<< 1 ... 549 550 551 552 553 >>
  • « L’un des cinquante plus beaux disques de l’histoire du jazz » par Classica-Rép
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Superbe restauration à partir d’excellentes sources. Notice *** (livret illustré français-anglais de 32 pages très documentées).Rendre compte d’un pareil monument en quelques lignes est tout simplement impossible : pleinement l’apprécier suppose que l’on dresse le tableau du jazz qui le précéda et de celui qui le suivit. Ce qui s’y joue n’est rien moins que l’aboutissement d’une certaine tradition musicale transcendée par Louis Armstrong pour donner naissance à un langage universel dont la postérité est encore vivante aujourd’hui. Miracle sans pareil dû au génie d’un jeune homme de 26 ans (ou 27) sont le style alors en plein accomplissement et l’autorité laissent pantois 80 ans plus tard. En particulier les stop-chorus de « Potato Head  Blues » et « Wild Man Blues », l’introduction célébrissime de « West End Blues » constituent à tout jamais les premières cimes d’une forme d’expression musicale dont la descendance fécondera la musique de variété, la musique classique, le rock’n’ro [...]

  • « La voix juvénile fait merveille » par Le Journal du médecin
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    C’est bien la petitesse des humains que traquait Jonathan Swift sur Lilliput, une société minuscule, que le bon géant Gulliver, médecin de son état, tentera à sa façon de soigner… Le livre paru en 1721 suit de près le chef-d’œuvre de Daniel Defoe. De même, l’enregistrement proposé par Frémeaux & Associés, suit celui de Robinson Crusoé où Claude Rich s’accaparait le rôle titre. Ici c’est Pierre Richard, qui a récemment campé un Robinson convaincant à l’écran, qui endosse celui de Gulliver aux prises avec les Lilliputiens ; la voix juvénile du septuagénaire fait merveille au milieu de huit comédiens qui n’ont rien de minuscule et une musique inédite à défaut d’être originale. Destiné aux 6-10 ans, il n’est pourtant pas nécessaire d’avoir gardé une âme d’enfant pour entendre la fable acérée sortie tout droit de la « boule » de Swift. […]B.R. – LE JOURNAL DU MEDECIN

  • « Des compositions véloces et tendres, mélodieuses et étincelantes » par Prestig
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    A la fin du millénaire dernier, un guitariste manouche virtuose (pléonasme !) écumait les scènes de jazz avec son groupe, Latcho Drom, c’était Christophe Lartilleux. Avec Deborah Lartilleux (g) et Emy Dragoï (acc), il nous offre six de ses compositions, toutes extrêmement véloces et tendres, mélodieuses et étincelantes. Plus des reprises, de Django Reinhardt (Symphonie), de Paganini (Mouvement perpétuel) et de musiciens que les puristes n’auraient jamais imaginé voir en telle compagnie (Dany Brillant, Michel Polnareff, Serge Gainsbourg, Jean-Loup Dabadie, Michel Sardou). Et ils ne déparent en rien, tant le talent de Christophe Lartilleux sait les mettre en valeur. Quand le swing manouche se saisit d’airs populaires pour en faire des bijoux comme cela, on se dit qu’on est face à des magiciens ! Notre avis : ****Michel BEDIN – PRESTIGE AUDIO VIDEO

  • « Si vous restez assis, c’est que vus êtes sourds » par Prestige Audio Vidéo
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Le boogie-woogie, ancêtre présumé du rock, est cette pièce fortement syncopée de piano qui rappelle la trépidation des roues de chemin de fer et que jouaient les musiciens américains, pour la plupart noirs, avec une virtuosité, pour certains, qui défie l’entendement. Il a rythmé et imprégné le jazz, le blues, et les variétés noires (ce qu’on appelait les race records, et qui sont devenues le rhythm n’blues) de son rythme endiablé. Avec cette caractéristique d’une sorte d’ostinato à la main gauche, qui donnait un rythme obsessionnel très africain, les joueurs de boogie enflammèrent le monde. Voici le second volume de cette saga, (1938-1954) avec des noms connus, d’Albert Ammons à Fats Domino, de Meade Lux Lewis à Jay McShann ou Hazel Scott, mais aussi de parfaits inconnus. Si vous restez assis, c’est que vus êtes sourds.Michel BEDIN - PRESTIGE AUDIO VIDEO

  • Un jazz qui ne manque pas de soufflet par Dominique Denis - L'Express
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    "Il n’y a plus lieu de douter de la capacité de l’accordéon à se plier aux exigences du jazz: le supposé clivage qu’évoquait jadis Nougaro («Quand le jazz, quand le jazz est là/La java s’en, la java s’en va») a bel et bien vécu, et désormais, les virtuoses du piano à bretelles côtoient fièrement leurs homologues saxophonistes et trompettistes. Et sous l’enseigne de La Lichère, qui nous avait donné la légendaire – et indispensable – trilogie de CD Paris Musette, ils peuvent maintenant dialoguer d’égal à égal avec des musiciens de tous horizons. Dans son rôle de pianiste, Jacques Bolognesi a côtoyé Nougaro, justement, mais aussi Elton John, Claude Bolling, Lalo Schiffrin et Paul Simon. À l’occasion de ses 60 ans, il revient à son premier amour, l’accordéon. Avec le guitariste Marc Fosset (dont le cv est tout aussi intimidant), Bolognesi dirige un trio que viennent compléter, en alternance, les contrebassistes Jean-Luc Pontieux et Pierre-Yves Sorin. Hermetotico (La Lichère/Frémeaux & [...]

  • « La voix de Paul-Emile Victor » par Le Républicain Lorrain
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    On associe invariablement et à juste titre le nom de Paul-Emile Victor à la grande saga des expéditions polaires, et pourtant lui rêvait de Polynésie. C’est d’ailleurs à Bora-Bora qu’il finira ses jours, en 1995. Mais le hasard allait bâtir la légende de l’exploration sous d’autres latitudes. Quand il rencontre Charcot en 1934, l’apprenti ethnologue de vingt-six ans répond à l’invitation de son aîné. PEV embarque à bord du « Pourquoi pas ? », cap sur le Groenland. Il y passe un premier hiver, apprend de sa compagne Doumidia la langue inuit, et collecte – entre autres – les récits rapportant la grande famine de 1882-1883. Un épisode terrible puisque les Esquimaux dévorent leurs morts pour survivre. Paul-Emile Victor consignera ces récits dans son premier ouvrage, « La Grande Faim », paru en 1953. Il lira lui-même à la radio des extraits de son livre en 1956. Les extraits de ce document sonore unique, qu’édite aujourd’hui Frémeaux & Associés, ont double valeur de témoignage : ils ra [...]

  • « Françoise Dolto reste terriblement actuelle » par Télérama
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Bien que je sois psychanalyste, j’espère que j’ai aussi du bon sens », précise Françoise Dolto dans « Lorsque l’enfant paraît », une émission qu’elle anime avec Jacques Pradel sur France Inter en 1976. Vingt-huit ans après, Edwige Antier et Mathias Deguelle – qui succède à Brigitte Patient – réécoutent la parole de celle qui a « révolutionné les relations entre le petit enfant et ses parents ». Pour la pédiatre Edwige Antier, qui estime être une « héritière totale »  de la pensée doltoïenne », il s’agit de diffuser chaque mercredi, pendant neuf semaines, « la voix charismatique de Dolto, qui vous prend aux tripes et que les jeunes parents n’ont jamais entendue ». Parsemées de nombreux extraits sonores, ces éditions spéciales d’Enfance posent des questions essentielles, comme « Doit-on tout dire aux enfants ? », « Est-il normal d’être agressif ? » ou, cette semaine, « La jalousie est-elle inévitable quand un deuxième enfant arrive ? ».  On entend la psychanalyste prôner le « parl [...]

  • « Un dictionnaire illustré » par Rouge
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Le jazz, comme toute forme d’art, possède ses dictionnaires dont celui de la collection « Bouquins » chez Robert Laffont. Mais il manquait un dictionnaire illustré. Avec des reproductions sonores … Frémeaux & Associés l’a fait. Ou plutôt Jean Buzelin a pris ce risque. Le risque de se mettre à dos tous ceux qui en avaient eu la velléité sans le réaliser. Il couvre le « Jazz classique » incluant Parker et la révolution bebop, s’arrêtant, pour des raisons de droits, aux débuts des années 1950. Il permet juste – c’est vital – de se faire une idée des mondes du jazz. Il peut donner envie – si c’est le cas, il aura atteint son but – d’en savoir et d’en écouter davantage. ROUGE

<< 1 ... 549 550 551 552 553 >>