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« Le déferlement d’une musique extraordinaire » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le 17 novembre 1962 à l’Olympia à Paris. Norman Granz présente les musiciens : Elvin Jones à la batterie, Jimmy Garrison à la contrebasse, McCoy Tyner au piano et John Coltrane aux sax ténor et soprano. Et c’est le déferlement d’une musique extraordinaire, lyrique, audacieuse, tendue, accumulant les contrepoints et les séquences mélodiques et rythmiques. Le quartet est le meilleur de Coltrane, avec un Jones éblouissant, un Garrison à la sonorité remarquable, un Tyner à la relance inspirée. Un disque qui fait oublier cet étrange aujourd’hui. » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Un précieux inédit » par l’Humanité
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« (...) Dans la collection « Live in Paris », un précieux inédit, 17 novembre 1962, vient de sortir via le label Frémeaux & Associés : rien de moins que l’historique concert à l’Olympia. (...) Le nouveau CD « Live in Paris » témoigne avec puissance de cette liberté radicale. » Par Fara C – L’HUMANITE
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« Le label Frémeaux et Associés publie la perle de 1962 » par Libération
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« (…) L’Olympia, le 17 novembre 1962, la musique plongera le public dans la félicité. Le Live in Paris inédit apparaît enfin cet automne. Il réunit le quartette « historique ». Le contrebassiste Jimmy Garrison, le pianiste McCoy Tyner et le batteur Elvin Jones accompagnent Coltrane. Le label Frémeaux et Associés publie la perle de 1962. Laquelle rejoint Giant Steps au firmament coltranien. »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION
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« La voix de Philipe juvénile et légèrement acidulée convient parfaitement au ré
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Pierre et le loup, ce grand classique qui date de 1936 et qui semble toujours d’actualité (enregistrement en 2019 par Lambert Wilson) dispose d’un grand avantage : la brièveté des huit séquences qui le composent. Des durées qui ne semblent pas excéder la durée de la capacité d’attention des enfants. Et la voix de Philipe « juvénile » et légèrement acidulée convient parfaitement au récit, elle capte l’attention fait, je crois, implicitement reproche de notre inattention. (Nota : la présence du loup en couverture ne me semble pas du tout évidente). Mozart raconté aux enfants, d’abord même remarque que pour ce qui précède à propos de la durée de chacune des dix-huit séquences. Là je crois que les adultes aussi ont intérêt à écouter. Ce qui est donné là a le mérite de ne pas déboussoler-dégoûter un enfant qui serait attiré par la musique. Le Mozart raconté est génial mais il est humain. La voix du comédien distancie un peu ce qui est raconté, au point je pense que le jeune auditeur [...]
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« La version présentée ici est idéale » par Daily Passions
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« La version présentée ici est idéale même si elle n’est pas intégrale. Essayez de faire lire à un lycéen aujourd’hui la version originale truffée de formules latines ou grecques et d’expressions vieillies. Ce que lit Piccoli est audible et compréhensible sans difficulté. »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS
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« A tomber » par Citizen Jazz
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Quatrième album au compteur pour ces jeunes et preux manoucheux. Un violoniste absolument perché, qui signe la seule et unique composition de l’album, deux guitaristes symbiotiques et un contrebassiste qui enrobe le tout de sa virtuosité bienveillante (Damien Varaillon sévissant avec éclat dans moult autres univers jazzistiques). En l’occurrence, il en faut de la virtuosité pour tenir les murs de la maison sur une version sans batterie (swing manouche oblige) de « Brilliant Corners » de Monk, ce morceau tellement tarabiscoté que le géant Oscar Pettiford dut jeter l’éponge (Paul Chambers ne put relever le défi qu’avec force collages). C’est que ce groupe a pour ambition de manouchiser des standards hors du répertoire conventionnel défini par le Gitan Suprême et ses épigones. Le pire, c’est que ça marche. Au point qu’on verrait presque le violoniste Bastien Ribot surgir de son instrument, tant ce dernier semble possédé par quelque chose de plus grand que son musicien. Parfois, cel [...]
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« Une musique dépassant les frontières » par L’Alsace
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Hommage encore mais sous la forme d’une réédition cette fois. En 1989, Manu Dibango se lançait dans l’enregistrement du cycle Negropolitaines dont le second volume serait publié en 1992. Frémeaux & Associés rassemble ici 16 des 19 titres du projet. Le géant saxophoniste y explore différents styles de musiques africaines de la rumba au soukouss traditionnel en passant par l’afro-beat. La variété des tempos est saisissante. Le casting de musiciens l’est tout autant. On y entend -entre autres- le batteur Tony Allen décédé le 30 avril dernier. Le lion Dibango l’aura précédé de quelques jours le 24 mars 2020. Il avait 86 ans et la covid-19 a eu raison de son dernier souffle alors qu’il se produisait encore sur scène en 2019. Le retrouver sur ces Negropolitaines , invite à s’immerger dans une musique dépassant les frontières. Avec Manu, le jazz prenait les couleurs du monde. Elles ne s’effaceront pas de sitôt. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE
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“A really great project from the legendary saxophonist Manu Dibango” by Dusty Gr
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“A really great project from the legendary saxophonist Manu Dibango – a set that's almost a return to more rootsy territory after his more upbeat grooves of the 80s – even though Manu was always a bit more of a hybrid player overall! (…) The album is a great overlooked chapter in Manu's career – proof that he kept on evolving, way past his initial hits – still a great saxophonist, branching out here past the sound of his native Cameroon. By DUSTY GROOVE
