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  • « Honte à vous messieurs ! » par Jazz Around Mag
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    « Voici un coffret de 3 albums avec 76 faces et un livret bien détaillé – sous la plume avisée de J.P. Ricard et Jean Buzelin – qui promet pas mal de plaisir d’écoute à ses acquéreurs. Il illustre le parcours difficile, quasi surhumain, des femmes dans le milieu super-machiste du jazz, du blues, du gospel et du R&B ! Des obstacles insurmontables ont jalonné le chemin des femmes instrumentistes (pianos, trompettes, saxophones, trombones, guitares, drums…) dans leur volonté d’intégrer des orchestres existants, d’en fonder elles-mêmes, ou simplement de démontrer qu’elles étaient tout aussi à la hauteur que les hommes dans leur domaine. Ce sont les chanteuses-pianistes qui ont ouvert la voie, non sans mal ! Honte à vous messieurs ! Les albums de ce coffret montrent à quel point les talents féminins foisonnaient, que ce soit avant ou après la 2è guerre mondiale. (…) »Robert SACRE – JAZZ AROUND MAG

  • « Le sentiment de rester jeune » par Daily Passions
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    « Buddy Holly est compositeur et on lui doit au moins trois titres que vous connaissez : That’ll be the day (voir aussi la version des Everly Brothers), Not fade away dont une version figure sur un des premiers 45 tours des Rolling Stones et Peggy Sue que si ma mémoire est bonne Richard Anthony enregistra… Un regrettable accident d’avion nous a interdit de savoir comment il aurait vieilli. Peut-être que l’écouter aujourd’hui donne à certains le sentiment de rester jeune, au moins d’esprit… »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

  • « Une écoute indispensable…» par Daily Passions
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    « L’année prochaine, il y aura deux cents ans que ce roman était traduit et publié en français. On peut supposer que son sous-titre « ou le Prométhée moderne » aidera à la création de manifestations particulières. Je vous propose de prendre un peu d’élan pour alimenter joliment les dîners en ville et autres soirées entre amis. Car peut-être faites-vous partie de ces gens qui pensent que Frankenstein est le monstre… Non ! Victor Frankenstein c’est le professeur (le savant fou ?), celui qui crée une créature à partir de parties de cadavres récupérées et qui, par le biais de l’électricité captée à l’occasion d’un orage, lui donne vie… Prométhée est celui que Zeus a condamné à avoir le foie rongé en permanence par un aigle pour avoir volé le feu sur l’Olympe et l’avoir donné aux hommes… Frankenstein se prend pour un dieu en « ressuscitant », en donnant vie à sa créature. Et c’est là que réside la réflexion philosophique qui s’accentue avec l’analyse du sort réservé à la créature patch [...]

  • “Some of the arranger’s most significant music” Los Angeles Jazz Scene
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    “During a musical career that has now exceeded 70 years, Quincy Jones has had quite a few accomplishments. However I suspect that among his proudest achievements were his big bands of 1960-61.(…) The previously unreleased performances from the big band’s Paris concert of Mar. 14, 1961 have now been made available on this fine CD. Performing Jones’ arrangements are 18 top-notch musicians (…) While it is a shame that the Quincy Jones Big Band did not survive past the summer of 1961, it is fortunate that recordings such as this fine outing have lasted, letting one hear some of the arranger’s most significant music.”By Scott YANOW – LOS ANGELES JAZZ SCENE

  • « L’un des meilleurs big bands de l’époque » par Soul Bag
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    « Ces enregistrements du concert donné à l’Olympia de Paris par Quincy Jones, le 14 mars 1961, à la fin de sa tournée européenne, constituent une étape importante de sa carrière. Son talent d’arrangeur, un répertoire de qualité et la présence de grands solistes (Phil Woods, Freddie Hubbard, Curtis Fuller) ont largement contribué à faire de son orchestre l’un des meilleurs big bands de l’époque comme le prouvent de superbes versions de Stolen moments, Moanin’, Caravan et Summertime. On y trouve aussi The boy in the tree, composé pour le film d’Arne Sucksdorff. Écrire des musiques pour le cinéma deviendra pour Quincy Jones une activité hautement lucrative qui prédominera dans la suite de sa carrière. »Par Alain TOMAS – SOUL BAG

  • « Tout y est, comme si on y était » par Jazz Magazine
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    « Q » a toujours su faire la fête : son 28ème anniversaire, c’est à Paris qu’il l’a célébré, à l’Olympia, avec un concert produit par Norman Granz, Franck Ténot et Daniel Filipacchi, enregistré par et pour Europe N°1 (comme on disait à l’époque). Prise de son remarquable, casting laissant rêveur (Melba Liston, Freddie Hubbard, Phil Woods, Stu Martin, arrangements flamboyants, originaux « maison » (Africana, Birth Of A Band), reprises dont « Q » a le secret (Solitude, Caravan, Moanin’ et Stolen Moments, avec un jeune Hubbard « on fire »), sans parler des savoureuses présentations des morceaux et des « liner notes » façon « lancement radio » de Michel Brillié : tout y est, comme si on y était. Par Doc SILLON – JAZZ MAGAZINE

  • « La nuit des magiciens » par Jazz Magazine
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    Deux ans plus tard, après avoir quitté le quintette de Miles Davis à la fin de la mémorable tournée européenne du printemps 1960, ce fut cette fois à la tête de son propre groupe que le si passionnément controversé John Coltrane revint jouer à l’Olympia, le 17 novembre 1962. « Bonsoir mesdames et messieurs. Pour le concert ce soir nous avons la formation de John Coltrane. Mais avant que nous commencons ce concert, je voudrais annoncer la prochaine concert pour la saison, le 19 janvier c’est le trio de Sonny Rollins, [applaudissements nourris.] Et maintenant je voudrais présenter les musiciens. A la batterie, c’est Elvin Jones. A la contrebasse, Jimmy Garrison. Et au piano McCoy Tyner. [Vainqueur de l’applaudimètre.] Et maintenant, dans le monde du jazz, le premier saxophoniste, John Coltrane. » [Hourras francs et massifs, aucun sifflet.] : le CD fraîchement publié par la bonne maison Frémeaux & Associés, « 17 novembre 1962 – live in Paris », commence par la présentation du grand o [...]

  • “A fine addition to his large discography” Los Angeles Jazz Scene
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    “[…]After producer Norman Granz introduces the group, the classic John Coltrane quartet performs a hard-swinging version of “Mr. P.C,” (which gives each of the musicians an opportunity to solo), a relatively concise “Everytime We Say Goodbye” (the only number that is under 15 minutes), “Impressions” and “My Favorite Things.” While the performances do not offer any new revelations about Coltrane and his sidemen, those fans who love his music and want new versions of his repertoire will particularly enjoy this fine outing, available from www.fremeaux.com. All of the musicians get to stretch out with John Coltrane in typically brilliant form on tenor and soprano, making this a fine addition to his large discography.By Scott YANOW – LOS ANGELES JAZZ SCENE

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