Good-Bye Gagarine - Gérard Pierron
Good-Bye Gagarine - Gérard Pierron
Ref.: FA8574

Gérard PIERRON

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Label : Frémeaux & Associés

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Présentation

Gérard Pierron se définit comme un porteur de textes, il sait comme personne puiser la musicalité dans les mots des poètes. Il nous offre ici 20 chansons qui sont l’émanation de son sillage artistique. Tout y est ou presque : sa collaboration avec Allain Leprest (« Good-Bye Gagarine » est la première musique que Gérard Pierron a composée pour lui), ou Céline Caussimon, la mise en musique d’oeuvres de Louis Brauquier, Raymond Queneau ou de poètes jusqu’alors méconnus. Il prouve combien son travail sur le répertoire est salutaire, sensible et unique, d’une profondeur humaine inégalée.

Augustin BONDOUX / Patrick FRÉMEAUX


Gérard Pierron, chant
Nathalie Fortin, piano
Patrick Fournier, accordéon
Jean-Baptiste Laya, guitare
Patrick Reboud, piano Rhodes
Christophe Sacchettini, flûte à bec
Marie Mazille, clarinette basse, clarinette en sib, nyckelharpa, violon, chant


TUILERIES DE MES PEINES (RAYMOND QUENEAU/GÉRARD PIERRON © ÉDITIONS GALLIMARD) • GOOD-BYE GAGARINE (ALLAIN LEPREST/GÉRARD PIERRON) • LA CHANSON DU TRAÎNE-MISÈRE (PIERRE MOUSSARIE/GÉRARD PIERRON) • LE SABOTIER (ALLAIN LEPREST/GÉRARD PIERRON/NATHALIE FORTIN) • BERCEUSE II (NAZIM HIKMET/GÉRARD PIERRON) • LA MARCHANDE D’IMAGES (ANDRÉ SALMON/MARIE MAZILLE © EDITIONS GALLIMARD) • LE DOUTE (ALLAIN LEPREST/GÉRARD PIERRON/NATHALIE FORTIN) • À LA BRUNE À LA BLONDE (RAYMOND QUENEAU/GÉRARD PIERRON © ÉDITIONS GALLIMARD) • BEN-DAM’ ! OUI (MELAINE FAVENNEC/GÉRARD PIERRON) • DÉVIL-LÈS-ROUEN (UNE SAISON EN ENFER) (OLIVIER GOSSE/ NATHALIE FORTIN) • LA CHANSON DES « SANS » (PATRICK PIQUET/GÉRARD PIERRON) • CARESSONS-NOUS (CÉLINE CAUSSIMON/GÉRARD PIERRON) • REGARDER LA LOIRE... (GÉRARD PIERRON) • RONDEAU DE LA NATURE (VICTOR HUGO, CHARLES D’ORLÉANS/GÉRARD PIERRON) • PLUIE D’ÉTÉ (LOUIS BRAUQUIER/GÉRARD PIERRON) • ÉGYPTE DE LA MER (LOUIS BRAUQUIER/DIDIER ROUSSIN) • PETITS LAPONS (GEORGES FOUREST/GÉRARD PIERRON) • VOEUX DE POÈTE (VALÉRY LARBAUD/MARIE MAZILLE © ÉDITIONS GALLIMARD) • BERCEUSE I (NAZIM HIKMET/GÉRARD PIERRON) • PARIS EST VIDE SANS TOI (CLAUDE ASTIER).



Presse
« Retour de Gérard Pierron qui fait montre de ses talents d’interprète et de compositeur avec Good-Bye Gagarine. En vingt chansons, il montre vers quoi le pousse sa passion des mots justes et des univers singuliers. Good-Bye Gagarine, c’est une belle chanson du regretté Allain Leprest que Gérard Pierron mit en musique. Sur la pochette, Pierron se souvient du jour où tout commença pour leur duo, juste après un concert en 1983. Il écrit : « J’avais pleuré tellement c’était beau. J’avais devant moi toute la chanson que j’aimais, Boris Vian, Jacques Prévert, Mac Orlan, dans un seul homme. Cette pensée du cosmonaute lue dans le journal du coin lui avait plu puisque le soir, il avait posé son texte à côté de mon bol. « Gérard, j’attends la musique… » Ce fut notre première chanson. » Accompagné par sa fidèle équipe de musiciens, avec la belle présence des clarinettes pour soutenir le vibrato de l’accordéon, Gérard Pierron donne de sa voix douce sur quelques chansons magnifiques, saluant une fois encore le marin et poète un peu trop oublié de Marseille, Louis Brauquier,  dans cette Pluie d’été, qui dit les sentiments du voyageur dans l’attente d’un ciel plus bleu : « Tout projet aboli dans la pauvre lumière/ Et la prison de l’eau du ciel/ Naît une espèce de liberté intérieure/ Mollement désirée. »Chanteur de l’ailleurs, Gérard Pierron n’oublie pas de garder les pieds sur terre et livre avec Le Parti des « sans », sur un texte de Patrick Piquet, un cri de défense contre ceux qui se battent pour survivre dans nos sociétés dévorées par le libéralisme. Il lance ainsi : « J’suis de chair et de sang/ Pour basculer ce monde/ Me voici émeutier/ Et je gueule en pissant/ Comprends-moi bien passant/ Je serai sans pitié/ La pitié j’ferai sans… / J’suis du parti des sans. » Bien sûr, la colère ne peut se passer de l’amour et c’est sur un beau texte de Céline Caussimon, (Caressons-nous) que Gérard Pierron laisse parler sa tendresse, après avoir emprunté à Charles d’Orléans un hymne qui était déjà écologiste avant l’heure. En terminant cette invitation au voyage poétique par les mots d’un Valery Larbaud et un Nazim Nikmet, Gérard Pierron prouve qu’il est de la digne race des troubadours d’antan. »Par François CARDINALI – CHANT… SONGS
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Nous avons déjà égrené les points forts du dernier Gérard Pierron : son évidence mélodique (chanson du traîne-misère), sa gourmandise de diseur (La marchande d’images), la variété des accompagnements (piano-accordéon pour « Tuileries de mes peines », ou violon-rhodes pour « Berceuse II », flûte enchanteresse en sus), l’intemporel (rondeau de Charles d’Orléans) et l’actuel « Devil-lès-Rouen », les subtiles réappropriations de musiques jadis offertes à d’autres, sa propre écriture, simple mais puissante (« Regarder la Loire », sommet d’émotion et d’étrangeté »). Mais les temps calmes ne sont pas moins beaux : « le doute », qui illustre ce qu’un Leprest mineur et fatigué contient encore de beauté, magnifié par Nathalie Fortin en état de grâce ; « A la brune à la blonde » (« et merde pour le curé ! ») un Queneau irrévérencieux, chœurs complices et chaleureux ; « Petits lapons », sorti de la plume fantaisiste de Georges Fourest, tout en aigus piqués (Marie Mazille et ses nyckelharpa, clarinette, etc.), sur lequel Pierron ajoute une coda à sa sauce ; « Pluie d’été » ( Brauquier ) d’où « naît une espèce de liberté intérieure », tel un baume apaisant. Surtout redire que le chanteur-compositeur a, comme toujours, l’intelligence de laisser parler la musique : le texte ne prime pas, c’est l’alliance qui fait sens. Ainsi ces moments où un instrument se détache, anticipant la chose écrite ou la continuant, y ajoutant encore une nuance…Par Nicolas BRULEBOIS - HEXAGONE
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