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« Une solide réputation en matière d’adaptations sonores d’œuvres littéraires »
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Les éditions Frémeaux & Associés se sont bâti une solide réputation en matière d’adaptations sonores d’œuvres littéraires. Pour preuve 2 titres parmi les plus récents : « Tartarin de Tarascon », lu par Henri Vibert, est un enregistrement historique de 1956 pour l’ORTF. Il est remarquable par la consistance que parvient à donner le récitant au personnage hâbleur de Tartarin, avec juste ce qu’il faut d’accent du Midi pour dresser le décor. Quant à Pierre Bellemare, on ne présente plus celui qui, depuis des années, met ses talents de conteur au service d’œuvres classiques : « La Grande Bretèche », de Balzac, est son dernier titre en date.LA CLASSE
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« Cette particularité de véhiculer les valeurs et traditions d’un pays » par la
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Les contes pour enfants ont cette particularité de véhiculer les valeurs et traditions d’un pays. Racontés par Marcel Zaragoza, les « Contes traditionnels du Maroc » n’échappent pas à la règle, qui nous transportent directement au coeur d’une civilisation éloignée à la fois dans le temps et l’espace. Une reine montre le chemin de la vérité. Un peu plus loin, la vieille Oulaya se fait piéger par son manque de générosité. Quant à Mama Ghoula, c’est l’ogresse de beaucoup d’aventures marocaines : croquera-t-elle les 2 enfants perdus pour assouvir sa grande faim ? Trois contes traditionnels collectés dans le sud marocain, et qui ont toute leur place dans l’imaginaire des enfants d’aujourd’hui (à partir de 6 ans).LA CLASSE
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« Une histoire fantastique qui ouvre la porte du rêve » par la Classe
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Les enfants de 6 à 10 ans découvriront avec émerveillement « Les voyages de Gulliver », de Jonathan Swift, à travers l’adaptation sonore qu’en a fait Pierre Richard accompagné de 8 comédiens. Plus précisément, c’est le voyage à Lilliput qui a fait l’objet de ce CD, où l’on voit le héros Gulliver échouer sur une île dont les habitants sont des nains qui passent leur temps à faire la guerre pour des motifs futiles… Même si la dimension satirique de l’œuvre pourra échapper aux jeunes auditeurs, ils devraient être conquis par cette histoire fantastique qui ouvre la porte du rêve.LA CLASSE
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« L’un des cinquante plus beaux disques de l’histoire du jazz » par Classica-Rép
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Superbe restauration à partir d’excellentes sources. Notice *** (livret illustré français-anglais de 32 pages très documentées).Rendre compte d’un pareil monument en quelques lignes est tout simplement impossible : pleinement l’apprécier suppose que l’on dresse le tableau du jazz qui le précéda et de celui qui le suivit. Ce qui s’y joue n’est rien moins que l’aboutissement d’une certaine tradition musicale transcendée par Louis Armstrong pour donner naissance à un langage universel dont la postérité est encore vivante aujourd’hui. Miracle sans pareil dû au génie d’un jeune homme de 26 ans (ou 27) sont le style alors en plein accomplissement et l’autorité laissent pantois 80 ans plus tard. En particulier les stop-chorus de « Potato Head Blues » et « Wild Man Blues », l’introduction célébrissime de « West End Blues » constituent à tout jamais les premières cimes d’une forme d’expression musicale dont la descendance fécondera la musique de variété, la musique classique, le rock’n’ro [...]
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« La voix juvénile fait merveille » par Le Journal du médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )C’est bien la petitesse des humains que traquait Jonathan Swift sur Lilliput, une société minuscule, que le bon géant Gulliver, médecin de son état, tentera à sa façon de soigner… Le livre paru en 1721 suit de près le chef-d’œuvre de Daniel Defoe. De même, l’enregistrement proposé par Frémeaux & Associés, suit celui de Robinson Crusoé où Claude Rich s’accaparait le rôle titre. Ici c’est Pierre Richard, qui a récemment campé un Robinson convaincant à l’écran, qui endosse celui de Gulliver aux prises avec les Lilliputiens ; la voix juvénile du septuagénaire fait merveille au milieu de huit comédiens qui n’ont rien de minuscule et une musique inédite à défaut d’être originale. Destiné aux 6-10 ans, il n’est pourtant pas nécessaire d’avoir gardé une âme d’enfant pour entendre la fable acérée sortie tout droit de la « boule » de Swift. […]B.R. – LE JOURNAL DU MEDECIN
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« Des compositions véloces et tendres, mélodieuses et étincelantes » par Prestig
Catégories : Article de presse ( Article de presse )A la fin du millénaire dernier, un guitariste manouche virtuose (pléonasme !) écumait les scènes de jazz avec son groupe, Latcho Drom, c’était Christophe Lartilleux. Avec Deborah Lartilleux (g) et Emy Dragoï (acc), il nous offre six de ses compositions, toutes extrêmement véloces et tendres, mélodieuses et étincelantes. Plus des reprises, de Django Reinhardt (Symphonie), de Paganini (Mouvement perpétuel) et de musiciens que les puristes n’auraient jamais imaginé voir en telle compagnie (Dany Brillant, Michel Polnareff, Serge Gainsbourg, Jean-Loup Dabadie, Michel Sardou). Et ils ne déparent en rien, tant le talent de Christophe Lartilleux sait les mettre en valeur. Quand le swing manouche se saisit d’airs populaires pour en faire des bijoux comme cela, on se dit qu’on est face à des magiciens ! Notre avis : ****Michel BEDIN – PRESTIGE AUDIO VIDEO
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« Si vous restez assis, c’est que vus êtes sourds » par Prestige Audio Vidéo
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Le boogie-woogie, ancêtre présumé du rock, est cette pièce fortement syncopée de piano qui rappelle la trépidation des roues de chemin de fer et que jouaient les musiciens américains, pour la plupart noirs, avec une virtuosité, pour certains, qui défie l’entendement. Il a rythmé et imprégné le jazz, le blues, et les variétés noires (ce qu’on appelait les race records, et qui sont devenues le rhythm n’blues) de son rythme endiablé. Avec cette caractéristique d’une sorte d’ostinato à la main gauche, qui donnait un rythme obsessionnel très africain, les joueurs de boogie enflammèrent le monde. Voici le second volume de cette saga, (1938-1954) avec des noms connus, d’Albert Ammons à Fats Domino, de Meade Lux Lewis à Jay McShann ou Hazel Scott, mais aussi de parfaits inconnus. Si vous restez assis, c’est que vus êtes sourds.Michel BEDIN - PRESTIGE AUDIO VIDEO
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Un jazz qui ne manque pas de soufflet par Dominique Denis - L'Express
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Il n’y a plus lieu de douter de la capacité de l’accordéon à se plier aux exigences du jazz: le supposé clivage qu’évoquait jadis Nougaro («Quand le jazz, quand le jazz est là/La java s’en, la java s’en va») a bel et bien vécu, et désormais, les virtuoses du piano à bretelles côtoient fièrement leurs homologues saxophonistes et trompettistes. Et sous l’enseigne de La Lichère, qui nous avait donné la légendaire – et indispensable – trilogie de CD Paris Musette, ils peuvent maintenant dialoguer d’égal à égal avec des musiciens de tous horizons. Dans son rôle de pianiste, Jacques Bolognesi a côtoyé Nougaro, justement, mais aussi Elton John, Claude Bolling, Lalo Schiffrin et Paul Simon. À l’occasion de ses 60 ans, il revient à son premier amour, l’accordéon. Avec le guitariste Marc Fosset (dont le cv est tout aussi intimidant), Bolognesi dirige un trio que viennent compléter, en alternance, les contrebassistes Jean-Luc Pontieux et Pierre-Yves Sorin. Hermetotico (La Lichère/Frémeaux & [...]
 
    
                        
                        