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Tout ce beau monde joue et rit comme rarement par Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Un soir de septembre 1991, Pierre Barouh est l’invité de Richard Galliano aux Nuits de Nacres à Tulles. Il y reste finalement une semaine et promène sa caméra inexpérimentée au gré des concerts, des bœufs dans les rues, des fins de nuit au bistrot. Retour l’année suivante, après une série d’escapades au Québec, au Pays-Basque et dans son bocage vendéen. Filmé à l’origine par Barouh pour lui-même, ce document, proche de la vidéo amateur, est un hymne à l’accordéon, ou plutôt à la vie autour de l’accordéon. Galliano, Nougaro, Mille, Sivuca, Higelin, Cravic, le Taraf de Haïdouks… Tout ce beau monde joue et rit comme rarement sous l’œil complice de Barouh le poète, tendre artisan qui sait capter l’esprit généreux de la « boîte à frissons », en privilégiant les ambiances, les plans courts, les à-côtés. » Jonathan Duclos-Arkilovitch – JAZZMAN
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Gaieté frondeuse et énergie gouailleuse sont au rendez-vous par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Biguine, mambo, samba et boléro… Le violoniste, clarinettiste et saxophoniste martiniquais Ernest Léardée (1896-1988) fit les beaux jours du Bal nègre de la rue Blomet, à Paris, des dancings des bords de Marne et des bals de province, avant de sillonner les casinos de la côté normande, et d’enregistrer quelques-uns des 78-tours ici compilés. Gaieté frondeuse et énergie gouailleuse sont au rendez-vous. Au chant officie André Salvador, le frère d’Henri, qui possède la même piquante fantaisie que son cadet. » TELERAMA – Sélection Noël.
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Cette musique fait du bien par où elle passe. par Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Un beau mariage de couleurs. L’accordéon lyrique de Jacques Bolognesi et la douce guitare de Marc Fosset s’accordent à merveille. En marge du musette, ils tissent de jolis motifs, tantôt entraînants, tantôt nostalgiques. La première « apparition » dans le trio d’une basse électrique choque un peu, mais l’on finit par s’y habituer. Surtout qu’il s’agit de la sonorité chaleureuse de Jean-Luc Ponthieux et de la plus belle composition de l’album, Magura Ilvei, qu’il a lui-même écrite. Entièrement original (hormis Little Child de Wayne Shanklin), le répertoire met en valeur l’empathie des musiciens. On regrette toutefois que certains titres, par trop primesautiers, n’aient pas la force du thème de Ponthieux. Nous sommes parfois à la marge du jazz mais cela importe peu tant cette musique fait du bien par où elle passe." Renaud Czarnes - JAZZMAN
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« Merveilleusement racontés » par Notes Bibliographiques
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Contes traditionnels du Maroc », racontés par Marcel Zaragoza. Trois contes du Sud marocain : le premier, expliquant que l’on ne peut vivre dignement sans dire la vérité, est plus original que les deux autres, versions marocaines des célèbres contes « La soupe au caillou » et « Hansel et Gretel ». Destinés aux enfants de 6-10 ans, ils sont merveilleusement racontés et mis en musique, et ouvrent à une culture populaire mal connue des jeunes Français.NOTES BIBLIOGRAPHIQUES
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« Racontés avec saveur et humour » par Notes Bibliographiques
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le grand défi d‘Albin » et « Bastien et son ombre », racontés par Didier Bourdon : nouvelles pour enfants de Chica, musique de Santos Chillemi. C’est la curiosité qui incite Albin à grimper sur les lianes qui tombent du ciel, personne ne pouvant lui dire d’où elles viennent… Bastien est timoré et son ombre est bien palotte, mais les médicaments qu’il avale pour la rendre plus foncée la rendent plus forte que lui, et elle l’entraîne à faire des choses qu’il ne veut pas… Deux textes caustiques et provocateurs, racontés avec saveur et humour par l’un des membres du trio « Les Inconnus ».NOTES BIBLIOGRAPHIQUES
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« Une capture des sons très riche » par JDI / Journal des Instituteurs
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Cette capture des sons de la jungle est très riche, et peut accompagner diverses activités sur le thème des écosystèmes. On pourrait imaginer des temps d’écoute durant lesquels l’enfant dessine ce qu’il entend, en l’absence de tout commentaire. Le lien oreille/main peut révéler de grandes surprises et d’intéressantes comparaisons entre les interprétations des enfants. Il s’agit aussi de montrer la grande diversité du vivant, et peut-être encore de conduire l’enfant à se montrer attentif aux ambiances sonores qui l’entourent. On sait, depuis R. Murray Schafer, que nous sommes devenus des « infirmes » face à notre environnement sonore… L’écoute du surprenant peut conduire à mieux connaître les sons du quotidien.JDI / JOURNAL DES INSTITUTEURS (LE MENSUEL DES ENSEIGNANTS DE L’ECOLE ELEMENTAIRE EDITE PAR NATHAN)
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« 4 voix féminines populaires dans le monde de la variété des années soixante »
Catégories : Article de presse ( Article de presse )En tant que pianiste, arrangeur, compositeur et chef d’orchestre, Claude Bolling a connu nombre d’aventures musicales. En voici une avec les Parisiennes, quatre voix féminines populaires dans le monde de la variété des années soixante. Les résultats ont un côté rétro sympathique même si l’on est loin, et parfois très loin, du jazz. Une époque.Alain THOMAS – JAZZ CLASSIQUE
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« Cette intégrale, quelle aubaine ! » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Evidemment ! Cette intégrale, quelle aubaine ! Certes, on ne la suivra pas tous jusqu’au bout. Une telle intégrale en coffrets de 2.5cm d’épaisseur contenant trois disques, alors qu’ils sont conçus pour en contenir quatre, est réservée aux très bien logés ou aux monomaniaques. Quoi qu’il en soit, ces années 1926-1928 méritent l’acquisition : les fameux Hot Five et Hot Seven en constituent l’essentiel. A quoi il faut ajouter quatre collaborations à deux voix (Armstrong et Johnny Dodds, plus le pianiste Jimmy Blythe) avec le washboarder Jimmy Bertrand, les quatre faces (et leurs deux alternate) des Black Bottom Stompers de Johnny Doods (première rencontre sur disque avec Earl Hines), trois faces de 1927 et 1928 sous la direction de Carroll Dickerson, 17 autres sous les noms de chanteuses diverses (Sippie Wallace, Lillie Delk et surtout la très émouvante Bertha Hill auprès de laquelle Louis est, plus qu’auprès d’aucune autre, mis en valeur) et le rattrapage d’un titre oublié sur le [...]