Lyrique et abstrait, Ortega souffle des fragments de beauté perdue comme une banquise crépusculaire avec la sérénité d’un “Grand Indien”. Eric DAHAN, LIBÉRATION
Lyrique et abstrait, Ortega souffle des fragments de beauté perdue comme une banquise crépusculaire avec la sérénité d’un “Grand Indien”. Eric DAHAN, LIBÉRATION