Pinchas Zukerman - Claude Bolling
Pinchas Zukerman - Claude Bolling
Ref.: FA442

SUITE POUR VIOLON ET JAZZ

CLAUDE BOLLING

Ref.: FA442

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 45 minutes

Nbre. CD : 1

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  • - GRAMMY AWARDS 1976 : MEILLEURS INTERPRÈTES DE MUSIQUE DE CHAMBRE
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Présentation

Pinchas Zukerman, révélé dès sa première saison (1968/69) avec Léonard Bernstein et le Philharmonic de New York, deviendra par sa maîtrise technique et ses qualités d’interprétation le légitime successeur de Yehudi Menuhin. Séduit par la fameuse “Suite pour Flûte” de Claude Bolling créée par Jean-Pierre Rampal qui associe le “baroque” et le jazz, ce grand violoniste de la musique classique romantique a voulu à son tour dialoguer avec le jazz de Bolling. Tel Gershwin, Claude Bolling réussit ce métissage entre la musique romantique d’Europe de l’Est et un jazz Ellingtonien.
Patrick Frémeaux & Claude Colombini

Romance • Caprice • Gavotte • Tango (with viola) • Slavonic dance (with a swing) • Ragtime • Valse lente • Hora.
Pinchas Zukerman : violon • Claude Bolling : piano • Max Hediguer : Contrebasse • Marcel Sabiani : batterie.
GRAMMY AWARDS 1976 : MEILLEURS INTERPRÈTES DE MUSIQUE DE CHAMBRE

Droits : Frémeaux & Associés pour Caid Music, Claude Bolling et Groupe Frémeaux Colombini SAS - La Librairie Sonore.



Romance • Caprice • Gavotte • Tango (with viola) • Slavonic dance (with a swing) • Ragtime • Valse lente • Hora.

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Presse
CLAUDE BOLLING  Claude Bolling, 10 avril 1930 - 29 décembre 2020."Pianiste, compositeur et chef d’orchestre Français, Claude Bolling fait partie des figures majeures du jazz classique du XXème siècle. Dès l’après-guerre, Claude Bolling se fait remarquer dans les clubs de jazz les plus en vue de Paris et joue avec les meilleurs musiciens de jazz présents dans la Capitale (Rex Stewart, Lionel Hampton, Sidney Bechet, Django Reinhardt…). En octobre 1956, sous l’impulsion de Frank Ténot, il constitue sa première grande formation : le Grand Club Orchestra (cf. coffret Claude Bolling Collector, réf. FA5114).  Ci-dessus : Irène Bolling, Brigitte Bardot et Claude Bolling Ci-dessous : avec Duke EllingtonDisciple et ami de Duke Ellington, dont il s’est largement inspiré, il rassemble les meilleurs jazzmen – compagnons des anciens jours comme musiciens des nouvelles générations – leur offrant la joie d’exprimer tout leur talent sur des compositions créées dans la grande tradition de ses prédécesseurs : Count Basie, Glenn Miller, Tommy Dorsey, Benny Goodman… C’est tant par la créativité de son chef d’orchestre que par la dimension de ses solistes et musiciens que le Claude Bolling Big Band a atteint cette musicalité exceptionnelle. Maîtrisant un vaste répertoire de près de 400 titres, il a su séduire un large public tout au long de sa carrière internationale, dont la fidélité lui a permis une extraordinaire longévité. Sa notoriété auprès du grand public s’accroît considérablement au contact de grandes vedettes des variétés (Brigitte Bardot, Dario Moréno, Sacha Distel, Juliette Gréco, Henri Salvador, etc.) et grâce à des succès extraordinaires comme compositeur de musiques de films : plus de cent thèmes à son actif, dont les célèbres : Borsalino et Les Brigades du tigre.        Créateur d’un genre nouveau, à la croisée des chemins de la musique classique et du jazz (le crossover music), Claude Bolling détient le record mondial de ventes du disque classique en restant plus de dix ans dans les charts américains (Billboard classique) avec la Suite pour flûte et jazz piano trio (FA443). La complémentarité de ses talents et son extraordinaire longévité le classe comme un grand compositeur Français du XXè siècle et en même temps comme l’un des plus grands ambassadeurs du jazz dans le monde." Patrick Frémeaux & Claude Colombini© 2006 GROUPE FRÉMEAUX COLOMBINI SAS"Your piano is something I'll always remember" Louis Armstrong à Claude Bolling, 1947"Your husband is a genius" Dizzy Gillespie à Irène Bolling, 1982Aux côtés de Louis Armstrong"Il est complètement inutile de présenter Claude Bolling. Tout le monde, que ce soit l'Ancien ou le Nouveau, sait que CLaude Bolling est le meilleur. Je ne veux pas énumérer ici ses mérites. Je risquerais d'en omettre plusieurs, et ce serait insulter sa modestie que d'oser rappeler une fois encore que sa verve de compositeur n'a dégal que sa virtuosité pianistique, et que ses arrangements ne sauraient atteindre leur plénitude orchestrale que lorsqu'il en dirige lui-même l'exécution... Ouf !" Jean-Christophe Averty   "Ecoutez Claude Bolling", réponse idéale à ceux qui vous disent "Le jazz, ce n'est pas de la musique". Boris Vian 1948"Hier soir, Claude Bolling était ici, à quatre heures du matin. Il m'a montré certaines choses en stride, des trucs de Fats Wallers... Il joue ! C'est ce que j'aime... Le jazz, les Afro-Américains l'ont inventé, mais si vous écoutez ceux qui en jouent, il est difficile de faire la différence. Prenons ce que m'a joué Claude Bolling hier soir : il n'y a pas un seul Afro-Américain capable de jouer comme ça, à part peut-être Hank Jones..." Winton Marsalis - Jazz Magazine, 1994   Earl Hines et la maman de Claude Bolling CLAUDE BOLLING  Par Benjamin Goldenstein et Patrick Frémeaux Claude Bolling, né en 1930. Pianiste, compositeur, arrangeur et chef d’orchestre, Claude Bolling est sans doute l’un des musiciens français actuels les plus réputés dans le monde, dans des domaines allant du jazz à la variété et de la musique de films à la musique dite classique. De par la richesse de sa production phonographique, la longévité de sa carrière et la diversité de ses talents de compositeur, d’interprète, d’arrangeur et de directeur d’orchestre, il s’est forgé une stature exceptionnelle non seulement en France, mais dans le monde entier. Du haut de quelques soixante années de carrière, Claude Bolling peut aujourd’hui contempler avec fierté l’œuvre qu’il lègue aux amoureux de la musique et dont les éditions Frémeaux & Associés sont, depuis 2001, les garants. En tant que pianiste de jazz, il a joué avec les meilleurs musiciens de la planète (Django Reinhardt, Stéphane Grappelli, Duke Ellington, Sidney Bechet, Lionel Hampton, etc.).   A la tête de son Big Band depuis cinquante ans, il a sillonné le monde et les salles de concerts et a bien mérité son surnom de « Bollington » dans la promotion du swing américain des grands orchestres des années Duke Ellington. Compositeur éclectique, ses éclairs de génie ont illuminé des films comme Borsalino, ou la mythique série télévisée Les Brigades du tigre, mais lui ont aussi permis de créer et magnifier un nouveau genre musical issu du métissage entre la syntaxe du jazz et la diction de la musique classique. L’acte de naissance de cette « crossover music » date de 1974, avec la Suite pour flûte et jazz piano trio ou le trio jazz de Claude Bolling est accompagné par Jean-Pierre Rampal. Disque de platine, record absolu des ventes du Billboard avec plus de 530 semaines au classement des meilleures ventes classiques ! Bref, Claude Bolling incarne à lui seul toute une culture musicale, porte en lui et insuffle à ses partenaires l’héritage d’un savoir-faire exceptionnel dans l’interprétation, l’arrangement et la composition de la musique jazz.    Avec Don Byas & Roy EldridgeLes premières notes… Né à Cannes le 10 avril 1930, Claude Bolling a toujours vécu à Paris, hormis un intermède niçois pendant l’Occupation, au cours duquel il reçoit l’enseignement précieux de Marie-Louise « Bob » Colin, pianiste, trompettiste et batteur dans un des nombreux orchestres féminins à la mode dans l’entre-deux-guerres. Sitôt découvert le monde magique du jazz, il se passionne pour Thomas « Fats » Waller, dont la musique festive ne manque pas de le séduire.  Il est encore en culottes courtes quand, en 1945, il remporte le tournoi des amateurs, organisé par Jazz Hot et le Hot Club de France à Paris. Son champ d’intérêt s’étend rapidement aux autres maîtres du piano : Willie « The Lion » Smith, Erroll Garner et Earl Hines dont il est le disciple. Première formation à 16 ans ; premier disque à 18, Claude Bolling sent pourtant le besoin d’acquérir un authentique bagage musical. Il bénéficiera d’une instruction solide et complète – qui sera pour beaucoup dans la polyvalence qui la caractérisera plus tard – avec Germaine Mounier (piano classique), Léo Chauliac (piano jazz), Maurice Duruflé (harmonie) et André Hodeir (contrepoint, orchestration, écriture jazz). Après un service militaire passé dans la « Musique » du Premier Train des Equipages, où il joue du trombone et des percussions, c’est par le jazz que Claude Bolling entre dans la profession. Il fait les beaux soirs de tous les établissements à la mode : Club Saint Germain, Vieux Colombier, Caveau de la Huchette… autant de lieux emblématiques d’une activité jazzistique intense. Les plus grands solistes américains de passage en France ne manquent pas de faire appel à lui. Il participe ainsi, du haut de ses vingts ans, aux séances d’enregistrement et aux concerts de Rex Stewart, Buck Clayton, Lionel Hampton, Albert Nicholas, Roy Elridge… devenant l’une des personnalités les plus en vue du monde du jazz à Paris.  Avec Errol GarnerL’aventure Big Band… En octobre 1956, sous l’impulsion de Frank Ténot, Claude Bolling, âgé de 26 ans, constitue sa première grande formation : le Grand Club Orchestra (cf. coffret Claude Bolling Collector, réf. FA5114). Disciple et ami de Duke Ellington, dont il s’est largement inspiré, il rassemble les meilleurs jazzmen – compagnons des anciens jours comme musiciens des nouvelles générations – leur offrant la joie d’exprimer tout leur talent sur des compositions créées dans la grande tradition de ses prédécesseurs : Count Basie, Glenn Miller, Tommy Dorsey, Benny Goodman… C’est tant par la créativité de son chef d’orchestre que par la dimension de ses solistes et musiciens que le Claude Bolling Big Band a atteint cette musicalité exceptionnelle. Maîtrisant un vaste répertoire de près de 400 titres, il a su séduire un large public tout au long de sa carrière internationale, dont la fidélité lui a permis une extraordinaire longévité. En janvier 2006, celui-ci fête en effet ses cinquante ans lors d’une soirée mémorable au Jazz club Lionel Hampton de l’hôtel Méridien  Avec Duke EllingtonCourtisé par le grand public… C’est l’emblématique Boris Vian qui va permettre à Claude Bolling de compléter sa notoriété dans les milieux de la chanson dès l’après-guerre. Le célèbre écrivain et trompettiste amateur, il demande en effet à Claude d’écrire les arrangements de ses Chansons possibles et impossibles. Succès d’édition, le disque lui met le pied à l’étrier dans le monde des variétés. Plusieurs artistes célèbres lui confient alors la direction musicale de leurs réalisations : Sacha Distel, Jacqueline François, Juliette Gréco, Henri Salvador, Brigitte Bardot…  Musicien courtisé par les musiciens, il sera plébiscité par le grand public dans les années soixante pour un grand coup de maître dont il est l’instigateur : « Les Parisiennes », ce groupe vocal féminin qui fit tourner la tête à toute une génération, vibrer les planches de tous les dancing et swinguer les ondes des radios du monde entier – à commencer par France Inter et le cultissime Pop Club de José Arthur qui utilisa pendant près d’un demi-siècle une chanson des Parisiennes pour son générique.   Avec Henri Salvador Compositeur pour le cinéma… Après un travail régulier auprès de Dario Moréno, Claude Bolling se voit confier l’écriture de la musique d’un film dont Dario est la vedette. C’est le premier défi d’un genre où Bolling passera vite maître et marquera les mémoires de ses contemporains. C’est en effet une véritable carrière de compositeur de musiques de films qui commence alors pour Claude Bolling. Celui-ci en a, à ce jour, écrit plus de cent, dont certaines ont été d’immenses succès : Borsalino, c’est lui ! Flic Story, c’est lui ! Le Magnifique, c’est encore lui ! Pour ne pas citer : The Awakening, California Suite… Pour ne pas citer non plus les séries télévisées que Bolling a marqué de sa griffe : après avoir animé, dans les années soixante les grandes émissions télévisées de variétés d’Albert Raisner, de Maritie et Gilbert Carpentier, de Jean-Christophe Averty, il compose en effet de nombreuses musiques pour le petit écran. Des exemples ? Mais nous n’en manquons pas… Un seul pourrait suffire tant il est marquant : Les Brigades du Tigre ! Eh oui, ça aussi c’est Bolling ! Citons encore La Garçonne ou Le Clan…  Avec Jean-Christophe Averty Inventeur d’un genre nouveau… L’expérience professionnelle et les succès confèrent à Claude Bolling une autorité incontestée parmi ses collègues musiciens, lui permettant de travailler avec les plus grands noms de la profession, toutes musiques confondues. Il invente ainsi une forme nouvelle d’expression, sorte de patchwork musical, la « Crossover music », qui fait, sans les dénaturer, cohabiter, dans des pièces très organisées, les syntaxes du jazz et du classique. Sa Suite pour Flûte et Jazz Piano trio, écrite à l’intention de Jean-Pierre Rampal et enregistrée avec lui en 1974, connaîtra un immense succès aux Etats-Unis. Elle restera 530 semaines au hit parade (Billboard) et obtiendra les disques d’or et de platine (record mondial de ventes du disque classique). L’expérience se reproduira par la suite avec Alexandre Lagoya, Pinchas Zukerman, Maurice André, Yo-Yo Ma, l’English Chamber Orchestra, Patrice et Renaud Fontanarosa, Marielle Normdann, Guy Touvron, Eric Franceries…   En 2006, Sony BMG autorise pour la première fois les éditions Frémeaux & Associés à éditer pour l’Europe les plus grandes productions américaines de Claude Bolling (avec entre autres Maurice André, Alexandre Lagoya, Jean-Pierre Rampal, Yo-Yo Ma, accompagnés par Daniel Humair et Guy Pedersen)   Ci-dessous avec Lionel Hampton Retour aux sources… Le talent de Claude Bolling a pu s’exprimer dans toutes les formes d’expression musicale. Cependant, l’homme reste dans son tréfonds, un musicien de jazz qui continue à vibrer pour un solo de ragtime, pour un air de boogie, pour une orchestration de Sy Oliver. Le pianiste parfois s’efface et devient enfin chef, son rêve ellingtonnien d’un big band, qu’il organise et dirige depuis les années soixante-dix. Cette grande formation, composée de musiciens de très grand talent travaillant avec lui depuis de longues années, ne tarde pas à faire reconnaître ses qualités exceptionnelles. Le « Claude Bolling Big Band » a fêté son quarantième anniversaire en 1996 et à fait le tour du monde : invité aux Etats-Unis, en Asie, en Amérique du Sud, au Mexique… c’est partout un immense succès auprès d’un public large, conquis par le caractère populaire du jazz. Claude Bolling se fait alors serviteur des musiques de Duke Ellington, de Count Basie, de Jimmie Lunceford, de Glenn Miller… Ses albums sont le reflet de ce répertoire immortel, mais sont également l’occasion de présenter ses propres compositions écrites dans le respect d’une grande tradition. Il peut aussi accueillir les plus grandes personnalités du jazz, tels que les chanteurs Joe Williams, Carmen Mc Rae, Dee Dee Bridgewater, et les instrumentistes William « Cat » Anderson (tp), Dizzy Gillespie (tp), Jon Faddis (tp), Sam Woodyard (dm), Rhoda Scott (organ). Claude Bolling a même pu faire jouer ensemble son big band et celui d’Illinois Jacquet ou le Duke/Mercer Ellington Orchestra. Sa rencontre avec Stéphane Grappelli en 1991 dans l’album First Class (Django d’Or et Prix du HCF 1993) est l’une des grandes réussites phonographiques de ces dernières années. Claude Bolling est derrière Duke Ellington à la Gare du Nord La palette du talent de Claude « Bollington », comme l’avait affectueusement surnommé Boris Vian, s’est en 1996 élargie à la musique de scène, avec sa participation à la création en première mondiale sur la scène du Théâtre National de Chaillot de A Drum is a woman, la composition de Duke Ellington, son maître et ami. Parabole de l’histoire du jazz, créée par Duke sur une idée d’Orson Welles, A Drum is a woman avait été confiée à Claude Bolling par le maître en personne pour une adaptation européenne. Bolling s’acquitta de ce legs et créa le spectacle, jusqu’alors inédit, dans une mise en scène de Jérôme Savary – avec le concours de Manu Dibango. Pour célébrer le centenaire de Duke Ellington, Claude a re-créé, en 1999, une de ses œuvres majeure « A ton parallel to Harlem ». Et pour fêter le changement de millénaire, l’orchestre a mis Paris et le swing à l’honneur dans un album et un programme de concerts PariSwing.   FIAP 1984 Patrick Frémeaux producteur des concerts de Claude Bolling   Frémeaux & Associés, éditeur de Claude Bolling…  Ci-dessous avec Patrick & Jules FrémeauxA douze ans, Patrick Frémeaux baigne déjà dans la musique de Claude Bolling. A dix-sept ans, lorsqu’il organise ses premiers festivals de jazz, Claude est le seul artiste connu du grand public à accepter de jouer comme vedette. De cette aide substantielle allait naître une grande estime qui devait tout naturellement déboucher, à partir de 2001, sur la réédition totale des œuvres de Claude Bolling chez Frémeaux & Associés (éditeur muséographique de référence du groupe Frémeaux Colombini). A commencer par un coffret Rolling with Bolling qui regroupe les cinq premiers albums vinyles du Big Band. Evolution technique oblige The Victory Concert – Echoes of 1944-45 joué devant 300 000 personnes Place de la Concorde à l’occasion des 50 ans de la Libération de Paris ressort en DVD, suivi de la suite pour Flûte et de First Class. Fin 2004, un « Collector » voit le jour qui rassemble des enregistrements 78 tours de 1948 et ceux de son premier Big Band constitué pour le Club Français du disque.   Ci-dessous : Irène, Claude Bolling, Brigitte Bardot et Don ByasAujourd’hui, Claude Bolling occupe, par son rayonnement personnel, le rôle d’ambassadeur itinérant de la France dans le monde. En hexagone, son big band a joué un rôle décisif dans la formation de certains de nos plus grands jazzmen qui ont tous commencé chez lui : Claude Tissendier, Jean-Louis Chautemps, Stan Laferrière, Gérard Badini, Michel Portal, etc.  Il œuvre à la reconnaissance du jazz et de sa tradition, comme l’ont fait les deux grands maîtres français, Django Reinhardt et Stéphane Grappelli. Dernier grand jazzman européen, il incarne, pour quatre générations en simultané, la relecture européenne du grand répertoire de la culture américaine, traité avec l’expression de l’esthétique européenne. Cinquante ans après ses débuts, l’orchestre reste le plus représentatif du patrimoine bâti de l’histoire du jazz classique et fête son jubilé avec sa tournée 2006-2007, dont le coup d’envoi a été donné lors d’une semaine époustouflante passée sous les hospices du Jazz Club Lionel Hampton, où Claude Bolling, pour l’anniversaire des cinquante ans de son Big Band, a été élevé par la République au rang de Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres. La carrière phonographique de Claude Bolling est entièrement disponible dans le monde entier au catalogue Frémeaux & Associés, avec déjà 50 CDs et 3 films DVD. Benjamin Goldenstein & Patrick Frémeaux © 2006 GROUPE FRÉMEAUX COLOMBINI SAS© Frémeaux & Associés Biographie (Bio Claude Bolling)
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« parvenir à le faire exister contre vents et marrées durant cinquante ans relève du miracle. » Alex DUTHIL – © JAZZMAN
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“Bolling allie l’unité à la diversité. Unité reposant sur un style harmonique, et une force évocatrice originaux. Diversité se manisfestant dans la mobilité tonale et les détails d’harmonisation, dans un permanent esprit de continuité entre l’écrit et l’improvisé.” Benjamin HALAY, JAZZ MAN
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    ROMANCE
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:06:14
    1977
  • 2
    CAPRICE
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:06:44
    1977
  • 3
    GAVOTTE
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:02:25
    1977
  • 4
    TANGO (WITH VIOLA)
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:07:25
    1977
  • 5
    SLAVONIC DANCE (WITH A SWING)
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:07:54
    1977
  • 6
    RAGTIME
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:05:18
    1977
  • 7
    VALSE LENTE
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:03:46
    1977
  • 8
    HORA
    PINCHAS ZUKERMAN
    00:05:27
    1977
Livret

CLAUDE BOLLING - PINCHAS ZUKERMAN fa442

CLAUDE BOLLING - PINCHAS ZUKERMAN 
Suite for Violin and Jazz Piano Trio

1. Romance 6’12
2. Caprice 6’41
3. Gavotte 2’23
4. Tango (with viola) 7’24
5. Slavonic dance (with a swing) 7’52
6. Ragtime 5’16
7. Valse lente 3’45
8. Hora 5’23
All compositions by Claude Bolling
Pinchas Zukerman : violon
Claude Bolling : piano
Max Hediguer : contrebasse
Marcel Sabiani : batterie
L’idée d’associer jazz et classique a souvent inspiré des personnalités musicales aussi diverses que George Gerswhin, Dave Brubeck, Jacques Loussier voire des groupes comme le Modern Jazz Quartet ou les Swingle Singers. Pour sa part, Claude Bolling aborde ce type d’expérience en 1965 à l’occasion de “Jazz Gang Amadeus Mozart”, savoureux enregistrement en forme de gag musical, où la “Marche Turque” louche vers un jazz-dixieland débridé, teinté d’un humour à la Spike Jones.Quelque temps plus tard, le grand pianiste Jean-Bernard Pommier, lauréat du concours Tchaïkovski, partenaire occasionnel de Claude Bolling dans plusieurs émissions de télévision, lui demande une composition fondée sur le dialogue entre deux pianos, l’un jazz, l’autre classique. De cet échange entre deux langages musicaux se conjuguant dans une création commune naît en 1972 la “Sonate pour deux pianistes”, premier jalon de ce que les Américains vont bientôt appeler la “Crossover Music”.Enthousiasmé par la “Sonate”, le célèbre flûtiste Jean-Pierre Rampal commande alors à Claude Bolling une œuvre associant son style de flûte classique au piano jazz. Dès sa sortie en 1976, cette “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio” devient un gigantesque phénomène musical aux U.S.A., en restant 2 ans en tête du hit-parade et se maintenant 530 semaines dans le classement de “Billboard”.Rapidement le Disque d’Or est décerné à la “Suite” suivi maintenant par le Disque de Platine. Le phénomène se transforme en déferlante quand, de ce mariage fécond entre jazz et classique, naît une heureuse progéniture. En effet, l’état de grâce se renouvelle avec Alexandre Lagoya, Pinchas Zukerman, Yo-Yo Ma, Maurice André et l’English Chamber Orchestra dans une série de compositions où Claude Bolling agence avec bonheur des combi­naisons instrumentales subtiles et colorées.La “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio” s’inscrit dans le droit fil de ce pétillant mélange. C’est à la demande de Pinchas Zukerman, violoniste de réputation internationale, que Bolling composa la “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio”. De même que le précédent opus, la “Suite” mêle des styles musicaux d’époques variées, et allie une partie de violon d’une gravité pleine d’âme à la rythmique piano, basse et batterie qui s’emploie à l’attirer vers une atmosphère plus joyeuse.“J’ai rencontré «Pinky» par l’intermédiaire de Jean-Pierre Rampal” raconte Claude Bolling. “J’avais déjà écrit pour les cordes dans des musiques de films, sans avoir en­core traité le violon en solo dans une pièce concertante. Pour cette nouvelle œuvre, mon inspiration a été plus romantique et influencée aussi par les musiques d’Europe Centrale.
Stéphane Lerouge
NOTES SUR L’ŒUVRE
“Romance” est un rondo qui s’ouvre sur une mélodie mélancolique et expressive par le violon qui alterne avec des passages jazz plus joyeux pour s’achever dans le sentiment poignant du début.
“Caprice” comprend des alternances entre les motifs du violon et ceux du piano et entre un rythme à trois temps et un tempo de jazz à quatre temps. Ce mouvement met en valeur la virtuosité technique des doubles, triples et quadruples cordes en l’occurence.
La “Gavotte”, une danse populaire française du dix-septième siècle, évoque l’essence même du baroque par des entrées en fugato, des contrechants et une fin en forme de choral, tout en intégrant des notes “blues” avec une certaine audace.
Zukerman passe ensuite à l’alto dont il est le maître incontesté pour le “Tango”, dont la mélodie principale évoque en pizzicato tout le mystère de la séduction. Des passages très contrastés sont des mélanges de sensualité, de romantisme et de musiques de cinéma muet.
La “Slavonie Dance” (With a Swing) contient les combinaisons de mélange de styles les plus contrastés : slave, swing, volubile, rock, jingle et lyrique.
Après un Ragtime a la “Scott Joplin”, le lyrisme français de la Valse Lente permet à Zukerman d’exprimer cette chaleur de sonorité qui lui est propre et qui fait sa célébrité.
L’œuvre se conclut avec une “Hora” aux réminiscences kreisleriennes, en forme de mouvement perpétuel dans une éblouissante démonstration de virtuosité.
Claude Bolling
Six fois lauréat du Grand Prix du Disque en France, Claude Bolling a été plusieurs fois nominé aux Etats-Unis pour le Grammy Award et connaît depuis longtemps une célébrité internationale pour ses talents de compositeur, arrangeur, chef d’orchestre et pianiste.Né à Cannes, Claude Bolling s’est révélé à 14 ans comme un prodige du piano-jazz et a débuté très tôt dans des activités professionnelles. Il avait reçu un solide enseignement de l’harmonie et du contrepoint, mais avait acquis la plupart de ses connaissances musicales en écoutant des disques. Ses premiers enregistrements ont été réalisés à 18 ans, avec son propre groupe de jazz Dixieland, et il est vite devenu l’un des musiciens de jazz les plus populaires d’Europe.Grâce à ses contacts fréquents avec de nombreux jazzmen américains expatriés en Europe dans les années 1950-60, Claude Bolling a cotoyé toute l’histoire du jazz au contact de ses plus grands innovateurs. Son guide en la matière fut Duke Ellington, qui avait lui-même une grande admiration pour Bolling et appréciait énormément sa manière d’interpréter ses compositions.
Compositeur prolifique, Claude Bolling a écrit plus d’une centaine de partitions pour la télévision et le cinéma, composant la musique de films comme “Borsalino”, “The Awackening”, “Willie et Phil”, “California Suite”, “The Silver Bears”, “Louisiane” et “Le Magnifique”.Claude Bolling a enregistré du ragtime, du boogie-woogie, du blues, des thèmes populaires, et il est surtout connu par ses propres compositions qui mêlent de façon unique la musique jazz, pop et classique. C’est ce style, connu sous le nom de “Crossover Music”, qui permit à Claude Bolling d’entrer dans l’histoire de la musique, avec la composition aujourd’hui célèbrissime “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio”.L’intérêt et l’engouement suscités par la “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio” a in­ité d’autres musiciens classiques de premier ordre, tels que Pinchas Zukerman, Alexandre Lagoya, Yo-Yo Ma, Maurice André, Hubert Laws et l’English Chamber Orchestra, à rechercher les compositions de Claude Bolling pour leurs instruments respectifs. Bolling a répondu par une abondante production dans son style de Crossover Music, toujours basé sur le même trio, avec la “Suite pour Violon, le Concerto pour Guitare Classique, la Suite pour Violoncelle”, et bien d’autres ont suivi.Il dirige le plus célèbre Big Band de jazz européen, qui a déjà travaillé avec des musiciens et des chanteurs de jazz et de musique populaire aussi connus que Dizzy Gillespie, Lionel Hampton, Joe Williams, Carmen McRay, et récemment avec Stéphane Grapelli.
Traduit de l’anglais par Chantal Petit
pinchas zukerman
Né en Israël en 1948, Pinchas Zukerman commence sa carrière dès l’âge de treize ans quand, l’ayant entendu jouer, Isaac Stern et Pablo Casals l’encouragent à se consacrer professionnellement au violon. (Il sortait alors du Conservatoire d’Israël et de l’Académie de Musique de Tel-Aviv, et avait gagné une bourse de la Fondation Culturelle Américano-Israëlienne). Après des études avec Ivan Galamian à la Juilliard School de New York, il remporte le concours international Leventritt en 1967 et se produit alors en soliste dans une série de concerts avec les plus grands orchestres du monde. Couvert d’éloges depuis sa première saison 1968-1969 avec Léonard Bernstein et le Philharmonique de New York, il impressionne par sa maîtrise technique et sa qualité d’interprétation qui en fait, selon un critique munichois, “de loin la plus grande révélation au violon depuis des années”. Si le Times de Londres voit en lui un violoniste “littéralement hors pair”, il a également reçu d’excellentes critiques en tant que chef d’orchestre et artiste.Zukerman a enregistré un répertoire couvrant toutes les époques. Parmi ses disques les plus populaires, citons le “Concerto pour Violon” d’Elgar, avec Daniel Barenboïm et l’Orchestre Philharmonique de Londres, et différents enregistrements de Vivaldi, pour lesquels il est à la fois soliste et chef d’orchestre.

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english notes

The idea of associating jazz wilh classical has often inspired musical personalities as diverse as George Gershwin, Dave Brubeck, Jacques Loussier, and even groups such as the Modern Jazz Quartet or the Swingle Singers. As far as Claude Bolling is concerned, this type of experience was first approached in 1965 with “Jazz Gang Amadeus Mozart”, a savory recording in the form of a musical gag, where the “Turkish March” canters towards unbridled dixieland jazz, tinted with Spike Jones humor.Later on, the young pianist Jean-Bernard Pommier, winner of the Tchaikovsky prize, who had performed with Claude Bolling in several television programs asked him to compose a piece based on a dialogue between two pianos, one jazz, the other classical. From this exchange between two musical languages joining together in a single creation, the “Sonata for Two pianists” was born in 1972, the first landmark in what the Americans would soon call “Crossover Music”.Enthused by  the “Sonata” the renowned flutist Jean-Pierre Rampal asked Claude Bolling to write a musical piece associating his classical flute and the jazz piano. In 1970, as soon as it was published, the “Suite For Flute and Jazz Piano Trio” became a gigantic musical phenomenon in the United States, keeping its number one position for two years and remaining for 530 weeks on the “Billboard” chart.
Soon, the “Suite” attained Gold Record status, followed by Platinum and this happy marriage between jazz and classical music gave birth to a number of happy offsprings. Indeed, the état de grâce is renewed with Alexandre Lagoya, Pinchas Zukerman, Yo-Yo Ma, Maurice André and the English Chamber Orchestra in a series of compositions where Claude Bolling arranges subtle and colorful instrumental combinations.Bolling’s “Suite for Violin and Jazz Piano Trio” is an encore of his original sparkling melange. The internationally acclaimed violinist Pinchas Zukerman commissioned Bolling to write the “Suite for Violin and Jazz Piano Trio”. Like its Predecessor, this “Suite” blends styles from many eras, and frequently the violin part seems tender and somber while the piano, bass, and drums attempt to coax it into a gayer mood.“I met ‘Pinky’ through Jean-Pierre Rampal”, says Claude Bolling. “I had already written for strings while scoring for films, but I never wrote for solo violin. In this new work I was influenced by romantic and Central European music”.
NOTES ABOUT THE WORK
The “Romance”, a rondo, begins with a melancholy, expressive melody in the violin, which alternates with more cheerful jazz interludes, but the movement ends with the poignant opening sentiment.
The “Caprice” includes fluctuations between segments featuring the violin and the piano and between double and triple rhythms. The movement highlights the virtuoso string technique of multiple stops (including quadruple stops) where the violinist executes more than one note at the same time.
The “Gavotte”, a French dance popular in the seventeenth century, retains the Baroque essence with fugato entrances, counterthemes, and a choralelike ending, mixed with thematic blues material in a slightly irreverent mood.
Zukerman switches to the viola (the alto voice of the string family) in the “Tango”, whose main theme is a seductive, mysterious presentation using plucked strings. The contrasting sections are a mixture of vampish romantic and “Silent-movie” music.
The “Slavonic Dance” (With a Swing) contains the most contrasting combination of styles within one movement : slavonic, swing patter, rock, rinky-tink and lyric.
After the Joplinesque Ragtime, the “Valse Lente” is a lyrical French waltz that affords Zukerman the opportunity to demonstrate the warmth of sonority for which lie is renowned.
With tinges of Fritz Kreisler, the “Hora”, the final movement, has a perpetual motion, concluding the work with fiery, virtuoso displays.
Claude Bolling
Claude Bolling, six times a winner of the French Grammy award Le Grand Prix du Disque and nominated several times for the American Grammy, has received consistent international acclaim as a composer, conductor, arranger, and pianist.Born in Cannes, France, Bolling was recognized as a jazz piano prodigy at the age of 14 and soon began to make professional appearances. He had formal training in harmony and counterpoint, but acquired most of his musical education by listening to records. His first recordings were made with his own Dixieland group when he was 18, and he subsequently became one of the most popular jazz musicians in Europe.Bolling’s frequent contact with the numerous expatriate jazz musicians in Europe during the 1950’s and 60’s exposed him to the entire history of jazz as performed by its major innovators. His mentor was Duke Ellington, who greatly admired and praised Bolling’s interpretations of his compositions.A prolific composer, he has written over hundred scores for TV and feature films such as “Borsalino”, “The Awakening”, “Willie and Phil”, “California Suite”, “The Silver Bears”, “Louisiana” and “Le Magnifique”.Bolling has recorded ragtime, boogie-woogie, blues, popular standards, and most widely known, his own compositions in a unique mixture of pop, jazz, and classical styles. It was the latter style, known commonly as “Crossover Music”, that enabled Bolling to make musical history with his by-now famous composition “Suite For Flute and Jazz Piano Trio”.The interest and excitement generated by “Suite For Flute and Jazz Piano Trio” promoted other leading classical musicians, including Pinchas Zukerman, Alexandre Lagoya, Yo-Yo Ma, Maurice André, Hubert Laws and the English Chamber Orchestra to seek Bolling compositions for their respective instruments. Bolling responded with a prolific output in his classical crossover style still based on his trio : “Suite For Violin”, “Concerto For Classic Guitar”, “Suite For Cello”, and many others followed.He is leading the most famous European jazz big band which has worked with well known Jazz and popular instrumentalists and vocalists, including Dizzy Gillespie, Lionel Hampton, Joe Williams, Carmen McRay and recently with Stéphane Grappelli.
pinchas zukerman
Born in Israel in 1948, Pinchas Zukerman began his career when he was only thirteen years old; Isaac Stern and Pablo Casals heard him perform and urged him to pursue the violin as a profession. (Prior to this he had studied at the Israel Conservatory and the Academy of Music in Tel-Aviv and had won a scholarship   from the American-Israel Cultural Foun­dation). After studies with Ivan Galamian at the Juilliard School at New York, he won the 1967 Leventritt International Award competition and then embarked on a series of orchestral appearances with the leading orchestras of the world. Ever since his highly-acclaimed debut with Leonard Bernstein and the New York Philharmonic in the 1968-69 season, he has been hailed for his technical accomplishment as well as for being the kind of performer who caused a Munich reviewer to write “for years there has not been anything like an equivalent violinistic discovery”. He has been praised by the London Times as being “absolutely without peer among violinists”. He also received great praise as a conductor and as a violist.Zukerman has retarded works from every musical period. Among his most popular releases are the Elgar Violin Concerto with Daniel Barenboïm conducting the London Philharmonic Orchestra and his series of Vivaldi recordings in which he acts as soloist and as conductor.

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