<< 1 ... 22 23 24 25 26 >>
  • "Qualité sonore : constante, incroyable, fascinante !" par Numa Sadoul
    Categories : Press

    "Ce qui m'a le plus surpris, là-dedans, comme dans le coffret "Katmandou 1969" que je suis en train d'écouter, c'est la qualité sonore : constante, incroyable, fascinante ! Quel boulot de reconstitution il a dû falloir." par NUMA SADOUL

  • « À écouter… religieusement ! » Par Je Chante
    Categories : Press

    « Ce disque est né d’un reportage pour Europe n°1, en septembre 1969, au moment où débutent les fêtes religieuses dédiées au Dieu Indra et à la Déesse Vivante… « En 24 heures, le centre de Katmandou se transforme en théâtre : je crois rêver. Les danses succèdent aux processions, les airs de flûtes aux rythmes des cymbales ; et des tambours précèdent et suivent toutes les cérémonies. (…) J’étais à Katmandou en 1969, je pense ne m’en être jamais remis ; je n’en suis toujours pas revenu », raconte François Jouffa, spécialiste de la musique populaire de l’après-guerre historien de la chanson et du rock — la dernière édition de son Histoire du Rock, écrite en collaboration avec Jacques Barsamian, a été publiée chez Taillandier. Et c’est à la lueur de ce disque que l’on découvre que cette mémoire vivante des années 60-70 (il est imbattable sur les sixties !) est aussi un ethnomusicologue spécialisé dans les peuples d’Asie : une quarantaine d’albums à son actif en 40 ans ! Avec Katmandou [...]

  • "Le premier journaliste français (de cette génération) à se rendre à Katmandou"
    Categories : Press

    "Philippe Gloaguen gardera toujours un souvenir particulier de (...) François Jouffa dont la voix avait accompagné ses soirées adolescentes. (...) En 1969, Jouffa avait été le premier journaliste français (de cette génération) à se rendre à Katmandou. Il était parti avec Sylvie, sa compagne, et un petit mini-cassette doté d'un micro sophistiqué. Son idée était d'enregistrer toutes les musiques qu'il trouverait entre Bombay et le Népal (...). En revenant, il portait des chemises indiennes, des colliers en bois de santal des vieux sages indiens, les sadous. Il s'étonnait que son rédacteur en chef, Jean Gorini, ne l'envoie plus couvrir avec son Nagra la sortie du Conseil de ministres. Par contre, il avait été convié à débattre à l'antenne d'une question grave : " Pour ou contre Katmandou et la route ?" Son contradicteur était un autre journaliste qui s'était rendu au Népal dans la même période, Dominique Jamet du Figaro Littéraire. Jamet n'était pas encore mitterrandophile mais très [...]

  • "Album mythique" par Mais qu'est-ce qu'on nous chante ?
    Categories : Press

    "Certains disques sont révolutionnaires. Je suis Dieu de Gérard Manset (1968) qui bouleversera la chanson française. L’album Jaune de Jean-Pierre Ferland en 1970, dont le Québec ne s’est toujours pas remis. Melody Nelson en 1971. Et cætera. En mars 1970, les disques Vogue sortent un 33 tours d’enregistrements effectués par un jeune journaliste, François Jouffa, à Katmandou quelques mois auparavant. Un quart de siècle plus tard, Robert Plant et Jimmy Page affirmeront que Katmandou1969  était leur disque de chevet quand ils composèrent Kashmir ! Cet album mythique vient d'être réédité chez Frémeaux & Associés. Rencontre avec l'ethnomusicologue François Jouffa, journaliste, auteur et animateur (Europe 1, France Inter), infatigable voyageur, l’homme qui cotoya Bob Dylan, les Beatles et les Stones, Elvis Presley, Stevie Wonder, Jimi Hendrix, Jim Morrison, Bob Marley… et Johnny Hallyday." par Baptiste VIGNOL - MAIS QU'EST-CE QU'ON NOUS CHANTE ?

  • « L’un des plus grands compositeurs italiens du XXe siècle » par Paris Move
    Categories : Press

    « Né le 3 décembre 1911 à Milan dans une famille de musiciens, Nino Rota étudia dès son enfance au conservatoire de la capitale de la Lombardie, où il acquit une renommée précoce en tant que compositeur et chef d’orchestre (son premier oratorio, “L’Infanzia Di San Giovanni Battista”, fut représenté à Milan et à Paris quand il n’avait que douze ans!). Sur les conseils d’Arturo Toscanini, notre jeune surdoué obtint ensuite une bourse pour se perfectionner au Curtis Institute de Philadelphie, où il étudia de 1930 à 1932. De retour à Milan, il se consacra à son tour à l’enseignement de la musique tout en poursuivant son œuvre de compositeur, et prit en 1950 la direction du conservatoire de Bari, qu’il assura jusqu’à sa mort en 1979. Rota écrivit ses premières partitions pour le cinéma dès 1933 avec “Treno Popolare” de Raffaelo Matarazzo, suivi de “Jour De Noces” du même réalisateur, puis “Zazà”, de Renato Castellani en 1944. Il travailla aussi pour Edgar G. Ulmer, Alberto Lattuada, He [...]

  • « Elle éclaire l’art de la mélodie du saxophoniste » par Robert Latxague
    Categories : Press

    « On le sent, on le perçoit aussitôt : sa langue vernaculaire de chant, c’est bien celle du Brésil, pays qu’elle a adopté pour ses musiques, pays continent dont elle a arpenté les scènes, terre natale du père musicien de ses enfants. Alors dans sa bouche, dans la vibration douce de ses cordes vocales Tarde aussi bien que Vera Cruz ou encore Caminho Solar– version chantée du mythique Footprints des années d’or de Blue Note- sonnent aux accents parfaits cariocas, nordeste et compagnie. Pourtant le sujet de ce nouvel album passe bel et bien par une référence -référence ?- aux talents de compositeurs de Wayne Shorter. Sa voix suave, mesurée, maîtrisée l’y sert au premier chef. Elle éclaire l’art de la mélodie du saxophoniste sacralisé chez Miles Davis déjà, « mondialisé » via Weather Report pour ensuite un aboutissement au sein de son quartet jusqu’à ce jour (My Children of The night, Infant Eyes) Justement, comment ne pas souligner, comment passer sous silence cette façon très person [...]

  • « Quelle ferveur et quelle exigence » par Paris Move
    Categories : Press

    « (…) Jamais à court de défis, c’est en compagnie d’une dream-team où s’illustrent les percussionnistes Robertinho Silva et Minino Garay, le contrebassiste Felipe Cabrera, le batteur Lukmil Perez, le superbe pianiste Leo Montana, ainsi que les saxophonistes Irving Acao (également en charge des arrangements) et Baptiste Herbin (sans oublier ses propres rejetons, Gaël et Julian Leprince-Caetano), qu’elle se propose à présent d’adapter une demi-douzaine d’originaux du mythique Wayne Shorter, quitte à les doter pour la circonstance de lyrics de son cru. Dès le majestueux “Eleonora (Lady Day)” introductif, on mesure avec quelle ferveur et quelle exigence Manu et ses hommes se sont investis dans ce projet. Assortissant de breaks latins le “Speak No Evil” de Shorter, ou “brazilianisant” la plage titulaire (avec le sax sinueux de Baptiste Herbin, et les ivoires virevoltants d’un Montana en état de grâce), Madame Le Prince surplombe magistralement ces adaptations de son timbre subtilement [...]

<< 1 ... 22 23 24 25 26 >>