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« The Quintessence, 1932-1943 » par Répertoire
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Une sélection arbitraire mais inattaquable. Vraiment un « best of Bechet ».RÉPERTOIRE
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« Monument discographique » par Guitarist Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Pour la première fois au monde, il y a un an, sortait dans la collection Masters of Jazz de Média 7 l’édition en huit volumes de l’œuvre complète de Charlie Christian, par ordre chronologique, avec historique et commentaires qui font de ce coffret un petit monument discographique, une référence. Ceux qui ne se sont pas procuré ledit coffret, trouveront avantage à acquérir le double CD The Quintessence qui, comme son nom l’indique, est une sorte de Best Of, comme on dit en français, des enregistrements de Charlie Christian. Il couvre la période de 1939-1941 du génial guitariste, le plus souvent au sein de l’orchestre du clarinettiste Benny Goodman, c’est à dire quasiment tout son parcours musical. En plus de ce double CD indispensable, un livret riche en informations avec un très joli texte d’Alain Gerber (directeur de la collection), qui écrit « Toute une école, depuis près d’un demi-siècle, cherche des idées dans ses trouvailles… ».Franck MÉDIONI - GUITARIST MAGAZINE
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« Personne ne peut l’égaler » par Keyboards
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Dirigée par Alain Gerber, la collection « The Quintessence » de Frémeaux & Associés permet une excellente initiation à l’œuvre d’un musicien. Quitte à aller approfondir par la suite, sa sélection donne les bonnes clefs pour y accéder dans les meilleures conditions possibles. C’est pourquoi celui qui n’a jamais entendu une seule note de piano d’Art Tatum devrait y trouver son miel. Ce double CD couvre la période 193-1945 du plus extra-terrestre de tous les pianistes de jazz. Si je devais choisir la figure de tête du piano, je citerais bien sûr Art Tatum avant qui que ce soit. Personne ne peut l’égaler. Il a fait tout ce qu’on peut faire sur un piano, dit Herbie Hancock.Franck MÉDIONI - KEYBOARDS
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« Aussi convaincant qu’élégant » par Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Mesdames et messieurs, ce soir Dieu est descendu parmi nous ». Ainsi, dit-on, Fats Waller présenta Art Tatum venu en voisin. Une déification avalisée au fil des ans par la majorité des jazzmen et la quasi-totalité des pianistes, toutes catégories confondues. De Fletcher Henderson à Corea, en passant par Bud Powell, Erroll Garner , McCoy Tyner, Basie, Hancock et, dit-on – on ne prête qu’aux riches – Gershwin, Rachmaniov, Paderewski et Horowitz. Inclassable, étranger aux schémas et catégories habituels du jazz, Tatum fut une idole paradoxale. Son influence fut immense mais il n’infléchit en rien le cours de la musique afro-américaine et n’engendra pas la moindre école pianistique tellement son univers musical était indissociable de cette « superlative » technique qu’il sembla posséder d’emblée. A l’inverse de ses pairs, Tatum n’eut pas le souci de l’étendre mais bien de la canaliser au nom de la logique du discours. Ni vraiment compositeur – les thèmes qu’il signa, Gang O’Notes, J [...]
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« Son apogée » par Jazz Notes
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Voilà bien le coffret nécessaire à tout amateur qui veut découvrir le premier grand saxophoniste ténor de l’histoire du jazz. Les enregistrements proposés le font apparaître dans sa période où il atteint son apogée, et aussi son attitude devant la révolution Bop. 36 plages qui vous feront découvrir ses principaux chefs d’œuvre, dont le fameux Body & Soul. Excellent livret du maître en la matière, Monsieur Alain Gerber, et anecdotes des plus délectables. Majeure.JAZZ NOTES
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« L’intelligence et la sensibilité » par La Tribune
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Il était grave en notes – au piano – et généreux dans ses orchestrations, « Count » Basie. Ou, comme le dit Alain gerber, Count « économise tout, sauf l’imagination, l’intelligence et la sensibilité ». Sa plus belle période, c’était la fin des années 30 et le début des années 40. Au pupitre des anges, se côtoyaient Lester Young, Hershell Evans, Chu Berry. Aux trompettes Buck Clayton, Harry Edison. Et la rythmique comprenait Freddy Green à la guitare et Jo Jones à la batterie. Tout ce joli monde carburait, donnait de la voix, swinguait pour tout dire. Et sans longueurs, contrainte technique du 78 tours oblige : aucun morceau ne dépasse les 3 minutes 30. Un double albums de chefs d’œuvre avec notamment l’indicatif maison, « Jumpin’at the woodside ».Jean-Louis LEMARCHAND – LA TRIBUNE
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« Un vrai régal » par Journal du Dimanche
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Pendant près d’un demi-siècle, count Basie a incarné la force tranquille d’un jazz heureux, à la tête d’un big band considéré aujourd’hui comme la plus éblouissante « usine à swing » de la musique afro-américaine. Avec toute sa puissance sonore – le fameux « phrasé de masse », explosions de cuivres ponctuant les volutes d’un saxophone aérien ou alternant avec un solo dépouillé du chef, le « Count » lui-même – et avec son extraordinaire souplesse rythmique – le trio de légende Freddy Greene, Walter Page et Jo Jones -, l’orchestre ressemble alors, dit-on, à une Rolls-Royce équipée d’un moteur de bulldozer ! Le double CD, publié par les disques Frémeaux & Associés, nous offre à travers 36 morceaux gravés entre 1942 et 1952, l’un des plus séduisants florilèges de l’art de Basie, en petite formation et en big band. Même si l’immense Lester Young a quitté l’orchestre, de talentueux saxophonistes lui ont succédé : les Don Byas, Buddy Tate, Lucky Thompson, Illinois Jacquet ou Paul Gonsalv [...]
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« His essential oevre » par Jazz Journal International
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Previous issues of this coffe-table style label have managed to get the quintessence of Jelly Roll Morton onto one CD, but here we have two (though not particularly well-filled ones). We seem to be moving towards my own position, which is that everything he recorde was quintessential. Ironically, however, the two tracks which, in extremis, could be left out of his essential oevre have been included here, as in other such selections. I refer, of course, to the two 1927 animal impersonations which, if nothing else, prove that Jelly had a sense of humour. How anyone could put those and leave out such a masterpiece as Deep Creek confounds my sense of logic ; but then I do not believe in this sort of thing anyway. Another thing that irritates me is the sort of CD which has no discernable proprietory label or identity. Frémeaux & Associés sounds more like a drug company, but I cannot find anything better on the packaging to put at the head of this review. It seems to relate to RCA B [...]