PIERRE ET LE LOUP SUIVI DE MOZART RACONTÉ AUX ENFANTS
PIERRE ET LE LOUP SUIVI DE MOZART RACONTÉ AUX ENFANTS
Ref.: FA907

GÉRARD PHILIPE

GERARD PHILIPE

Ref.: FA907

Artistic Direction : JEAN-BAPTISTE MERSIOL

Label : Frémeaux & Associés

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Nbre. CD : 1

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Presentation

GÉRARD PHILIPE



Peter and the wolf and Mozart's life red by French legendary actor Gérard Philipe. Audiobook for children, in French.



Tracklist
  • Piste
    Title
    Main artist
    Autor
    Duration
    Registered in
  • 1
    Introduction - Pierre et le loup
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:02:50
    1956
  • 2
    Et maintenant voici l'histoire
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:05:43
    1956
  • 3
    Attention cria Pierre
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:02:56
    1956
  • 4
    Il était temps
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:03:05
    1956
  • 5
    Et maintenan, voici où en étaient les choses
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:03:08
    1956
  • 6
    De ses ailes, l'oiseau touchait presque la tête du loup
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:02:39
    1956
  • 7
    C'est alors... c'est alors…
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:02:15
    1956
  • 8
    Et maintenant, imaginez la marche triomphale
    Gérard Philipe
    Serge Prokofiev
    00:04:26
    1956
  • 9
    Une gloire spirituelle
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:02:47
    1957
  • 10
    Salzbourg
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:01:52
    1957
  • 11
    Sur les routes de l'Europe
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:04:31
    1957
  • 12
    Retour dans sa ville natale
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:04:07
    1957
  • 13
    Des aventures amoureuses
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:04:32
    1957
  • 14
    Opéra de Munich, en 1781
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:03:39
    1957
  • 15
    La période heureuse et brillante
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:01:30
    1957
  • 16
    Le théâtre
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:04:42
    1957
  • 17
    Annonce d'un siècle d'opéra
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:02:37
    1957
  • 18
    Les cinq dernières années de sa vie
    Gérard Philipe
    Antoine Duhamel
    00:03:38
    1957
Booklet

FA907 Pierre et le loup


PIERRE ET LE LOUP

et Mozart raconté aux enfants


PAR GERARD PHILIPPE






Voici deux contes d’éveil à la musique classique racontés par l’immense Gérard Philipe, éternel jeune premier et icône tutélaire du cinéma et théâtre français. « Pierre et le Loup » est un conte musical composé par le chef d’orchestre russe Serge Prokoviev, dans lequel les personnages sont incarnés par des instruments d’orchestre symphonique. Nous suivons avec bonheur les péripéties d’un jeune garçon et des animaux qu’il rencontre, chacun étant représenté par un thème musical et son instrument. Enregistrée en 1956 cette version de Gérard Philipe est l’une des plus grandes œuvres de notre patrimoine sonore. Dans « Mozart raconté aux enfants » de Georges Duhamel, le comédien narre aux enfants la vie du compositeur de génie, il s’agit, dans la pédagogie sonore pour la jeunesse, de l’un des premiers grands ouvrages sur la vie et l’œuvre de Mozart. La voix captivante de Gérard Philipe, la qualité des interprétations et de l’écriture, font de ces contes sonores des incontournables, pour les petits comme pour les grands.   

Patrick FRÉMEAUX


Pierre et le Loup (1956)
1. Introduction 2’50
2. Et maintenant voici l’histoire… 5’43
3. Attention cria Pierre… 2’56
4. Il était temps… 3’05
5. Et maintenant, voici où en étaient les choses… 3’08
6. De ses ailes, l’oiseau touchait presque la tête du loup… 2’39
7. C’est alors…c’est alors… 2’15
8. Et maintenant, imaginez la marche triomphale… 4’26
Mozart raconté aux enfants (1957)
 9. Une gloire spirituelle 2’47
10. Salzbourg… 1’52
11. Sur les routes de l’Europe 4’31
12. Retour dans sa ville natale 4’07
13. Des aventures amoureuses 4’32
14. Opéra de Munich en 1781 3’39
15. La période heureuse et brillante 1’30
16. Le théâtre 4’42
17. Annonce d’un siècle d’opéra 2’37
18. Les cinq dernières années de sa vie 3’38

GÉRARD PHILIPE – PIERRE ET LE LOUP / Mozart raconté aux enfants


Gérard Philipe

Né le 4 décembre 1922 à Cannes, Gérard Philip (sans le e) passe son enfance avec son frère Jean et ses parents, dans un climat aisé bien que son père, riche hôtelier dû par obligation abriter l’état-major Mussolinien durant la seconde guerre mondiale. Sa mère, Marie Elisa Vilette (surnommée Minou), quant à elle était fille d’un immigré tchèque directement venu de Prague. Gérard Philip suit sa scolarité au lycée de l’Institut Stanislas de Cannes et y obtient son baccalauréat (nous sommes au début de la guerre). Son père qui le destinait à devenir juriste, l’inscrivit à la faculté de droit de Nice en 1942, mais il rencontre déjà à partir de 1940 des artistes réfugiés sur la côte d’azur, ce qui le décide à devenir acteur. En 1941, Marc Allégret, lui-même réfugié dans la région est entraîné au parc de l’Hôtel Palace à Grasse dans lequel la maman du jeune Gérard pratique des séances de spiritisme. Lors de cette rencontre, elle persuade Marc Allégret d’auditionner son fils, qui lui conseille de s’inscrire au centre des jeunes du cinéma à Nice et l’envoie prendre les cours d’art dramatique de Jean Wall et Jean Huet à Cannes. Dès 1942, Gérard Philipe va jouer au théâtre, notamment sous l’impulsion de Claude Dauphin pour une pièce d’André Roussin au casino de Nice : Une grande fille toute simple. Cette même année voit la première apparition au cinéma de Gérard Philipe dans La boite aux rêves de Yves Allégret, frère de Marc. C’est lorsque la famille s’installe à Paris en 1943 que Gérard Philipe s’inscrit au conservatoire national supérieur d’art dramatique et qu’il suit les cours de Denis d’Inès, puis ceux de Georges Le Roy avant d’obtenir le second prix de comédie. Le succès est immédiat alors qu’il n’a que vingt ans et que nous sommes en pleine guerre mondiale : son rôle dans Sodome et Gomorrhe de Jean Giraudoux est remarqué par le public mais aussi la profession. Membre des FFI, il participe à la libération de Paris en 1944 et contribue sous les ordres de Roger Stéphane à la libération de l’Hôtel de ville (août 1944). Ce n’est qu’à ce moment là, que Marie Elisa lui conseille de rajouter un « e » à son nom de famille : elle pense que cette idée lui portera chance, puisqu’il portera 13 lettres à son nom de scène. Un drame familial survient en 1945, lorsque son père est condamné à mort pour intelligence avec l’ennemi, bien que Gérard Philipe ait contribué à la libération de Paris ; son père s’échappera en Espagne où il lui rendra régulièrement visite. Dès 1945, la carrière de Gérard Philipe va devenir grandiose, grâce à son rôle au théâtre dans Caligula d’Albert Camus. Coté cinéma, il connaît un succès sans précédent avec Le Diable au corps de Claude Autant-Lara en 1947. Il s’engage auprès du Parti Communiste français et est l’un des premiers à signer l’appel de Stockholm en 1950 contre l’armement nucléaire (nous sommes en pleine guerre froide). Il devient président du Syndicat des artistes interprètes (SFA) dès 1958 et œuvre pour la défense des droits des artistes. Dès 1951, il intègre le Théâtre National Populaire (TNP) sous la direction de Jean Vilar et joue Le Prince de Hombourg de Kleist et Le Cid de Corneille. Il met en scène lui-même des pièces classiques comme Lorenzaccio d’Alfred de Musset. Il remporte un vif succès international grâce à son charisme reconnu dans tous ses films, à l’exception peut-être de la nouvelle vague de cinéastes qui le rejette. Peut-être que sa jeunesse et sa beauté dérangent, notamment avec l’énorme succès de Fanfan la Tulipe. Durant les années cinquante, il ne va cesser de tourner un nombre impressionnant de films, tous de bonne qualité, et il enregistre de très nombreux disques pour le compte de diverses maisons de disque : Pathé, Le petit Ménestrel, Chant du Monde, Festival, Ducretet Thomson. Il s’inscrit comme un porte-parole de la littérature et de la culture hexagonale, puis de l’élégance française. Il meurt brutalement le 25 novembre 1959 en pleine gloire. Alors qu’il rentrait de tournage avec Luis Buñuel au Mexique pour le film La fièvre monte à El Pao, son cancer du foie l’emporte. Il est enterré à Ramatuelle, vêtu du costume de Don Rodrigue qu’il portait dans la pièce de théâtre, Le Cid. Telle était sa dernière volonté.
Pierre et le loup
L’enregistrement de Pierre et le loup par Gérard Philipe en 1956 résulte en fait d’une alliance idéologique. Grand soutien au Parti communiste, il n’est pas étonnant qu’il ait travaillé avec la firme Le chant du Monde qui portait elle-même cette couleur politique. Fondé en 1938 par Léon Moussinac, écrivain et historien de cinéma, il est le plus ancien label français à toujours être en activité. Dès le départ il était orienté vers l’édition littéraire et phonographique et dans le domaine des 78 tours, Le Chant du Monde avait pour mission de recueillir les musiques traditionnelles des provinces françaises puis du monde entier. Plusieurs compositeurs de renoms en ont constitué le comité de parrainage : Georges Auric, Francis Poulenc, Darius Milhaud, Albert Roussel, Arthur Honneger, Charles Koechlin, Manuel Rosenthal ou encore Roger Désormière. Dès le départ, la maison de disque n’a pas caché son orientation communiste et a même révélé Dimitri Chostakovitch au public français. Durant la seconde guerre mondiale l’activité de Chant du monde a été interdite, ayant été taxée de « bien juif ». Une fois la guerre terminée, elle reprend du service en signant en contrat Sergueï Prokoviev ou encore Dimitri Chostakovitch. Le Chant du monde produit mais s’occupe aussi de la distribution de labels régionaux modestes comme Mouez Breiz en Bretagne pour une série de 78 tours traditionnels celtiques. Le Chant du monde produit les premiers enregistrements de Léo Ferré puis Mouloudji et Cora Vaucaire. Par la suite le label produira de très nombreux disques de musiques russes et traditionnelles, puis des artistes moins renommés apparaitront au catalogue, ayant parfois du mal à se démarquer face à une société musicale capitaliste et jonchée de partenariats radiophoniques arrangés. Quoi qu’il en soit, Le Chant du Monde excelle dans l’édition pédagogique et ses publications pour enfants connaissent de grands succès, comme les disques de Steve Waring et le plus célèbre d’entre eux et qui nous intéresse ici : Pierre et le loup par Gérard Philipe. Le Chant du Monde connaitra un nouvel essor en distribuant la firme soviétique Melodiya et en s’associant à Harmonia Mundi dès 1990. La version de Pierre et le Loup que Gérard Philipe enregistre en 1956, est adaptée par Gil-Renaud, et l’Orchestre symphonique de l’U.R.S.S. sous la direction de G.Rojdestvenski accompagne le narrateur. Quel choix plus évident aurait-il pu y avoir pour une telle firme et surtout une telle œuvre ? Pierre et le Loup est un conte musical pour enfant dont Sergueï Prokofiev (1891-1953) a écrit lui-même le livret original et composé la musique qui l’accompagne. Cette œuvre a été composée en 1936, l’enregistrement de Gérard Philipe lui, date de 1956, soit trois ans après la mort du compositeur. Cette œuvre a été encouragée par Natalia Saz, alors directrice du Théâtre central pour enfants de Moscou, qui avait dans l’idée de familiariser le jeune public avec les principaux instruments d’un orchestre symphonique. Natalia Saz sera d’ailleurs la récitante de Pierre et le loup lors de la première représentation de l’œuvre le 2 mai 1936.
Pierre et le loup met donc en scène Peteya (Pierre en russe), un jeune garçon vivant dans la campagne avec son grand père (Pierre est représenté par le quatuor à cordes). L’histoire n’est pas bien compliquée : alors que Pierre omet de fermer une porte, le canard qui est représenté par le hautbois, profite de cette opportunité pour se baigner dans la mare et se querelle avec un oiseau symbolisé par la flute traversière. Au même moment le chat qui est représenté par la clarinette s’approche mais Pierre qui assiste à la scène, alerte le volatile afin qu’il puisse se réfugier dans un arbre. Le grand père (basson) qui craint que le loup (représenté par les cors) ne vienne, ramène Pierre à la maison et prend soin de refermer la porte. Mais Pierre profite du moment où le grand père s’endort pour aller chasser le loup. Tandis que le chat se réfugie dans l’arbre, le canard se fait dévorer par le loup. Pierre se munit d’une corde et grimpe dans l’arbre. L’oiseau qui l’attendait, tourne autour de la tête du loup pour attirer son attention et c’est à ce moment-là que Pierre parvient à l’attraper par la queue. Les chasseurs (bois et cuivres) sortent de la forêt. L’oiseau qui alerte les chasseurs de la présence du loup les entrainent dans une chasse sans pitié mais Pierre qui maitrise la situation les stoppe dans leur élan. Ainsi ils emmènent tous le loup au zoo et organisent une grande fête. Bien que les timbales et la grosse caisse symbolisent les coups de feu, il n’y a pas de drame dans cette œuvre, le loup reste bien vivant. Et si chaque personnage requiert de son thème particulier, celui de Pierre reste gravé dans toutes les mémoires et reste à ce jour le leitmotiv incontestable de l’œuvre. Il faut noter toutefois que l’œuvre composée ici n’a pas été prévue pour un orchestre tout entier mais pour une formation réduite se limitant à un orchestre à cordes de chambre, de 4 bois (1 flûte traversière, 1 hautbois, 1 clarinette et 1 basson), de 5 cuivres (3 cors, 1 trompette et 1 trombone) et de 9 percussions (3 timbales, 1 triangle, 1 castagnette, 1 tambourin, 1 cymbale, 1 caisse claire, 1 grosse caisse). L’enregistrement de Gérard Philipe reste la version la plus ancienne connue et certainement celle de référence. Toutefois Fernandel l’enregistra en 1959, tout comme le feront ensuite Robert Lamoureux, Claude Piéplu, Jean Nohain, Jacques Brel, David Bowie, Jacques Higelin, Charles Aznavour, Eddy Mitchell ou encore Michel Galabru parmi tant d’autres.
Mozart raconté aux enfants
La vie de Mozart a été enregistrée l’année suivante (1957) pour le compte d’une autre maison de disque : Le Petit Ménestrel. Son enregistrement s’inscrit dans un cadre purement pédagogique à destination du jeune public. Le livre disque en question paraîtra dans une très vaste collection réunissant les plus grands compositeurs de musique classique passant de l’ère baroque de Vivaldi jusqu’à l’ère néo romantique de Wagner. Le texte est signé Georges et Antoine Duhamel mais malheureusement nous n’avons pas d’indication sur l’orchestre choisi pour les extraits sonores. Cette même année Gérard Philipe enregistre également un autre livre disque pour le même producteur : Don Quichotte de la Manche. Le Petit Ménestrel est un label qui est le digne hériter de ses prédécesseurs concernant les disques pour la jeunesse. Bien avant l’arrivée de l’industrie du disque, les publications destinées à la jeunesse mélangeaient légèreté, humour et innocence. Il n’a sans doute pas été aisé de mettre en lumière pour ce jeune public la vie tourmentée et complexe d’un compositeur tel que Mozart. Toute la subtilité de l’exercice réside dans le fait de rendre accessible la musique classique aux jeunes oreilles. Le charisme de Gérard Philipe n’est plus à démontrer en 1957 et il semblerait qu’il ait réussi le pari de tenir en haleine l’auditeur. Composé uniquement de deux parties (face 1 et face 2) il est difficile d’imaginer un découpage, tant la vie de Mozart se décompose en trois périodes, il serait ridicule de tenter de recoller et couper ainsi deux faces d’un disque 33 tours, 25 centimètres d’une quarantaine de minutes. Il existe un remix de ce disque en stéréo paru dans les années soixante-dix, avec des différences notoires. Déjà réédité en version stéréo, nous avons pensé qu’il serait intéressant de le publier ici dans sa version originale mono, telle que Gérard Philipe l’entendit lors de sa réalisation en 1957.
Wolfgang Amadeus Mozart est né à Salzbourg le 27 janvier 1756 et meurt à Vienne le 5 décembre 1791 à seulement 35 ans en laissant derrière lui une oeuvre impressionnante (Soit plus de 625 œuvres répertoriées). Violoniste et pianiste virtuose, il porta à la perfection le concerto, la symphonie et la sonate, en respectant dans un premier temps ses codes mais en prenant la liberté de bousculer les conventions de son époque. Malgré une audace particulière dans ses partitions, son succès a été constant à son époque mais peu de gens savent que son nom est presque tombé dans l’oubli durant le XIXe siècle ; ce n’est qu’au début du XXe siècle qu’il est remis au goût du jour et que sa réputation de génie musical s’impose définitivement. Gérard Philipe narre l’existence de ce compositeur allant de l’enfance à ses débuts en tant que compositeur dès son plus jeune âge, passant par ses qualités de compositeur à la cour et son indépendance pour aboutir à sa mort prématurée. Le disque est une belle réussite, toutefois pour conclure notre texte avant de passer à l’écoute, il nous a paru important de citer ci-dessous les différents extraits (hélas tronqués) des œuvres présentées.
œuvres
1.    Symphonie en Sol Mineur – K 550 – 1er mouvement
2.    Sonate piano en La Majeur – K 331 – 3e mouvement
3.    Divertimento en Ré Majeur – K 136
4.    Symphonie en Ré Majeur « Haffner » - K 385
5.    Concerto pour flute en Ré Majeur – K 314 – Final
6.    Sonate pour piano et flûte en Fa Majeur – K 13
7.    Concerto pour violon en Ré Majeur – K 211 – 2e mouvement
8.    Concerto pour piano en M Bémol Majeur – K 271 – 2e mouvement
9.    Sérénade en Ré Majeur – K 202 – 4e mouvement
10.    Sonate pour piano et violon en Mi Mineur – K 304
11.    Concerto pour flûte et harpe – K 299 – 2e mouvement
12.    Sonate pour piano en La Mineur – K 310
13.    Messe du couronnement – K 317 – Credo
14.    Quatuor en Ré Mineur – K 421
15.    Messe en Ut Mineur – K 427 « Qui Tollis »
16.    Concerto pour piano en Ré mineur – K 466
17.    Air de Don Juan – K 527
18.    Concerto pour clarinette en La Majeur – K 622 – 2e mouvement
19.    Sérénade en Sol Majeur – K 525 – « Petite musique de nuit »
20.    Symphonie en Ut Majeur – K 551 – Coda « Jupiter »
Jean-Baptiste Mersiol
© Frémeaux & Associés 2020



GÉRARD PHILIPE – PIERRE ET LE LOUP / Mozart raconté aux enfants
Pierre et le loup
1.    Introduction 2’50
2.    Et maintenant voici l’histoire… 5’43
3.    Attention cria Pierre… 2’56
4.    Il était temps… 3’05
5.    Et maintenant, voici où en étaient les choses… 3’08
6.    De ses ailes, l’oiseau touchait presque la tête du loup… 2’39
7.    C’est alors…c’est alors… 2’15
8.    Et maintenant, imaginez la marche triomphale… 4’26
Mozart raconté aux enfants
 9.    Une gloire spirituelle 2’47
10.    Salzbourg… 1’52
11.    Sur les routes de l’Europe 4’31
12.    Retour dans sa ville natale 4’07
13.    Des aventures amoureuses 4’32
14.    Opéra de Munich en 1781 3’39
15.    La période heureuse et brillante 1’30
16.    Le théâtre 4’42
17.    Annonce d’un siècle d’opéra 2’37
18.    Les cinq dernières années de sa vie 3’38
1 à 8 : Disque Le chant du Monde LDX 78187 – 1956. Narration : Gérard Philipe. Conte et musique de Serge Prokoviev. Adaptation française de Gil-Renaud. Orchestre symphonique de l’U.R.S.S. sous la direction de G. Rojdestvenski.
9 à 18 : Disque Le petit Ménestrel ALB 10. 117M. 1957. Narration : Gérard Philipe. Texte de Georges Duhamel et Antoine Duhamel.

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