Soul Station - The Complete Toots Thielemans 1952-1961
Soul Station - The Complete Toots Thielemans 1952-1961
Ref.: FA5812

TOOTS THIELEMANS

Ref.: FA5812

Direction Artistique : OLIVIER JULIEN

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 4 heures 36 minutes

Nbre. CD : 4

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Présentation

Jean-Baptiste « Toots » Thielemans a traversé une grande partie de l’histoire du jazz, du début des années 1940 à 2016, l’année de sa disparition. Ce musicien belge, naturalisé américain possède un style inimitable. Considéré comme le plus grand harmoniciste et « siffleur » du jazz, il a accompagné les plus grands : Count Basie, Lester Young ou Billie Holiday, puis Elis Regina ou Bill Evans. Cette intégrale réalisée par Olivier Julien met en lumière ses premiers enregistrements sous son nom. Parmi lesquels on retrouve « The Sound » et « Man Bites Harmonica » qui sont ses premiers chefs d’œuvre et qui allaient faire entrer l’artiste dans la légende.
Patrick Frémeaux

« (…) “Toots” ne joue pas seulement de l’harmonica. Cela, c’est à la portée de tous. Il a intégré le phrasé, la science de l’improvisation et des harmonies qui lui permettent de tenir son rang. Et, croyez-moi, à l’époque, ce n’est pas rien. Il entre chez Dinah Washington comme on entre à la rue d’Ulm, rejoint le quintette du pianiste George Shearing (1953-1959), constitue son propre groupe et revient, tel le fils prodigue, en Europe. »
Par Francis Marmande – Le Monde 22-08-2016

CD1 : THAT’S A PLENTY • HARMONICA RAG • TOOT’S BLUES • RED DEVIL BOOGIE • AT THE DARKTOWN STRUTTERS BALL • HAPPY GO LAZY • MICHIGAN • HIGH SCHOOL CADETS MARCH • ON THE ALAMO • DON’T BE THAT WAY• I’M PUTTING ALL MY EGGS IN ONE BASKET • SOPHISTICATED LADY • SCOTCH ON THE ROCKS • I LET A SONG GO OUT OF MY HEART • STARS FELL ON ALABAMA • DIGA DIGA DOO V SO RARE • SKYLARK • SONNY BOY • COCKTAILS FOR TWO.

CD 2 : • EAST OF THE SUN • DON’T BLAME ME • 18TH CENTURY BALLROOM • SOUL STATION • FUNDAMENTAL FREQUENCY • STRUTTING WITH SOME BARBECUE • IMAGINATION • ISN’T IT ROMANTIC • THE NEARNESS OF YOU • IN A SENTIMENTAL MOOD • YOU TOOK ADVANTAGE OF ME • COOL AND EASY • BODY AND SOUL • THE CUCKOO IN THE CLOCK • TANGERINE • EARLY AUTUMN • THEM THERE EYES • A HANDFUL OF STARS • CAN’T HELP LOVIN’ DAT MAN • CLAP YO’ HANDS • YOU ARE MY SUNSHINE • NUAGES • FIVE O’CLOCK WHISTLE • SOUL • LONESOME ROAD • MISTY • CONFIRMATION • LES ENFANTS S’ENNUIENT LE DIMANCHE • BROTHER JOHN • WINTER IN MADRID • WILLOW WEEP FOR ME • SATIN DOLL • BAG’S GROOVE • WE’LL BE TOGETHER AGAIN • HOT TODDY • TRY A LITTLE TENDERNESS • TALK TO ME • LE TROTTOIR • HONEYSUCKLE ROSE • FLIRT.

CD 4 : ISN’T IT ROMANTIC • HOMESICK THAT’S ALL • PENTHOUSE SERENADE • A PRETTY GIRL IS LIKE A MELODY • THIS IS ALWAYS • STRANGER IN PARADISE • STAIRWAY TO THE STARS • LOVE WALKED IN • LONG AGO AND FAR AWAY • I LOVES YOU, PORGY • YOU STEPPED OUT OF A DREAM • YOU’RE DRIVING ME CRAZY • HI HO - HI HO • SUMMERTIME • BACK BAY SHUFFLE • VEM KAN SEGLA FÖRUTAN VIND • SECRET LOVE • THE BLUES AND I • FJÄRLIN VINGAD SYNS PÅ HAGA • DELAUNAY´S DILEMMA • THE BLACKSMITH BLUES • BLUE AND YELLOW • CARRY ME BACK TO OLD VIRGINIA • WHISTLE WHILE YOU WORK.

Presse
« Toots Thielemans aurait eu cent ans cette année. Il était né dans les Marolles, à Bruxelles, le 29 avril 1922 et il est mort le 22 août 2016. A l’occasion de ce centenaire, sa Belgique natale lui a abondamment rendu hommage : Exposition « The Sound of a Belgian Legend » à la Bibliothèque Royale à Bruxelles, nombreux concerts, séquences radio et télévision, etc. Dans la foulée, le label français Frémeaux et Associés lui a consacré un coffret de 4 Cds avec ses enregistrements de 1952 à 1961, chaque CD reprenant l’intégralité de deux long-playings, lesquels illustrent à merveille ce que Toots disait lui-même de son style musical, « Entre un sourire et une larme » et de sa devise : « Be Yourself! No More! No Less! ». Rappelons que Toots a démarré son parcours musical, enfant, à l’accordéon. Puis il est passé à la flûte et surtout à la guitare et à l’harmonica. On ne va pas revenir sur tout son parcours – il est bien détaillé dans le livret d’Olivier Julien – pour nous limiter au premier séjour USA (1947), à sa renommée grandissante à l’harmonica chromatique, à son jeu de guitare remarqué au Festival de Nice (1948) avec Jean Leclère puis au Festival de Paris, salle Pleyel (1949) et sa rencontre avec Charlie Parker qu’il reverra en Suède de 1950 à 1952 et à son amitié indéfectible avec Quincy Jones. (...) Tout du long, Toots déploie son talent et sa dextérité à la guitare et à l’harmonica, ainsi que son éclectisme dans le choix de ses thèmes qui vont de John Philip Sousa (« High School Cadets March », Decca 1952) à John Lewis et Charlie Parker, en passant par Armstrong, Fats Waller, Ellington, Django, Trenet ou le C&W de J. Davis ! Qui dit mieux ? » Par Robert SACRE – JAZZ MANIA
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Cette année sera celle du 100e anniversaire de la naissance de Toots Thielemans, maître de l’harmonica disparu il y aura bientôt six ans. Le coffret de 4 CD qui est proposé regroupe le contenu des albums parus de 1952 à 1961 de cette légende musicale qui enchanta tant d’albums (dont quelques-uns de George Shearing). Au-delà de l’impeccable perfection formelle de ses interprétations, on est émerveillé de constater à quel point il a su mettre en évidence les possibilités musicales d’un petit instrument parfois injustement relégué au rang de jouet, d’objet juvénile. Le soufflet maîtrisé, la vélocité de l’énonciation, la musicalité constante du phrasé font l’éclatante démonstration du contraire. Quincy Jones et beaucoup d’autres ne s’y sont pas trompés : Toots Thielemans a offert au jazz un instrument de plus, une véritable voix, originale et souvent savoureuse. Ce coffret providentiel permet enfin de goûter avec délices les mille grâces de son excellence. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA
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Immortel compositeur de « Bluesette », Jean-Baptiste « Toots » Thielemans compte sans nul doute au rang des plus virtuoses musiciens de toute l’histoire du jazz. On n’explique pas autrement comment cet harmoniciste-guitariste belge accéda à une reconnaissance totalement inédite en Amérique où il grava de nombreux chefs d’œuvre aux côtés de Ray Bryant, Pepper Adams, Art Taylor, Bill Evans, Quincy Jones ou Benny Goodman qui fut l’un des premiers à croire en lui. A-t-on connu depuis lors telle agilité à l’harmonica dont il tire une musicalité inversement proportionnelle à la taille de l’instrument. Toots Thielemans fut aussi un guitariste de dimension supérieure, alliant élégance de son et volubilité contenue mais toujours expressive. Charlie Parker fut une de ses idoles mais son canal d’expression était plus large, embrassant une grande partie de l’histoire du jazz. Les belles trouvailles abondent en ce coffret : les tout débuts en Belgique pour Decca et Philipps et le retour en Europe après sa découverte de l’Amérique pour l’album enregistré en Allemagne avec l’orchestre de Kurt Edelhagen ainsi que « Toots » enregistré en 1961 en Suède avec le meilleur de la scène scandinave. Les chefs d’œuvre (« Man Bites Harmonica », chez Riverside en 1958 ou « The Soul of Toots Thielemans » avec Ray Bryant en 1960) sont là aussi. Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS
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Pas plus que son grand frère l’accordéon, l’harmonica n’occupe, parmi les instruments dédiés spécifiquement au jazz, une place éminente. Pourtant, tout au long de l’histoire, des pionniers du blues à nos contemporains Richard Galliano pour le premier, Olivier Ker Ourio ou Jean-Jacques Milteau pour le second, de brillantes individualités ont conféré à ces instruments un lustre incontestable. « Toots » était doté d’un talent consommé de soliste, d’une imagination fertile et d’un lyrisme constant à l’harmonica, d’un swing aérien et d’un phrasé délié à la guitare. De surcroît, c’était un compositeur inspiré, comme en témoigne, entre autres, son « Bluesette », thème entraînant sur un rythme de valse. Composé en 1962, il a fait le tour du monde et reste indissociable du nom de son auteur. S’il ne figure pas, et pour cause, dans ces albums, ceux-ci offrent en revanche, avec des standards signés Duke Ellington, Charlie Parker, son idole, voire Charles Trénet, nombre de compositions originales dont « Harmonica Rag, Toot’s Blues, Cool And Easy ou Brother John ». L’ensemble permet de retrouver ou de découvrir une période faste du jazz et du cool. Parmi les partenaires du guitariste-harmoniciste, figurent, au gré des formations successives, quelques vedettes de l’époque. Ainsi apparaissent le pianiste Ray Bryant et son trio, les bassistes Wilbur Ware et Jimmy Woode, Pepper Adams (bars) ou Art Taylor (dm) et le fait que leurs noms soient malencontreusement estropiés dans le livret n’enlève rien à la qualité de leurs prestations. Jacques ABOUCAYA – JAZZ MAGAZINE
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Assis sur son tabouret, ramassé sur lui-même, de grosses lunettes, une petite moustache et la crinière blanches, les mains tenant l’harmonica et les pieds marquant la cadence dans le vide, Toots, entre deux respirations, laisse échapper un petit rire de plaisir et aligne, heureux comme un jeune homme amoureux, les improvisations comme d’autres les rêveries. Avec l’élégance du poète et ce soupçon de nonchalance qui fait toute la différence. Entre larme et sourire, la  souplesse ondoyante de son jeu, la fièvre lyrique qu’elle communique, sans jamais tomber dans le piège de la joliesse ou de la nostalgie attendrie, forcent l’écoute et envoûtent. Dès qu’il joue, il n’a qu’un seul propos : chanter le plus naturellement du monde avec le plus ingrat et enfantin des instruments. Il y parvient à chaque fois qu’il embouche son harmonica, prenant le dessus sur les autres musiciens qui semblent s’effacer devant sa prise de parole aussi bouleversante qu’essentielle.Sa vie est un vrai conte de fées. « J’ai toujours été partagé entre cette mentalité de petit garçon qui veut plaire et l’envie de jouer comme John Coltrane dont j’adore la furia. » Toots est un drôle de musicien, un contrebandier débonnaire, un vagabond candide qui passe entre toutes les musiques avec désinvolture. Son premier instrument fut l’accordéon qu’il délaissa à l’adolescence pour l’harmonica. En 1941, cloué de longs mois au lit par une pneumonie, il découvre la musique de Django et la guitare. À la libération, autre choc : le bebop et Charlie Parker qu’il rencontre à l’occasion du festival de jazz de Paris, salle Pleyel, en 1949.« En désespoir du jazz belge », à l’initiative de Benny Goodman, il traverse l’Atlantique et s’installe à New York. Très vite, le pianiste George Shearing l’engage pour six ans dans son quintette. C’est lors d’une tournée que le contrebassiste Al McKibbon lui lance :« Hey, tu siffles mieux que tu joues. » Cette « vanne » lui révélera son talent de siffleur. En 1959, il retraverse l’Atlantique pour se fixer en Suède et voit sa popularité grandir en sifflant tout en s’accompagnant à l’unisson avec sa guitare. L’entendant un soir dans sa loge gratter quelques accords avant d’entrer en scène, Stéphane Grappelli l’encourage à les noter. Cela donnera son inusable succès « Bluesette ». « J’étais devenu le Johann Strauss de la valse jazz. » En 1965, Quincy Jones fait appel à lui et lui ouvre les portes des studios de télévision. Pour ABC, il participe à des musiques de film et compose des jingles publicitaires « J’avais toujours un rôle mineur. Qui pouvais-je ? J’ai toujours été une proie facile ». Heureusement, en 1978, un coup de téléphone change sa vie. Bill Evans lui demande d’enregistrer avec lui « Affinity ». Le monde découvre tout à coup ce génie célibataire sur un instrument, l’harmonica à quatre octaves, que l’on croyait à jamais interdit au jazz. L’année suivante, Jaco Pastorius, sur les conseils de son père qui était un de ses fans, signe avec lui l’album « Word of Mouth ». Sa reconnaissance tardive peut enfin commencer.Depuis lors, le magicien de l’orgue à bouche n’a cessé de multiplier les échanges avec les plus grands : Oscar Peterson, Ella Fitzgerald, Herbie Hancock, Shirley Horn, Eddy Louiss, Martial Solal et les autres. Tous tomberont sous le charme de cet homme adorable doublé d’un improvisateur naturel dont la fraîcheur d’inspiration semble s’accroître avec l’âge. « Je n’ai pas changé la face du jazz, confesse-t-il, mais j’ai un pouvoir d’émotion avec l’harmonica. Il me suffit de jouer pour faire pleurer les gens. C’est pas beau, ça ! » Par Pascal ANQUETIL (TANA EDITION).
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    That's A Plenty
    Toots Thielemans
    Lew Pollack
    00:02:44
    1952
  • 2
    Harmonica Rag
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:26
    1952
  • 3
    Toot's Blues
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:51
    1952
  • 4
    Red Devil Boogie
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:48
    1952
  • 5
    At The Darktown Strutters Ball
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:26
    1952
  • 6
    Happy Go Lazy
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:37
    1952
  • 7
    Michigan
    Toots Thielemans
    Jean Reveu, Harry King
    00:02:48
    1952
  • 8
    High School Cadets March
    Toots Thielemans
    John Philip Sousa
    00:02:58
    1952
  • 9
    On The Alamo
    Toots Thielemans
    Gus Kahn, Isham Jones
    00:02:21
    1955
  • 10
    Don't Be That Way
    Toots Thielemans
    Benny Goodman, Sampson
    00:04:38
    1955
  • 11
    I'M Putting All My Eggs In One Basket
    Toots Thielemans
    Irving Berlin
    00:02:26
    1955
  • 12
    Sophisticated Lady
    Toots Thielemans
    Parish Mitchell, Irwing Mills
    00:03:01
    1955
  • 13
    Scotch On The Rocks
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:46
    1955
  • 14
    I Let A Song Go Out Of My Heart
    Toots Thielemans
    Irwing Mills, Duke Ellington
    00:02:26
    1955
  • 15
    Stars Fell On Alabama
    Toots Thielemans
    Parish Mitchell, Frank Perkins
    00:03:13
    1955
  • 16
    Diga Diga Doo
    Toots Thielemans
    Dorothy Fields, Jimmy McHugh
    00:04:29
    1955
  • 17
    So Rare
    Toots Thielemans
    Jack Sharpe, Jerry Herst
    00:02:47
    1955
  • 18
    Skylark
    Toots Thielemans
    Johnny Mercer, Hoagy Carmichael
    00:02:04
    1955
  • 19
    Sonny Boy
    Toots Thielemans
    Al Jolson, Buddy Desylva
    00:04:20
    1955
  • 20
    Cocktails For Two
    Toots Thielemans
    Arthur Johnson, Sam Coslow
    00:02:14
    1955
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    East Of The Sun
    Toots Thielemans
    Brooks Bowman
    00:07:15
    1958
  • 2
    Don't Blame Me
    Toots Thielemans
    Dorothy Fields, Jimmy McHugh
    00:02:28
    1958
  • 3
    18Th Century Ballroom
    Toots Thielemans
    Ray Bryant
    00:03:48
    1958
  • 4
    Soul Station
    Toots Thielemans
    Jean Thielemans
    00:07:03
    1958
  • 5
    Fundamental Frequency
    Toots Thielemans
    Jean Thielemans
    00:04:45
    1958
  • 6
    Strutting With Some Barbecue
    Toots Thielemans
    Louis Armstrong
    00:04:32
    1958
  • 7
    Imagination
    Toots Thielemans
    Johnny Burke, Jimmie Van Heusen
    00:04:30
    1958
  • 8
    Isn't It Romantic
    Toots Thielemans
    Richard Rodgers, Hart Lorenz
    00:05:17
    1958
  • 9
    The Nearness Of You
    Toots Thielemans
    Hoagy Carmichael, Ned Washington
    00:03:20
    1958
  • 10
    In A Sentimental Mood
    Toots Thielemans
    Duke Ellington, Irving Mills
    00:03:13
    1958
  • 11
    You Took Advantage Of Me
    Toots Thielemans
    Rodgers Richard, Hart Lorenz
    00:02:41
    1958
  • 12
    Cool And Easy
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:53
    1958
  • 13
    Body And Soul
    Toots Thielemans
    Johnny Green, Robert Sour
    00:02:16
    1958
  • 14
    The Cuckoo In The Clock
    Toots Thielemans
    Walter Donaldson, Jonnhy Mercer
    00:04:09
    1958
  • 15
    Tangerine
    Toots Thielemans
    Johnny Mercer, Victor Schertzinger
    00:02:36
    1958
  • 16
    Early Autumn
    Toots Thielemans
    Johnny Mercer, Woody Herman
    00:03:42
    1958
  • 17
    Them There Eyes
    Toots Thielemans
    Maceo Pinkerd, William Tracey
    00:02:36
    1958
  • 18
    A Handful Of Stars
    Toots Thielemans
    Ted Shapiro, Jack Lawrence
    00:03:27
    1958
  • 19
    Can't Help Lovin' Dat Man
    Toots Thielemans
    Jerome Kern, Oscar Hammerstein II
    00:03:02
    1958
  • 20
    Clap Yo Hands
    Toots Thielemans
    George Gershwin
    00:02:39
    1958
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    You Are My Sunshine
    Toots Thielemans
    Jimmy Davis, Charles Mitchell
    00:05:16
    1960
  • 2
    Nuages
    Toots Thielemans
    Django Reinhardt, Steve Williams
    00:05:19
    1960
  • 3
    Five O'clock Whistle
    Toots Thielemans
    Joe Myrow, Gene Irwin
    00:04:33
    1960
  • 4
    Soul
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:04:54
    1960
  • 5
    Lonesome Road
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:04:18
    1960
  • 6
    Misty
    Toots Thielemans
    Johnny Burke, Erroll Garner
    00:02:55
    1960
  • 7
    Confirmation
    Toots Thielemans
    Charlie Parker
    00:06:28
    1960
  • 8
    Les enfants s'ennuient le dimanche
    Toots Thielemans
    Charles Trenet
    00:04:49
    1960
  • 9
    High School Cadets March
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:15
    1960
  • 10
    Winter In Madrid
    Toots Thielemans
    Gene Roland, Jacques Cascales
    00:02:45
    1961
  • 11
    Willow Weep For Me
    Toots Thielemans
    Anne Ronell
    00:05:31
    1961
  • 12
    Satin Doll
    Toots Thielemans
    Duke Ellington, Johnny Mercer
    00:02:38
    1961
  • 13
    Bag's Groove
    Toots Thielemans
    Milt Jackson
    00:03:19
    1961
  • 14
    We'll Be Together Again
    Toots Thielemans
    Carl Fischer, Frankie Laine
    00:03:47
    1961
  • 15
    Hot Toddy
    Toots Thielemans
    Ralph Flanagan, Herb Hendler
    00:02:23
    1961
  • 16
    Try A Little Tenderness
    Toots Thielemans
    Harry Woods, Jimmy Campbell
    00:04:01
    1961
  • 17
    Talk To Me
    Toots Thielemans
    Eddie Snyder, Stanley Kahan
    00:03:20
    1961
  • 18
    Le trottoir
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:43
    1961
  • 19
    Honeysuckle Rose
    Toots Thielemans
    Andy Razaf, Fats Waller
    00:02:59
    1961
  • 20
    Flirt
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:40
    1961
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    Isn't It Romantic
    Toots Thielemans
    Richard Rodgers
    00:02:38
    1961
  • 2
    Homesick That's All
    Toots Thielemans
    Jenkins Gordon
    00:02:34
    1961
  • 3
    Penthouse Serenade
    Toots Thielemans
    Jason Will, Val Burton
    00:02:39
    1961
  • 4
    A Pretty Girl Is Like A Melody
    Toots Thielemans
    Irving Berlin
    00:02:28
    1961
  • 5
    This Is Always
    Toots Thielemans
    Harry Warren, Mack Gordon
    00:02:31
    1961
  • 6
    Stranger In Paradise
    Toots Thielemans
    Robert Wright, George Forest
    00:03:15
    1961
  • 7
    Stairway To The Stars
    Toots Thielemans
    Matti Malneck, Franck Signorelli
    00:03:16
    1961
  • 8
    Love Walked In
    Toots Thielemans
    George Gershwin
    00:02:28
    1961
  • 9
    Long Ago And Far Away
    Toots Thielemans
    Jerome Kern
    00:02:24
    1961
  • 10
    I Loves You, Porgy
    Toots Thielemans
    George Gershwin
    00:03:02
    1961
  • 11
    You Stepped Out Of A Dream
    Toots Thielemans
    Herb Brown, Gus Kahn
    00:03:03
    1961
  • 12
    You're Driving Me Crazy
    Toots Thielemans
    Walter Donaldson
    00:03:03
    1961
  • 13
    Hi Ho - Hi Ho
    Toots Thielemans
    Frank Churchill
    00:02:15
    1961
  • 14
    Summertime
    Toots Thielemans
    George Gershwin
    00:02:57
    1961
  • 15
    Back Bay Shuffle
    Toots Thielemans
    Artie Shaw, Teddy McRay
    00:02:28
    1961
  • 16
    Vem kan segla forutan vind
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:22
    1961
  • 17
    Secret Love
    Toots Thielemans
    Sammy Fain
    00:03:09
    1961
  • 18
    The Blues And I
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:02:28
    1961
  • 19
    Fjarlin vingad syns pa haga
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans, Michael Bellman
    00:02:50
    1961
  • 20
    Delaunay's Dilemma
    Toots Thielemans
    John Lewis
    00:02:04
    1961
  • 21
    The Blacksmith Blues
    Toots Thielemans
    Jack Holmes
    00:02:17
    1961
  • 22
    Blue And Yellow
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans
    00:03:06
    1961
  • 23
    Carry Me Back To Old Virginia
    Toots Thielemans
    Toots Thielemans, Traditionnel
    00:02:47
    1961
  • 24
    Whistle While You Work
    Toots Thielemans
    Frank Churchill
    00:02:40
    1961
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SOUL  STATION-THE COMPLETE

TOOTS  THIELEMANS    1952-1961

 

Soul Station
Intégrale Toots Thielemans

1952-1961

Par Olivier Julien

 

Jean-Baptiste Frédéric Isidore Thielemans est né le 29 avril 1922, à Bruxelles dans le quartier des Marolles, au 241 de la rue Haute où ses parents tiennent un café dans lequel il découvre l’accordéon grâce à un musicien qui s’y produit. Il a trois ans quand son père lui achète son premier accordéon en carton. Il prend quelques leçons et joue à la demande dans le bistrot familial. La tonkinoise, L’internationale ou encore des morceaux de musette. En 1927, la famille quitte le quartier pour reprendre à Molenbeek, place communale, une mercerie, lingerie et vêtements de travail : Au Palais du Cache-Poussière. Jean-Baptiste fait l’école primaire à Molenbeek, et les secondaires à l’athénée de Koekelberg avant de s’inscrire en mathématiques à l’ULB (Université Libre de Bruxelles). En 1929, il découvre Larry Adler et Max Geldray dans l’orchestre de Ray Ventura. Il achète alors son premier harmonica ? un instrument qui va l’aider par son action « souffler-aspirer » à mieux contrôler l’asthme qui l’affectera toute sa vie. De l’accordéon diatonique, il passe au chromatique en 1939. A l’aube de la guerre, il échoue en première année à l’université, mais il a déjà d’autres plans de carrière. Il joue ce qu’il écoute à la radio, et il découvre Louis Armstrong et Fats Waller sur un phono à remonter. Fasciné par le jazz, on lui conseille de s’exercer à un autre instrument afin de pouvoir intégrer un orchestre. En 1941, il est au lit, malade, lorsque son copain Gilbert vient lui rendre visite avec une guitare. Jean veut l’essayer et Gilbert fait un pari stupide : « Si tu parviens à jouer ça, je te donne ma guitare ! » L’affaire est entendue. Après quelques minutes, Jean-Baptiste, l’accordéoniste-harmoniciste devient guitariste. Jean Warland se rend fréquemment chez les Thielemans de Molenbeek avec son accordéon. Il est quatre ans plus jeune que Jean, qui ne s’appelle pas encore Toots. Alors qu’ils montent au grenier avec leurs instruments, madame Thielemans s’écrie : « Jean, pas d’harmonica, pense à ton asthme! ». Warland note dans sa biographie : « Médicalement, elle avait tort ! Musicalement aussi ! » Et il poursuit : « Il me faisait découvrir dans l’intimité de son grenier les neuvièmes, les septièmes majeures et les renversements ; les accords de «Mood Indigo”, de «I Can’t Get Started”, «Just You, Just Me”, etc. Je découvrais la beauté de l’harmonie ». À la Libération, maîtrisant désormais ses instruments, il rejoint Le Jazz Hot, la formation d’Herman Sandy. Rapidement, il est, avec René Thomas, l’un des meilleurs guitaristes de Belgique. C’est à cette époque qu’Herman Sandy et Jacky Theunis, estiment que « Jean-Baptiste », ce n’est pas assez « hip », et qu’il devrait choisir un prénom plus américanisé. « Et pourquoi pas «Toots” comme le trompettiste-compositeur-arrangeur Toots Camarata ou comme Toots Mondello, le saxophoniste de Lionel Hampton ? » Après quelques instants de réflexions, Jean-Baptiste est convaincu : « Va pour Toots ! ». En 1946, il est membre de l’orchestre de Robert De Kers, puis il joue dans ceux d’Yvon Debie et Rudy Bruder. Il est reconnu comme un bon guitariste et comme un phénomène de l’harmonica chromatique avec lequel il improvise dans l’esprit de Charlie Parker. En 1947, Il fait un premier voyage aux États-Unis, accompagnant son oncle qui s’y rend pour ses affaires. A New York il fait le tour des clubs, jamme à l’harmonica dans la 52e Rue et rencontre Billy Taylor, Howard McGhee et Lennie Tristano. Billy Shaw, l’impresario de Benny Goodman, le remarque alors qu’il joue sur la guitare de Chuck Wayne, à Miami. Il le recommande au clarinettiste, qui lui proposera quelques mois plus tard de le rejoindre à New York. Mais le visa et la carte verte ne sont pas si faciles à décrocher. Toots, de retour en Belgique devra encore attendre quatre ans avant de pouvoir s’expatrier. Reconnu comme un des jazzmen belges des plus créatifs, il joue de la guitare au festival de Nice en 1948, avec Jean Leclère. Au festival de Paris 1949, il se produit à la Salle Pleyel et rencontre son idole, Charlie Parker. Il retrouvera le Bird à l’occasion de son séjour en Suède de 1950 à 1952. Toots gardera toujours un accordéon, et il ne se séparera jamais de ses harmonicas, mais, à l’époque, c’est la guitare qui est son meilleur ambassadeur. Des collègues musiciens se moquent même de lui lorsqu’il se met à jouer de l’harmonica : « C’est un jouet, jette ça ! », disent-ils. Et ils ont tort, car Toots a déjà trouvé le son qui le rendra immortel, avec ses longues notes essentielles, ses modulations, ses altérations et ses résonances. Le 22 août 1949, il épouse Netty puis part pour une tournée en Italie avec Flavio Ambrosetti. A Rome, il rencontre Benny Goodman qui se souvient avoir apprécié les enregistrements que Billy Shaw lui a fait écouter. Il lui propose de le retrouver au Palladium de Londres. Toots intègre le sextet du clarinettiste qu’il accompagne au Danemark puis en Suède où il reste pendant près de deux années apprenant à parler la langue. Alors qu’il joue avec Reinhold Svensson dans un hôtel de Stockholm, il voit entrer Charlie Parker et se met aussitôt à jouer note pour note le chorus de « Lover Man » enregistré par Bird. L’artiste, séduit déclare : « C’est le plus grand hommage qu’on puisse rendre à ma musique. » Ils vont bientôt se retrouver à Philadelphie. A la fin de 1952, il parvient à émigrer aux États-Unis comme employé de Sabena Airlines. Muni de la carte verte, puis naturalisé américain, il enregistre avec Wardell Gray et Dinah Washington. Il accompagne le pianiste George Shearing pendant sept ans et participe à la grande tournée des « Birdland All Stars » au sein desquels il est le seul musicien européen aux côtés de Count Basie, Lester Young et Billie Holiday. La création de « Bluesette » joué en unisson guitare-sifflet remonte à 1962 et lui vaut un succès international. C’est aussi dans ces années 1960, que se noue une longue amitié et complicité professionnelle avec Quincy Jones, jamais démentie, et que Toots pénètre par son intermédiaire au sein de l'industrie du cinéma américain. À partir de 1970, il fait de fréquents allers-retours entre sa résidence de Montaux (Long Island) et l’Europe. La Belgique le redécouvre au cours des concerts que Roger Vanhaverbeke lui procure entre d’autres engagements aux Pays-Bas, en Suède et en Allemagne (big band de Kurt Edelhagen). Au sommet de son abondante production discographique, on retiendra The Sound qu’il grave en 1955 avec Ray Bryant et Oscar Pettiford (4 étoiles à Down Beat), Man Bites Harmonica avec Kenny Drew, Pepper Adams, Wilbur Ware et Art Taylor ; sa rencontre avec Elis Regina (1972), Brazil Project (1991), mais surtout l’album Affinity qu’il grave en compagnie de Bill Evans en 1978. Pendant cinq décennies il sera en tête du référendum de Down Beat dans la catégorie « instruments divers ». C’est à l’harmonica qu’il doit sa renommée universelle. Avec ce petit instrument dont il tire des sons chaleureux, inégalables, il enregistre la bande son de nombreux films, de Midnight Cowboy à Jean de Florette. Musicien confirmé et apprécié, il multiplie les rencontres en jazz comme en variétés, jouant et enregistrant aussi bien avec Billy Joël et Paul Simon qu’avec Bill Evans, Dizzy Gillespie, Herbie Hancock, Phil Woods, Shirley Horn, Ray Bryant… Il multiplie les tournées sur tous les continents. En 1981, une attaque cardiaque le prive de la dextérité de la main gauche. Toots ne renonce pas pour autant à sa carrière d’harmoniciste, donnant de très nombreux concerts (près de 200 par an) partout dans le monde. Veuf et remarié à Huguette (il lui dédiera « For My Lady »), il renonce à son domicile new-yorkais et s’établit définitivement à La Hulpe, dans la banlieue de Bruxelles, en 1991. En 2001, le roi Albert II le fait Baron Jean-Baptiste Thielemans. Il adopte, en blason, cette devise: « Be Yourself, No More, No Less » ! La même année, il est fait Docteur Honoris Causa des deux universités bruxelloises, la francophone et la néerlandophone : l’ULB et la VUB. Aux États-Unis, il est NEA (National Endowment For The Arts), Jazz Master Award 2009 – récompense suprême. Il est aussi : Commandeur de l’Ordre de Leopold II et Chevalier des Arts et des Lettres. Par Gilberto Gil, alors ministre brésilien de la Culture, il a été fait Commandore de Rio Branco. Géant du jazz, héros national en Belgique, il a confié regretter jouer si peu en France où il n’était pas considéré à sa juste valeur. En 2014, il décide de mettre un terme à sa carrière, mais il apparaît encore sur scène en août au festival Jazz Middelheim d’Anvers. Toots Thielemans meurt à Bruxelles le 22 août 2016.

 

Olivier Julien

© Frémeaux & Associés 2022

 

 

DISCOGRAPHIE

 

CD1

 

Toot’s Quartet

1 - That’s a Plenty (Lew Pollack)

2 - Harmonica Rag (Toots Thielemans)

3 - Toot’s Blues (Toots Thielemans)

4 - Red Devil Boogie (Toots Thielemans)

5 - At the Darktown Strutters Ball (Toots Thielemans)

6 - Happy Go Lazy (Toots Thielemans)

7 - Michigan (Jean Reveu-Harry King)

8 - High School Cadets March (Iohn Philip Sousa)

Toots Thielemans à l’harmonica

Billy Desmedt à l’orgue

Avec accompagnement de rythmes

33 tours 25 cm Decca AM 233012 - 1952 - Belgique

 

The Sound

9 - On the Alamo (Gus Kahn-Isham Jones)

10 - Don’t be That Way (Benny Goodman-Edgar Sampson-Mitchell Parish)

11 - I’m Putting All My Eggs in One Basket (Irving Berlin)

12 - Sophisticated Lady (IrvingMills-Mitchell Parish-Duke Ellington)

13 - Scotch on the Rocks (Toots Thielemans)

14 - I Let a Song Go Out of My Heart (Irving Mills-Henry Nemo-John Redmond-Duke Ellington)

15 - Stars Fell on Alabama (Mitchell Parish-Frank Perkins)

16 - Diga Diga Doo (Dorothy Fields-Jimmy McHugh)

17 - So Rare (Jack Sharpe-Jerry Herst)

18 - Skylark (Johnny Mercer-Hoagy Carmichael)

19 - Sonny Boy (Al Jolson-Buddy DeSylva-Lew Brown-Ray Henderson)

20 - Cocktails for Two (Arthur Johnston-Sam Coslow)

Toots Thielemans à la guitare et à l’harmonica

Avec accompagnement d’orchestre

33 tours 30 cm Philips B 07083 L - 1955 - Hollande

 

 

CD2

Man Bites Harmonica

1 - East of the Sun (Brooks Bowman)

2 - Don’t Blame Me (Dorothy Fields-Jimmy McHugh)

3 - 18th Century ballroom (Ray Bryant)

4 - Soul Station (Jean Thielemans)

5 - Fundamental Frequency (Jean Thielemans)

6 - Strutting with Some Barbecue (Louis Armstrong)

7 - Imagination (Johnny Burke-Jimmy Van Heusen)

8 - Isn’t it Romantic (Richard Rodgers-Lorenz Hart)

Toots Thielemans à la guitare et à l’harmonica

Pepper Adals au saxophone baryton

Wilbur Ware à la basse

Alex Taylor à la batterie

33 tours 30 cm Riverside Records RLP 1125 - 1958 - USA

Time Out for Toots

 9 - The Nearness of You (Hoagy Carmichael-Ned Washngton)

10 - In a Sentimental Mood (Duke Ellington-Many Kurtz-Irving Mills)

11 - You Took Advantage of Me (Richard Rodgers-Lorenz Hart)

12 - Cool and Easy (Toots Thielemens)

13 - Body and Soul (Johnny Green-Robert Sour-Edward Heyman-Frank Eyton)

14 - The Cuckoo in the Clock (Walter Donaldson-Johnny Mercer)

15 - Tangerine (Johnny Mercer-Victor Schertzinger)

16 - Early Autumn (Ralph Burns-Woody Herman-Johnny Mercer)

17 - Them there Eyes (Maceo Pinkerd-William Tracey-Doris Tauber)

18 - A Handful of Stars (Ted Shapiro-Jack Lawrence)

19 - Can’t Help Lovin’ dat Man (Jerome Kern-Oscar Hammerstein II)

20 - Clap Yo’ Hands (George Gershwin)

Toots Thielemans à l’harmonica

Avec accompagnement d’orchestre

33 tours 30 cm Decca DL 9204 - 1958 - USA

 

 

CD3

The Soul of Toots Thielemans

1 - You Are my Sunshine (Jimmie Davis-Charles Mitchell)

2 - Nuages (Django Reinhardt-Steve Williams)

3 - Five O’clock Whistle (Joe Myrow-Gene Irwin-Kim Gannon)

4 - Soul (Toots Thielemens)

5 - Lonesome Road (arr. Toots Thielemens)

6 - Misty (Erroll Garner-Johnny Burke)

7 - Confirmation (Charlie Parker)

8 - Les enfants s’ennuient le dimanche (Charles Trenet)

9 - Brother John (Toots Thielemens)

Toots Thielemans à la guitare et à l’harmonica

Avec Ray Briant et son trio

33 tours 30 cm Signature SM 6006 - 1960 - USA

Try a Little Tenderness - Blues pour flirter

10 - Winter in Madrid (Gene Roland-Jaxques Cascales)

11 - Willow Weep for Me (Ann Ronell)

12 - Satin Doll (Duke Ellington-Johnny Mercer-Billy Strayhorn)

13 - Bag’s Groove (Milt Jackson)

14 - We’ll be Together Again (Carl Fischer-Frankie Laine)

15 - Hot Toddy (Ralph Flanagan-Herb Hendler)

16 - Try a Little Tenderness (Harry M.Woods-Jimmy Campbell-Reg Connerlly)

17 - Talk to Me (Eddie Snyder-Stanley Kahan-Rudy Vallée)

18 - Le trottoir (Toots Thielemens)

19 - Honeysuckle Rose (Fats Waller-Andy Razaf)

20 - Flirt (Toots Thielemens)

Toots Thielemans à la guitare et à l’harmonica

Avec accompagnement de rythmes

33 tours 30 cm Polydor 46 114 - 1961 - France

 

 

CD4

Road to romance

1 - Isn’t it Romantic (Richard Rodgers)

2 - Homesick that’s All (Gordon Jenkins)

3 - Penthouse Serenade (Will Jason-Val Burton)

4 - A Pretty Girl Is Like a Melody (Irving Berlin)

5 - This Is Always (Harry Warren-Mack Gordon)

6 - Stranger in Paradise (Robert Wright-George Forest)

7 - Stairway to the Stars (Matti Malneck-Frank Signorelli-Mitchell Parish)

8 - Love Walked in (George Gershwin)

9 - Long Ago and Far Away (Jerome Kern)

10 - I loves you, Porgy (George Gershwin)

11 - You Stepped Out of a Dream (Herb Brown-Gus Kahn)

12 - You’re Driving me Crazy (Walter Donaldson)

Orchestre dirigé par Kurt Edelhagen

33 tours 30 cm Polydor 46 356 - 1961 - Allemagne

Toots

13 - Hi Ho - Hi Ho (Frank Churchill)

14 - Summertime (George Gershwin)

15 - Back Bay Shuffle (Artie Shaw-Teddy McRay)

16 - Vem kan segla förutan vind (traditionnel arr. Toots Thielemans)

17 - Secret Love (Sammy Fain)

18 - The Blues and I (Toots Thielemens)

19 - Fjärlin vingad syns på Haga (Carl Michael Bellman arr. Toots Thielemans)

20 - Delaunay’s Dilemma (John Lewis)

21 - The Blacksmith Blues (Jack Holmes)

22 - Blue and Yellow (Toots Thielemens)

23 - Carry me Back to Old Virginia (traditionnel arr. Toots Thielemans)

24 - Whistle While you Work (Frank Churchill)

Avec Toots Thielemans à l’harmonica

Arne Wilhelmsson et Jilly Woode à la basse

Anders Burman et Sture Kalin à la batteie

Reinhold Svensson à l’orgue

Knud Jörgensen au piano

33 tours 30 cm Metronome MLP 15089 - 1961 - Suède

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