esperanza (Argote Pavon - Abramo Ferrario- Charles Aznavour / Argote Pavon)     2’38
15. Plus heureux que moi (Charles Aznavour)     2’26
16. Parce que (Charles Aznavour / Gabriel Wagenheim)     2’26
17. Tu n’as plus (Charles Aznavour)     3’33
18. Je veux te dire adieu (Charles Aznavour / Gilbert Bécaud)     2’20
19. C’est merveilleux l’amour (Charles Aznavour / Gilbert Bécaud)     4’23
20. Comme des étrangers (Charles Aznavour)     2’26
21. Le carillonneur (Bernard Dimey / Charles Aznavour)     3’13
22. Il faut savoir (Charles Aznavour)     3’33
23. Tu te laisses aller (Charles Aznavour)     4’15
Recorded by:
Europe N°1 Technical Staff
Recording Date April 3, 1962  
Broadcast Dates April 4 & 10, 1962  
Recording Place   
Olympia Theater, Paris, France   
Produced by:
Bruno Coquatrix & Lucien Morisse   
Personnel (probably):
Francois Rabbath (cb) • Pierre Rabbath (piano)
Victor Rabbath (dm) • Unknown (g)
La collection Live in Paris :
Collection créée par Gilles Pétard
pour Body & Soul
et licenciée à Frémeaux & Associés.
Direction artistique et discographie :
Michel Brillié, Gilles Pétard.
Coordination : Augustin Bondoux.
Conception : Patrick Frémeaux,
Claude Colombini.
Fabrication et distribution :
Frémeaux & Associés.
Dedicated to Claude Boquet, Bill Dubois, Jean Claude, Philippe Moch, Raymond Treillet and the gang
Charles Aznavour va avoir 38 ans. Il donne un récital abouti de 22 chansons qui affirme son originalité et lui assure la reconnaissance du public et de la critique. La légende est en marche.         Philippe COMOY
Enregistré en 1962, soit 2 ans après son célèbre récital à l’Alhambra et 4 ans avant la publication de son premier album live, voici le premier enregistrement live d’Aznavour édité sur disque. On peut y entendre toute la riche palette musicale de l’une des figures les plus importantes de la chanson française sur le plan international.     
Patrick FRÉMEAUX


La collection Live in Paris, dirigée par Michel Brillié, permet de retrouver des enregistrements inédits (concerts, sessions privées ou radiophoniques), des grandes vedettes du jazz, du rock & roll et de la chanson du XXe siècle. Ces prises de son live, et la relation avec le public, apportent un supplément d’âme et une sensibilité en contrepoint de la rigueur appliquée lors des enregistrements studios. Une importance singulière a été apportée à la restauration sonore des bandes, pour convenir aux standards CD tout en conservant la couleur d’époque.    
Patrick FRÉMEAUX & Gilles PÉTARD

Charles Aznavour was about to turn 38, and he gave an accomplished 22-song recital that asserted his originality and earned him the recognition of both public and critics. The legend was beginning.         Philippe COMOY

Recorded in 1962 — two years after his famous Alhambra recital, and four years before his first disc made with an audience — this is the first live recording of Charles Aznavour released on disc. You can hear every nuance in the rich palette of music of one of the most important figures to represent French song internationally.    
Patrick FRÉMEAUX
The Live in Paris collection by Michel Brillié allows listeners to hear previously-unreleased recordings (made at concerts and private- or radio-sessions) by the great 20th stars in jazz, rock & roll and song. These “live” takes, and the artists’ rapport with their audiences, gives these performances an additional soul and sensibility in counterpoint to the rigorous demands of studio recordings. Particular care was taken when restoring the sound of these tapes in order to meet CD standards while preserving the original colours of the period.    
Patrick FRÉMEAUX & Gilles PÉTARD
CHARLES AZNAVOUR  
1. J’ai perdu la tête     2’55
2. Tu étais trop jolie     2’49
3. On ne sait jamais     2’17
4. Lucie     3’49
5. L’amour c’est comme un jour     3’54
6. Trousse chemise     2’40
7. Je m’voyais déjà     3’23
8. Monologue sur Viens     1’36
9. Viens     4’03
10. Deux guitares     4’09
11. Alléluia     2’58
12. La marche des anges     2’29
13. L’enfant prodigue     2’31
14. Esperanza     2’38
15. Plus heureux que moi     2’26
16. Parce que     2’26
17. Tu n’as plus     3’33
18. Je veux te dire adieu     2’20
19. C’est merveilleux l’amour     4’23
20. Comme des étrangers     2’26
21. Le carillonneur     3’13
22. Il faut savoir     3’33
23. Tu te laisses aller     4’15

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