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  • « Nostalgie… Nostalgie ! » par Jazz Mania
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    « En l’absence de la barrière des langues, il est logique que l’Angleterre ait résonné la première aux accents du rock. D’abord avec des orchestres s’inspirant de Louis Jordan comme Ray Ellington et son Jive en 1948 avec des faces déjantées, up tempo et hystériques (« 5 Guys Named Moe », …), imité par d’autres (Ted Heath en 1952, Diana Decker en 1956, …), en concurrence avec le rockabilly de Tommy Steele, Shorty Mitchell ou Wee Willie Harris (dont le « Rockin’ at the 2 I’s » de 1957 flirte plaisamment avec le blues) et avec des skiffle groups comme celui de Ken Colyer ou Lonnie Donegan, avec Chris Barber, dont un « Rock Island Line » (1955) mi parlé mi chanté survolté. Il y a des émules comme ce débutant, Alexis Korner et son skiffle group qui, en 1957, sort un « County Jail » qui n’est pas skiffle mais bien, et déjà, un country blues de belle facture. Alma Cogan donne une bonne version du « I’m in Love Again » (1956) de Fats Domino, et Winifred Atwell se défonce dans un « Jimmy D [...]

  • « Un somptueux coffret 3CD » par Paris Move
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    « Sempiternellement et depuis des décennies, je vante les mérites et l’excellent travail du groupe Frémeaux & Associés en matière de mémoire collective, de librairie sonore, pour la défense du patrimoine historique et sonore, et pour faire renaître de ses cendres les œuvres intemporelles en matière de jazz, blues, rock and roll, rockabilly, country music et toutes les musiques populaires afro-américaines qui révolutionnèrent le paysage musical, social et politique, de l’autre côté de l’Atlantique, et mirent en transe chamanique les teenagers d’une Amérique puritaine et ségrégative. Mais cette fois, c’est le sujet du rock and roll anglais que je vais aborder dans cette chronique. En effet, Patrick Frémeaux propose, comme à l’accoutumée, un somptueux coffret 3CD’s, avec un livret très détaillé de 20 pages concocté par Bruno Blum, intitulé “The Birth Of British Rock 1948-1962” et très justement salué par l’Académie Charles Cros, une référence en la matière. Ce sont les premiers balbu [...]

  • "Enchantement du début jusqu’à la fin" par Jazzman
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    « Dans le cadre des tournées et des séances organisées par le label Black & Blue, le saxophoniste et clarinettiste Marcel Zanini collabora avec de nombreux musiciens américains, tels le pianiste et organiste Milt Buckner ou le batteur Sam Woodyard, mais aussi quelques-uns des meilleurs français : Jean-Pierre Lindemeyer (vibraphone), Michel Gaudry ou Roland Lobligeois (contrebasse), le regretté François Rilhac (piano) et Marc-Edouard Nabe (guitare), le propre fils de Marcel Zanini, étonnant disciple de Freddie Green. Il dirigea lui-même des séances que Patrick Frémeaux réunit ici, et au cours desquelles il se montre un as de la ballade, élégant et sensible tant au ténor qu’à la clarinette. Les tempos medium sont les plus propices au swing tranquille. Le son évoque Don Byas ou Ben Webster (La Lanterne, I cover The Waterfront), voire un Earl Bostic qui jouerait du ténor dans les tempos shuffle (Redoutable, Ramatuelle) sur lesquels excelle le grand Sam Woodyard. Marcel Zanini ne fait [...]

  • "Rive Gauche" par Le Figaro
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    « Marcel Zanini a enregistré depuis deux décennies des disques de jazz passés beaucoup plus inaperçus que sa chanson Tu veux, tu veux pas. Ces enregistrements sont réunis, avec une série d’entretiens, dans un double CD intitulé Rive Gauche. » LE FIGARO

  • « Réjouissant » par Chants Songs
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    « Le fils de Maurice et Claudia Perret qui tenait le Café du pont – un restaurant qui lui a inspiré un livre de souvenirs – était du genre timide et, à son arrivée à Paris, il a fallu qu’un Brassens l’encourage pour qu’il se mette à écrire et à composer vraiment. En 1956, c’est une jeune fille déterminée, Françoise Marin (qui était née Sophie Makhno), un premier amour, qui le pousse à lui écrire des chansons. C’est accompagnée à la guitare par cet illustre inconnu qu’elle débute dans la chanson au cabaret « La Colombe » notamment, et on retrouve dans ce coffret ses interprétations de La Jeunesse, Quand la java tourne… Toute une époque. C’est le patron du lieu, un découvreur de talent, Michel Valette, qui le pousse à monter sur scène. Pierre Perret y remporte ses premiers succès et gagne un peu en confiance. Un an plus tard, accompagnant Françoise Marin (future Françoise Lô) aux « Trois Baudets », célèbre cabaret de Jacques Canetti, Pierre Perret est repéré par Boris Vian et Émile [...]

  • « Les disciples parisiens du King of the Swingers » par Paris Move
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    « Depuis Bing Crosby et Tino Rossi, les chansons de Noël se sont avérées un juteux business saisonnier, ajoutant leur facture à celle, pourtant déjà suffisamment salée, des emplettes festives de rigueur. Et de Slade à George Michael et Mariah Carey (en passant par les Chaussettes Noires, les Beach Boys, Darlene Love et la regrettée Sharon Jones), la tradition de cette martingale à cash se perpétue, bon an mal an, jusqu’à nos jours. Issu de la même constellation que maintes formations swing habituées du Caveau de la Huchette, l’ensemble Louis Prima Forever se plie à son tour à cette formalité. Octette aux pedigrees aussi confirmés que souvent convergents, ces disciples parisiens du King of the Swingers néo-orléanais délivrent ici leurs adaptations à sa sauce trépidante d’une quinzaine de ces scies à sapin (agrémentées d’un ironique inédit de leur cru, ainsi, en bonus, que d’une redite de l’hymne de leur Saint-Patron, “Just A Gigolo/ Ain’t Got Nobody” in excelsis Deo). Dans le rôle [...]

  • « Un must absolu. » par l’Alsace
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    « Avec ce copieux coffret de 4 CD digne de la ligne édito[1]riale du label Frémeaux & As[1]sociés, on retourne 60 ans en arrière pour redécouvrir les années Paramount de Ray Charles. Entre 1959 et 1962, le Genius signe chez ABC où il franchit un nouveau cap en enregistrant quelques-uns de ses plus immenses succès : Georgia On My Mind, I Can’t Stop Loving You, Hit The Road Jack (qui ferait twister la France) ou l’incontournable Unchain My Heart. Les ballades soul sont absolument somptueuses. Ray se plonge dans les classiques du blues en les lustrant au son du jazz cuivré (Basin' Street Blues). Chœurs et orchestres sont fabuleux de bout en bout. De quoi faire de cet ABC un must absolu. » Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

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