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« Soirée chic et chaude » par Jazz Notes
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Le digne représentant des grands orchestres français, Claude Bolling, comprenant 16 musiciens plus celui que l’on considère comme l’élégant crooner, lui aussi français, Guy Marchand enregistrent au Petit Journal Montparnasse. Une soirée chic et chaude devant un public conquis d’avance. Certes les puristes vont rigoler, mais cela vaut bien les concerts d’invertébrés néo free où les gens applaudissent en se tirant en douce à l’entracte. Heureusement qu’il nous reste des ensembles de ce genre pour continuer la tradition du jazz éternel, en plus Marchand avec sa décontraction et sa chaleur est loin d’être ridicule.JAZZ NOTES
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« Un disque d’amis » par Jazz Notes
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Stan, qui a désormais 40 ans, se remémore les années 1980, celle des Supertramp, Bee Gees, Eagles et autres, les tubes de sa jeunesse…Il les transpose à sa façon jazz en compagnie de Pierre Maingourd (cb), Laurent Bataille (dr) et en invités : Emmanuel Bex (org), Michel Perez (g), Marc Berthoumieux (accord). Une façon astucieuse de renouveler ces thèmes en laissant se développer les retrouvailles ou chacun adapte son tempérament et ses connaissances. Un retour à sa jeunesse en y mêlant l’évolution. Un disque d’amis, heureux de se retrouver et d’interpréter ces différentes plages des plus charmantes.JAZZ NOTES
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« Une profonde inventivité » par Le Monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Chanteur, bassiste, compositeur, ancien membre fondateur du groupe Henry Cow, puis membre de National Health et de Soft Heap – soit quelques-unes des formations les plus influentes des rencontres de l’improvisation jazz et du rock des années 1970 et 1980 -, compagnon régulier du guitariste et parolier Peter Blegvad, John Greaves est un artiste intègre, d’une profonde inventivité, à mi-chemin de plusieurs mondes musicaux (le cabaret, le rock, le jazz, la poésie chantée…). Sa voix est l’une des plus singulières que la Grande Bretagne ait amenée au monde. Avec Greaves à la basse et aux claviers, le guitariste Patrice Meyer et le batteur Manuel Denizet. Précieux, comme ses deux précédents enregistrements, The Caretaker et On the Street where you live (Blueprint/Mélodie).LE MONDE
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« The charm is in the details » par Dirty Linen
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Greaves has occasionally found himself in the shadow of legends, having played with Fred Frith in the influential avant-garde jazz-rock band Henry Cow and later with Michael Mantler and Carla Bley. He also collaborated with Peter Blegvad, who wrote the lyrics to two of this album’s songs. La petite bouteille de linge (The Small Bottle of Linen), the reissue of an album recorded and released 10 years ago, is well-nigh unclassifiable in terms of musical genres. Avant-pop will probably do as well as anything. Some songs have cryptic lyrics while others are very melodic. The charm is in the details, such as in Sophia Domancich’s quirky piano playing, the haunting melancholia of « Rose C’est la Vie » (a French song that is featured in two very different versions), and the brass band on « Le Garon Vert ».PEC – DIRTY LINEN
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« Juste du plaisir » par Écouter Voir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Enfin du plaisir ! Ce disque inclassable qui dérive, sans limites, du rock british, à la bluette canadienne en passant par le folk irlandais et le fanfare délivre avant tout un sentiment de gaieté vraie. Une multitude d’invités prestigieux sont entraînés, et entraînent, Greaves dans un tourbillon d’expressions réussies. Pas d’étiquette, définitivement. Juste du plaisir.Lucas FALCHERO – ÉCOUTER VOIR
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« Irréductible originalité » par CD Review
Catégories : Article de presse ( Article de presse )En 1990, le regretté Patrick Tandin mettait en boîte l’une des plus belles productions de son label iconoclaste : cette série de chansons écrites et interprétées par l’un des plus inclassables musiciens anglais, John Greaves, qui fut un partenaire illuminé de Carla Bley, Fred Frith et Michael Mantler. Chanteur, mais aussi compositeur et bassiste, Greaves s’adonne ici à un excitant exercice de détournement mélodique, de transgression des normes stylistiques et des genres (des musiques de film au free jazz) ; se jouant des formats pop et des codes jazzistiques, pour créer une joyeuse performance, ironique, pleine d’humour, à la fois très précise, absolument indicible. Avec des partenaires provenant des divers circuits musicaux, évidemment inspirés par les arrangements de Greaves, tels Sophia Domancich, Michel Godard, Didier Malherbe, Pip Pyle, Nedim Nalbantoglu, Sylvain Kassap et un grand contrebassiste nommé Jean-François Jenny-Clark. Une belle réédition, toujours actuelle et d’une [...]
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Congratulations on a job well done an intrerview of Lawrence Schulman by Scott B
Catégories : Article de presse ( Article de presse )April 19, 2008 : Thank you Larry for agreeing to this online interview, and for your continued support of The Judy Room. This new CD set is very exciting and has been generating a lot of buzz in "Judy Fandom" (as I call it) for quite some time. I have a few questions about the CD anthology and the process of how anthologies like this get produced. Larry is co-producer of, and also the man who wrote the wonderful liner note to, the upcoming Freméaux & Associés release "Judy Garland - Classiques et inédits - 1929-1956 set for release on May 5, 2008] - When did you first become a Judy Garland fan, and what was it that first attracted you to her? I have often asked myself the same question. I am a baby-boomer, was born pretty much at the exact same time Judy was fired from MGM, but don’t really remember her becoming a passion until the early 1960s. I remember discovering Carnegie Hall around the time of its release. I also remember being excited at the release of I Could Go On Sing [...]
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« Joli jeu de contrastes » par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Débonnaire Méphistophélès à lunettes, Michel Godard joue du serpent. Non point en charmant les reptiles à plumes ou à sonnettes de sa flûte enchanteresse. Mais en soufflant dans un tube ondulé de bois et de cuir dont le nom « vient de ce qu’il a la figure du serpent, ayant plusieurs replis pour corriger sa longueur ». Ainsi décrivait-on autrefois cet ancêtre du tuba aux sonorités graves mais voilées, délicates : « Très proche de la voix humaine » dit Michel Godard. Cet éclectique souffleur de 33 ans qui a commencé par jouer de la trompette dans l’harmonie des usines Peugeot de Sochaux, avant d’entrer au conservatoire de Besançon, a décidé de remettre au goût du jour le sinueux instrument à vent, inventé à la fin du XVIe siècle par un chanoine français. Envoûté par son reptile à six trous, il l’a mené en balade dans les clubs de jazz. Et le serpent, si décrié par les modernistes du XIXe siècle (parmi eux, Berlioz) après avoir été plébiscité par des compositeurs comme Charpentier ou [...]