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  • « Une évolution en douceur avec deux livres consacrés au jazz » par Vinyle Audio
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    Jusqu’alors on écoutait des disques de musique (en dernière production, un fort quadruple coffret consacré à deux années - sublimes – dans la vie de Duke Ellington), ou des portraits sonores (une biographie, avec des sons dedans, du poète et romancier Edouard Glissant). Après trente années de bons et loyaux services, l’évolution se fait en douceur, avec la parution de deux premiers livres, consacrés au jazz (what else ?). Dans « Deux petits bouts de bois », Alain Gerber (romancier, homme de radio, journaliste, biographe, directeur de collection et toutes ces sortes de choses), consacre, en batteur amateur (qui aime…) mais authentique fou de musique, une autobiographie à la batterie de jazz, où il évoque naturellement quelques-uns de ceux qui frappent sur des tambours de Christian Vander à Art Blakey, et d’Aldo Romano à Max Roach. Mais, largement au-delà du simple catalogue de savoir prédigéré, il fait vibrer ces pages à la baguette, emporté dans une monographie de l’intime, ou la [...]

  • « Un coffret de quatre CD au mastering superlatif » par Jazz News
    Categories : Press

     «... Le livre est d’ailleurs heureusement complété d’un coffret de quatre CD au mastering superlatif pour cet âge d’or de l’enregistrement et à la présentation – par Alain Pailler, toujours – parfaitement exemplaire. Les mots manquent pour décrire combien toute cette matière fait du bien et repousse les tracas du monde. Comme de juste, l’Académie du jazz avait décerné son Prix du livre à l’ouvrage d’Alain Pailler en 2011. Nous ne fûmes pas étonnés. » Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « Un bon polar à l’intrigue fascinante » par Jazz News
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    Pour cette deuxième parution de l’éditeur spécialisé dans le patrimoine sonore et investissant désormais le champ du livre, Patrick Frémeaux a choisi de rééditer – avec les révisions d’usage – l’ouvrage qu’Alain Pailler consacrait il y a une douzaine d’années à la genèse de Ko-Ko, une des compositions les plus cruciales de Duke Ellington en ce qu’elle cristallise une bonne part de son génie. Un génie qui, comme tous les génies, savait s’entourer et créer les meilleures conditions pour s’exprimer. Ce qu’Alain Pailler détaille par le menu dans un récit clair, vivant, synthétique et toujours tendu vers son sujet. On tourne les pages de cette monographie comme un bon polar dont on connaîtrait déjà la fin mais dont l’alignement des éléments de l’intrigue fascinent encore et toujours. Une intrigue incorporant Billy Strayhorn, ben Webster, Jimmie Blanton, Johnny Hodges, Harry Carney, Cootie Williams, Sam Tricky Nanton, Barney Bigard, le Cotton Club et les studios RCA en guise de décor ne [...]

  • « Une originalité folle » par Mediapart
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    « (…) Le combo déluré des briscards du jazz classique remet son répertoire en selle (…). Le concept ? La reprise de tubes de la pop, traités en swing. On ne s'ennuie pas un quart de seconde à l'écoute de la compilation extraite des trois CD de Pink Turtle (Sortie fin mars chez Frémeaux et Associés, avec une jaquette sobrement estampillée Best Of).  Une originalité folle habite le traitement "jazz tradi" de la musique populaire des années 70-80-90. Les arrangeurs et les musiciens, au cours de nombreuses répétitions, ont mis au point l'approche en tout sur une cinquantaine de compositions. Avec les arrangements, pour la plupart du trompettiste Michel Bonnet et du guitariste Christophe Davot, la formation s'approprie, par exemple, Walk on the Wild Side de Lou Reed "à la Fats Waller". Ou We are the Champions sous la forme du générique d'une vieille série télé. Des concerts à gogo entre 2006 et 2013 ont rodé la formule. Succès inatendu : le total des 3 albums parus - à la fin des année [...]

  • "Jusqu’à la déraison, une passion des peaux et du verbe" par Fragile
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    Point n’est besoin de connaître le jazz et ses batteurs illustres, Cozy Cole, Gene Krupa, Philly Joe Jones, Elvin Jones ou Roy Haines (son préféré) pour goûter pleinement à la manière d’Alain Gerber, cet autodidacte des fûts et des peaux, toujours juste quand il s’agit d’écrire sur cette musique. Se dessine dans ces Deux petits bouts de bois… Une autobiographie de la batterie de jazz un (auto) portrait singulier de l’écrivain en batteur de jazz, entre objectivité recherchée et sensibilité propre, c’est à dire subjectivité assumée. Plutôt étonnant de la part de celui qui fut d’abord pour moi une voix que j’enregistrais scrupuleusement sur mes cassettes Sony Chrome, fidèle de ses passages à France Musique et France Culture. Suite de feuilletons radiophoniques lus par l’auteur sur France Musique « Le jazz est un roman » commençait par une introduction de batterie de huit mesures qui swinguaient, les cymbales menant la danse. Puis quatre sax altos attaquaient simultanément un thème de [...]

  • « Un coffret bienvenu » par Classica
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    Il y a cent ans naissait Jay Jay Johnson. Il y eut de bons trombonistes avant lui : Kid Ory, Dickie Wells, Juan Tizol ou Jack Teagarden. Mais il fut celui qui assimila les conquêtes harmoniques et rythmiques du be-bop et les transposa sur son instrument. Cela lui permit de se produire avec le gotha du jazz et d’influencer tous ceux qui vinrent après lui. Doté d’une technique irréprochable, d’une articulation précise d’où tout effet de « growl » ou de glissendo est absent, il fut le créateur du langage moderne du trombone. En deux CD, l’un le présente en leader, l’autre en « sideman », ce coffret bienvenu offre un panorama représentatif des enregistrements réalisés entre 1945 et 1961, principalement pour Blue Note et Columbia. Parfois considéré comme un instrument ingrat, le trombone trouve ici des lettres de noblesse que le temps n’effacera pas. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Un superbe coffret de cet incontournable artiste » par Blues & Co
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    Ce prodigieux chanteur-guitariste se singularisait non seulement avec aisance dans le domaine jazz mais pouvait aussi aborder le blues, le rhythm & blues, les ballades et autres courants musicaux tant sa faculté d’adaptation était remarquable. Doté d’un vocal agréablement doux et au vibrato prononcé, Lonnie Johnson se distinguait à la guitare par la finesse de son jeu et sa richesse d’improvisation. « C’est Lonnie Johnson qui m’a donné l’idée de jouer comme je le fais » T. Bone Walker. « J’étais dingue de Lonnie Johnson. C’était mon idole, mon maître » B.B. King et Robert Johnson qui a subi son influence se faisait passer pour un parent de Lonnie. Plusieurs dates de naissance du mythique bluesman ont été répertoriées au 8 février d e1889 à 1900. Plusieurs fois citée nous allons retenir celle du 8 février 1900 à la Nouvelle Orléans. Le jeune louisianais a d’abord découvert le violon puis le piano et la guitare (son instrument de prédilection). Ses débuts se font au violon dans le « [...]

  • Tout Arletty, ça vous dit ? - Par La Montagne
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    Tout Arletty, ça vous dit ? On y trouve évidemment "Atmosphère !? Atmosphère !? Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?", sa tirade culte dans Hôtel du Nord (1938), qui l’installe dans la légende du cinoche. Mais ces deux disques déroulent bien davantage tant Léonie Bathiat dite Arletty (1898-1992), la môme de Courbevoie, était aussi à l’aise au micro que devant une caméra. Elle avait fait ses classes dans l’opérette et au music-hall, et ça nous vaut un éclatant bouquet de complaintes, de goualantes et de chansons lestes, voire carrément grivoises qu’elle interprétait comme personne, avec son accent inimitable (A La Villette, Coeur de Parisienne, J’enlève ma liquette, Comme de bien entendu, qu’elle chante avec son grand pote Michel Simon...). Cette anthologie épatantes (aux éditions Frémeaux & associés) offre aussi deux lectures, épiques, d’extraits de Mort à crédit (Louis-Ferdinand Céline, 1936), et puis des poèmes de (et lus avec) son autre copain, Jacques Prévert. Que du très [...]

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