Alexandre Lagoya - Claude Bolling
Alexandre Lagoya - Claude Bolling
Ref.: FA444

CONCERTO POUR GUITARE

ALEXANDRE LAGOYA

Ref.: FA444

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 37 minutes

Nbre. CD : 1

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Présentation

Claude Bolling, compositeur, pianiste, leader de big band, imposera en Europe le respect et la connaissance de la grande musique américaine, représentée par Duke Ellington ou Count Basie. Juste retour de l’élève qui devient maître, Claude Bolling, représentant de la musique européenne, imposera aux Etats-Unis cette association savamment dosée entre jazz et musique classique qui, grâce à la suite pour flûte et piano jazz trio avec Jean-Pierre Rampal, détiendra le record absolu de 530 semaines au Billboard dans le classement des Charts américains. Alexandre Lagoya, guitariste majeur du XXe siècle, commandera ce concerto pour guitare classique et piano jazz trio à Claude Bolling, qui restera une œuvre majeure du genre “crossover”, métissage intemporel de deux cultures.
Patrick Frémeaux

Hispanic Dance (with a blue touch) • Mexicaine • Invention • Sérénade • Rhapsodic • Africaine • Finale.

Droits : Frémeaux & Associés pour Caid Music, Claude Bolling et Groupe Frémeaux Colombini SAS.



Hispanic Dance (with a blue touch) • Mexicaine • Invention • Sérénade • Rhapsodic • Africaine • Finale.

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Presse
CLAUDE BOLLING  Claude Bolling, 10 avril 1930 - 29 décembre 2020."Pianiste, compositeur et chef d’orchestre Français, Claude Bolling fait partie des figures majeures du jazz classique du XXème siècle. Dès l’après-guerre, Claude Bolling se fait remarquer dans les clubs de jazz les plus en vue de Paris et joue avec les meilleurs musiciens de jazz présents dans la Capitale (Rex Stewart, Lionel Hampton, Sidney Bechet, Django Reinhardt…). En octobre 1956, sous l’impulsion de Frank Ténot, il constitue sa première grande formation : le Grand Club Orchestra (cf. coffret Claude Bolling Collector, réf. FA5114).  Ci-dessus : Irène Bolling, Brigitte Bardot et Claude Bolling Ci-dessous : avec Duke EllingtonDisciple et ami de Duke Ellington, dont il s’est largement inspiré, il rassemble les meilleurs jazzmen – compagnons des anciens jours comme musiciens des nouvelles générations – leur offrant la joie d’exprimer tout leur talent sur des compositions créées dans la grande tradition de ses prédécesseurs : Count Basie, Glenn Miller, Tommy Dorsey, Benny Goodman… C’est tant par la créativité de son chef d’orchestre que par la dimension de ses solistes et musiciens que le Claude Bolling Big Band a atteint cette musicalité exceptionnelle. Maîtrisant un vaste répertoire de près de 400 titres, il a su séduire un large public tout au long de sa carrière internationale, dont la fidélité lui a permis une extraordinaire longévité. Sa notoriété auprès du grand public s’accroît considérablement au contact de grandes vedettes des variétés (Brigitte Bardot, Dario Moréno, Sacha Distel, Juliette Gréco, Henri Salvador, etc.) et grâce à des succès extraordinaires comme compositeur de musiques de films : plus de cent thèmes à son actif, dont les célèbres : Borsalino et Les Brigades du tigre.        Créateur d’un genre nouveau, à la croisée des chemins de la musique classique et du jazz (le crossover music), Claude Bolling détient le record mondial de ventes du disque classique en restant plus de dix ans dans les charts américains (Billboard classique) avec la Suite pour flûte et jazz piano trio (FA443). La complémentarité de ses talents et son extraordinaire longévité le classe comme un grand compositeur Français du XXè siècle et en même temps comme l’un des plus grands ambassadeurs du jazz dans le monde." Patrick Frémeaux & Claude Colombini© 2006 GROUPE FRÉMEAUX COLOMBINI SAS"Your piano is something I'll always remember" Louis Armstrong à Claude Bolling, 1947"Your husband is a genius" Dizzy Gillespie à Irène Bolling, 1982Aux côtés de Louis Armstrong"Il est complètement inutile de présenter Claude Bolling. Tout le monde, que ce soit l'Ancien ou le Nouveau, sait que CLaude Bolling est le meilleur. Je ne veux pas énumérer ici ses mérites. Je risquerais d'en omettre plusieurs, et ce serait insulter sa modestie que d'oser rappeler une fois encore que sa verve de compositeur n'a dégal que sa virtuosité pianistique, et que ses arrangements ne sauraient atteindre leur plénitude orchestrale que lorsqu'il en dirige lui-même l'exécution... Ouf !" Jean-Christophe Averty   "Ecoutez Claude Bolling", réponse idéale à ceux qui vous disent "Le jazz, ce n'est pas de la musique". Boris Vian 1948"Hier soir, Claude Bolling était ici, à quatre heures du matin. Il m'a montré certaines choses en stride, des trucs de Fats Wallers... Il joue ! C'est ce que j'aime... Le jazz, les Afro-Américains l'ont inventé, mais si vous écoutez ceux qui en jouent, il est difficile de faire la différence. Prenons ce que m'a joué Claude Bolling hier soir : il n'y a pas un seul Afro-Américain capable de jouer comme ça, à part peut-être Hank Jones..." Winton Marsalis - Jazz Magazine, 1994   Earl Hines et la maman de Claude Bolling CLAUDE BOLLING  Par Benjamin Goldenstein et Patrick Frémeaux Claude Bolling, né en 1930. Pianiste, compositeur, arrangeur et chef d’orchestre, Claude Bolling est sans doute l’un des musiciens français actuels les plus réputés dans le monde, dans des domaines allant du jazz à la variété et de la musique de films à la musique dite classique. De par la richesse de sa production phonographique, la longévité de sa carrière et la diversité de ses talents de compositeur, d’interprète, d’arrangeur et de directeur d’orchestre, il s’est forgé une stature exceptionnelle non seulement en France, mais dans le monde entier. Du haut de quelques soixante années de carrière, Claude Bolling peut aujourd’hui contempler avec fierté l’œuvre qu’il lègue aux amoureux de la musique et dont les éditions Frémeaux & Associés sont, depuis 2001, les garants. En tant que pianiste de jazz, il a joué avec les meilleurs musiciens de la planète (Django Reinhardt, Stéphane Grappelli, Duke Ellington, Sidney Bechet, Lionel Hampton, etc.).   A la tête de son Big Band depuis cinquante ans, il a sillonné le monde et les salles de concerts et a bien mérité son surnom de « Bollington » dans la promotion du swing américain des grands orchestres des années Duke Ellington. Compositeur éclectique, ses éclairs de génie ont illuminé des films comme Borsalino, ou la mythique série télévisée Les Brigades du tigre, mais lui ont aussi permis de créer et magnifier un nouveau genre musical issu du métissage entre la syntaxe du jazz et la diction de la musique classique. L’acte de naissance de cette « crossover music » date de 1974, avec la Suite pour flûte et jazz piano trio ou le trio jazz de Claude Bolling est accompagné par Jean-Pierre Rampal. Disque de platine, record absolu des ventes du Billboard avec plus de 530 semaines au classement des meilleures ventes classiques ! Bref, Claude Bolling incarne à lui seul toute une culture musicale, porte en lui et insuffle à ses partenaires l’héritage d’un savoir-faire exceptionnel dans l’interprétation, l’arrangement et la composition de la musique jazz.    Avec Don Byas & Roy EldridgeLes premières notes… Né à Cannes le 10 avril 1930, Claude Bolling a toujours vécu à Paris, hormis un intermède niçois pendant l’Occupation, au cours duquel il reçoit l’enseignement précieux de Marie-Louise « Bob » Colin, pianiste, trompettiste et batteur dans un des nombreux orchestres féminins à la mode dans l’entre-deux-guerres. Sitôt découvert le monde magique du jazz, il se passionne pour Thomas « Fats » Waller, dont la musique festive ne manque pas de le séduire.  Il est encore en culottes courtes quand, en 1945, il remporte le tournoi des amateurs, organisé par Jazz Hot et le Hot Club de France à Paris. Son champ d’intérêt s’étend rapidement aux autres maîtres du piano : Willie « The Lion » Smith, Erroll Garner et Earl Hines dont il est le disciple. Première formation à 16 ans ; premier disque à 18, Claude Bolling sent pourtant le besoin d’acquérir un authentique bagage musical. Il bénéficiera d’une instruction solide et complète – qui sera pour beaucoup dans la polyvalence qui la caractérisera plus tard – avec Germaine Mounier (piano classique), Léo Chauliac (piano jazz), Maurice Duruflé (harmonie) et André Hodeir (contrepoint, orchestration, écriture jazz). Après un service militaire passé dans la « Musique » du Premier Train des Equipages, où il joue du trombone et des percussions, c’est par le jazz que Claude Bolling entre dans la profession. Il fait les beaux soirs de tous les établissements à la mode : Club Saint Germain, Vieux Colombier, Caveau de la Huchette… autant de lieux emblématiques d’une activité jazzistique intense. Les plus grands solistes américains de passage en France ne manquent pas de faire appel à lui. Il participe ainsi, du haut de ses vingts ans, aux séances d’enregistrement et aux concerts de Rex Stewart, Buck Clayton, Lionel Hampton, Albert Nicholas, Roy Elridge… devenant l’une des personnalités les plus en vue du monde du jazz à Paris.  Avec Errol GarnerL’aventure Big Band… En octobre 1956, sous l’impulsion de Frank Ténot, Claude Bolling, âgé de 26 ans, constitue sa première grande formation : le Grand Club Orchestra (cf. coffret Claude Bolling Collector, réf. FA5114). Disciple et ami de Duke Ellington, dont il s’est largement inspiré, il rassemble les meilleurs jazzmen – compagnons des anciens jours comme musiciens des nouvelles générations – leur offrant la joie d’exprimer tout leur talent sur des compositions créées dans la grande tradition de ses prédécesseurs : Count Basie, Glenn Miller, Tommy Dorsey, Benny Goodman… C’est tant par la créativité de son chef d’orchestre que par la dimension de ses solistes et musiciens que le Claude Bolling Big Band a atteint cette musicalité exceptionnelle. Maîtrisant un vaste répertoire de près de 400 titres, il a su séduire un large public tout au long de sa carrière internationale, dont la fidélité lui a permis une extraordinaire longévité. En janvier 2006, celui-ci fête en effet ses cinquante ans lors d’une soirée mémorable au Jazz club Lionel Hampton de l’hôtel Méridien  Avec Duke EllingtonCourtisé par le grand public… C’est l’emblématique Boris Vian qui va permettre à Claude Bolling de compléter sa notoriété dans les milieux de la chanson dès l’après-guerre. Le célèbre écrivain et trompettiste amateur, il demande en effet à Claude d’écrire les arrangements de ses Chansons possibles et impossibles. Succès d’édition, le disque lui met le pied à l’étrier dans le monde des variétés. Plusieurs artistes célèbres lui confient alors la direction musicale de leurs réalisations : Sacha Distel, Jacqueline François, Juliette Gréco, Henri Salvador, Brigitte Bardot…  Musicien courtisé par les musiciens, il sera plébiscité par le grand public dans les années soixante pour un grand coup de maître dont il est l’instigateur : « Les Parisiennes », ce groupe vocal féminin qui fit tourner la tête à toute une génération, vibrer les planches de tous les dancing et swinguer les ondes des radios du monde entier – à commencer par France Inter et le cultissime Pop Club de José Arthur qui utilisa pendant près d’un demi-siècle une chanson des Parisiennes pour son générique.   Avec Henri Salvador Compositeur pour le cinéma… Après un travail régulier auprès de Dario Moréno, Claude Bolling se voit confier l’écriture de la musique d’un film dont Dario est la vedette. C’est le premier défi d’un genre où Bolling passera vite maître et marquera les mémoires de ses contemporains. C’est en effet une véritable carrière de compositeur de musiques de films qui commence alors pour Claude Bolling. Celui-ci en a, à ce jour, écrit plus de cent, dont certaines ont été d’immenses succès : Borsalino, c’est lui ! Flic Story, c’est lui ! Le Magnifique, c’est encore lui ! Pour ne pas citer : The Awakening, California Suite… Pour ne pas citer non plus les séries télévisées que Bolling a marqué de sa griffe : après avoir animé, dans les années soixante les grandes émissions télévisées de variétés d’Albert Raisner, de Maritie et Gilbert Carpentier, de Jean-Christophe Averty, il compose en effet de nombreuses musiques pour le petit écran. Des exemples ? Mais nous n’en manquons pas… Un seul pourrait suffire tant il est marquant : Les Brigades du Tigre ! Eh oui, ça aussi c’est Bolling ! Citons encore La Garçonne ou Le Clan…  Avec Jean-Christophe Averty Inventeur d’un genre nouveau… L’expérience professionnelle et les succès confèrent à Claude Bolling une autorité incontestée parmi ses collègues musiciens, lui permettant de travailler avec les plus grands noms de la profession, toutes musiques confondues. Il invente ainsi une forme nouvelle d’expression, sorte de patchwork musical, la « Crossover music », qui fait, sans les dénaturer, cohabiter, dans des pièces très organisées, les syntaxes du jazz et du classique. Sa Suite pour Flûte et Jazz Piano trio, écrite à l’intention de Jean-Pierre Rampal et enregistrée avec lui en 1974, connaîtra un immense succès aux Etats-Unis. Elle restera 530 semaines au hit parade (Billboard) et obtiendra les disques d’or et de platine (record mondial de ventes du disque classique). L’expérience se reproduira par la suite avec Alexandre Lagoya, Pinchas Zukerman, Maurice André, Yo-Yo Ma, l’English Chamber Orchestra, Patrice et Renaud Fontanarosa, Marielle Normdann, Guy Touvron, Eric Franceries…   En 2006, Sony BMG autorise pour la première fois les éditions Frémeaux & Associés à éditer pour l’Europe les plus grandes productions américaines de Claude Bolling (avec entre autres Maurice André, Alexandre Lagoya, Jean-Pierre Rampal, Yo-Yo Ma, accompagnés par Daniel Humair et Guy Pedersen)   Ci-dessous avec Lionel Hampton Retour aux sources… Le talent de Claude Bolling a pu s’exprimer dans toutes les formes d’expression musicale. Cependant, l’homme reste dans son tréfonds, un musicien de jazz qui continue à vibrer pour un solo de ragtime, pour un air de boogie, pour une orchestration de Sy Oliver. Le pianiste parfois s’efface et devient enfin chef, son rêve ellingtonnien d’un big band, qu’il organise et dirige depuis les années soixante-dix. Cette grande formation, composée de musiciens de très grand talent travaillant avec lui depuis de longues années, ne tarde pas à faire reconnaître ses qualités exceptionnelles. Le « Claude Bolling Big Band » a fêté son quarantième anniversaire en 1996 et à fait le tour du monde : invité aux Etats-Unis, en Asie, en Amérique du Sud, au Mexique… c’est partout un immense succès auprès d’un public large, conquis par le caractère populaire du jazz. Claude Bolling se fait alors serviteur des musiques de Duke Ellington, de Count Basie, de Jimmie Lunceford, de Glenn Miller… Ses albums sont le reflet de ce répertoire immortel, mais sont également l’occasion de présenter ses propres compositions écrites dans le respect d’une grande tradition. Il peut aussi accueillir les plus grandes personnalités du jazz, tels que les chanteurs Joe Williams, Carmen Mc Rae, Dee Dee Bridgewater, et les instrumentistes William « Cat » Anderson (tp), Dizzy Gillespie (tp), Jon Faddis (tp), Sam Woodyard (dm), Rhoda Scott (organ). Claude Bolling a même pu faire jouer ensemble son big band et celui d’Illinois Jacquet ou le Duke/Mercer Ellington Orchestra. Sa rencontre avec Stéphane Grappelli en 1991 dans l’album First Class (Django d’Or et Prix du HCF 1993) est l’une des grandes réussites phonographiques de ces dernières années. Claude Bolling est derrière Duke Ellington à la Gare du Nord La palette du talent de Claude « Bollington », comme l’avait affectueusement surnommé Boris Vian, s’est en 1996 élargie à la musique de scène, avec sa participation à la création en première mondiale sur la scène du Théâtre National de Chaillot de A Drum is a woman, la composition de Duke Ellington, son maître et ami. Parabole de l’histoire du jazz, créée par Duke sur une idée d’Orson Welles, A Drum is a woman avait été confiée à Claude Bolling par le maître en personne pour une adaptation européenne. Bolling s’acquitta de ce legs et créa le spectacle, jusqu’alors inédit, dans une mise en scène de Jérôme Savary – avec le concours de Manu Dibango. Pour célébrer le centenaire de Duke Ellington, Claude a re-créé, en 1999, une de ses œuvres majeure « A ton parallel to Harlem ». Et pour fêter le changement de millénaire, l’orchestre a mis Paris et le swing à l’honneur dans un album et un programme de concerts PariSwing.   FIAP 1984 Patrick Frémeaux producteur des concerts de Claude Bolling   Frémeaux & Associés, éditeur de Claude Bolling…  Ci-dessous avec Patrick & Jules FrémeauxA douze ans, Patrick Frémeaux baigne déjà dans la musique de Claude Bolling. A dix-sept ans, lorsqu’il organise ses premiers festivals de jazz, Claude est le seul artiste connu du grand public à accepter de jouer comme vedette. De cette aide substantielle allait naître une grande estime qui devait tout naturellement déboucher, à partir de 2001, sur la réédition totale des œuvres de Claude Bolling chez Frémeaux & Associés (éditeur muséographique de référence du groupe Frémeaux Colombini). A commencer par un coffret Rolling with Bolling qui regroupe les cinq premiers albums vinyles du Big Band. Evolution technique oblige The Victory Concert – Echoes of 1944-45 joué devant 300 000 personnes Place de la Concorde à l’occasion des 50 ans de la Libération de Paris ressort en DVD, suivi de la suite pour Flûte et de First Class. Fin 2004, un « Collector » voit le jour qui rassemble des enregistrements 78 tours de 1948 et ceux de son premier Big Band constitué pour le Club Français du disque.   Ci-dessous : Irène, Claude Bolling, Brigitte Bardot et Don ByasAujourd’hui, Claude Bolling occupe, par son rayonnement personnel, le rôle d’ambassadeur itinérant de la France dans le monde. En hexagone, son big band a joué un rôle décisif dans la formation de certains de nos plus grands jazzmen qui ont tous commencé chez lui : Claude Tissendier, Jean-Louis Chautemps, Stan Laferrière, Gérard Badini, Michel Portal, etc.  Il œuvre à la reconnaissance du jazz et de sa tradition, comme l’ont fait les deux grands maîtres français, Django Reinhardt et Stéphane Grappelli. Dernier grand jazzman européen, il incarne, pour quatre générations en simultané, la relecture européenne du grand répertoire de la culture américaine, traité avec l’expression de l’esthétique européenne. Cinquante ans après ses débuts, l’orchestre reste le plus représentatif du patrimoine bâti de l’histoire du jazz classique et fête son jubilé avec sa tournée 2006-2007, dont le coup d’envoi a été donné lors d’une semaine époustouflante passée sous les hospices du Jazz Club Lionel Hampton, où Claude Bolling, pour l’anniversaire des cinquante ans de son Big Band, a été élevé par la République au rang de Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres. La carrière phonographique de Claude Bolling est entièrement disponible dans le monde entier au catalogue Frémeaux & Associés, avec déjà 50 CDs et 3 films DVD. Benjamin Goldenstein & Patrick Frémeaux © 2006 GROUPE FRÉMEAUX COLOMBINI SAS© Frémeaux & Associés Biographie (Bio Claude Bolling)
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« parvenir à le faire exister contre vents et marrées durant cinquante ans relève du miracle. » Alex DUTHIL – © JAZZMAN
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    HISPANIC DANCE (WITH A BLUE TOUCH)
    CLAUDE BOLLING
    00:05:34
    1975
  • 2
    MEXICAINE
    CLAUDE BOLLING
    00:06:21
    1975
  • 3
    INVENTION
    CLAUDE BOLLING
    00:04:06
    1975
  • 4
    SERENADE
    CLAUDE BOLLING
    00:04:47
    1975
  • 5
    RHAPSODIC
    CLAUDE BOLLING
    00:06:44
    1975
  • 6
    AFRICAINE
    CLAUDE BOLLING
    00:04:28
    1975
  • 7
    FINALE
    CLAUDE BOLLING
    00:05:51
    1975
Livret

Bolling Lagoya FA 444

Claude Bolling
Alexandre Lagoya

Concerto for classic guitar
1. Hispanic Dance (with a blue touch) 5’34
2. Mexicaine 6’18
3. Invention 4’01
4. Sérénade 4’43
5. Rhapsodic 6’41
6. Africaine 4’24
7. Finale 5’51
All compositions by Claude Bolling
Alexandre Lagoya : guitare
Claude Bolling : piano
Michel Gaudry, Marc Michel : contrebasse
Marcel Sabiani, André Arpino : batterie
JAZZ & CLASSIQUE : LE MARIAGE INSOLITE

L’idée d’associer jazz et classique a souvent inspiré des personnalités musicales aussi diverses que George Gershwin, Dave Brubeck, Jacques Loussier voire des groupes comme le Modern Jazz Quartet de John Lewis ou les Swingle Singers. Pour sa part, Claude Bolling aborde ce type d’expérience en 1965 à l’occasion de “Jazz Gang Amadeus Mozart”, savoureux enregistrement en forme de gag musical, où la “Marche Turque” louche vers un jazz-dixieland débridé, teinté d’un humour à la Spike Jones.Quelque temps plus tard, le grand pianiste Jean-Bernard Pommier, lauréat du concours Tchaïkovski, partenaire occasionnel de Claude Bolling dans plusieurs émissions de télévision, lui demande une composition fondée sur le dialogue entre deux pianos, l’un jazz, l’autre classique. De cet échange entre deux langages musicaux se conjuguant dans une création commune naît en 1972 la “Sonate pour deux pianistes”, premier jalon de ce que les américains vont bientôt appeler la “Crossover Music”.Enthousiasmé par la “Sonate”, le célèbre flûtiste Jean-Pierre Rampal commande alors à Claude Bolling une œuvre associant son style de flûte classique au piano jazz. Dès sa sortie en 1976, cette “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio” devient un gigantesque phénomène musical aux U.S.A., en restant 2 ans en tête du hit-parade et se maintenant 530 semaines dans le classement de “Billboard”.Rapidement le Disque d’Or est décerné à la “Suite” suivi maintenant par le Disque de Platine. Le phénomène se transforme en déferlante quand, de ce mariage fécond entre jazz et classique, naît une heureuse progéniture. En effet, l’état de grâce se renouvelle avec Alexandre Lagoya, Pinchas Zukerman, Yo-Yo Ma, Maurice André et l’English Chamber Orchestra dans une série de compositions où Claude Bolling agence avec bonheur des combinaisons instrumentales subtiles et colorées.«Ayant beaucoup apprécié la “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio”, Alexandre m’a à son tour commandé un concerto pour guitare classique et piano jazz trio», raconte Claude Bolling. «Ce fut une nouvelle gageure car la difficulté résidait dans le mariage des sonorités de ces deux instruments. Pour que le piano ne domine pas la guitare, la technique d’écriture a nécessité une attention particulière.»
Stéphane Lerouge
JAZZ & CLASSICAL: THE STRANGE UNUSUAL MARRIAGE
The idea of associating jazz with classical has often inspired musical personalities as diverse as George Gershwin, Dave Brubeck, Jacques Loussier, and even groups such as the Modern Jazz Quartet of John Lewis or the Swingle Singers. As far as Claude Bolling is concerned, this type of experience was first approached in 1965 with “Jazz Gang Amadeus Mozart”, a savory recording in the form of a musical gag, where the “Turkish March” canters towards unbridled dixieland jazz, tinted with Spike Jones humor.Later on, the young pianist Jean-Bernard Pommier, winner of the Tchaikovsky prize, who had performed with Claude Bolling in several television programs, asked him to compose a piece based on a dialogue between two pianos, one jazz, the other classical. From this exchange between two musical languages joining together in a single creation, the “Sonata for Two pianists” was born in 1972, the first landmark in what the Americans would soon call “Crossover Music”.Enthused by the “Sonata”, the renowned flutist Jean-Pierre Rampal asked Claude Bolling to write a musical piece associating his classical flute and the jazz piano. In 1970, as soon as it was published, the “Suite For Flute and Jazz Piano Trio” became a gigantic musical phenomenon in the United States, keeping its number one position for two years and remaining for 530 weeks on the “Billboard” chart.Soon, the “Suite” attained Gold Record status, followed by Platinum, and this happy marriage between jazz and classical music gave birth to a number of happy offsprings. Indeed, the état de grâce is renewed with Alexandre Lagoya, Pinchas Zukerman, Yo-Yo Ma, Maurice André and the English Chamber Orchestra in a series of compositions where Claude Bolling arranges subtle and colorful instrumental combinations.«Alexandre who had loved the “Suite For Flute and Jazz Piano Trio” then challenged me to write a guitar concerto», says Claude Bolling, «For me it was a new wager. The difficulty was in associating both instruments. The writing needed very special attention so that the piano would not predominate over the guitar».
Stéphane Lerouge

NOTE SUR L’ŒUVRE
• La première partie de l’œuvre s’intitule “Hispanic Dance”. Elle se développe essentiellement autour d’un thème de caractère sud-américain vif et haut en couleurs, qui disparaît de temps à autre au profit de séquences “Bluesy” plus ou moins longues pour réapparaître dans des présentations constamment variées. C’est en quelque sorte un “Rondo” qui permet au compositeur de donner libre cours à son imagination et de faire notamment alterner, en créant d’heureux contrastes entre le rythme à 5/4 et celui à 4/4 plus Low Down des séquences de jazz-blues.
• Le tempo en apparence hésitant d’un groupe de “Mariachis” a inspiré à Claude Bolling le rythme à 5/8 qui anime une grande partie de la seconde pièce de son concerto : “Mexicaine”. Ici, le thème initial est d’inspi­ration d’Amérique Centrale. Cette fois, et en opposition avec le morceau précédent, la guitare nous fait entendre un chant très nostalgique et dépouillé qui s’enfle peu à peu pour prendre un tour dramatique à la faveur d’un développement auquel participent le piano, la basse et la batterie, et qui ouvre le champ au second thème d’inspiration jazz celui-là
• La troisième partie, “Invention”, a la forme d’une pièce de J.S. Bach. Elle se développe tout d’abord de façon traditionnelle grâce à un thème de caractère baroque que reprennent tour à tour le piano et la guitare, avec le soutien régulier et précis de la batterie et de la basse. Viennent ensuite deux improvisations qui se déroulent sur le cannevas harmonique du motif principal, la première étant confiée au piano, la seconde à la contrebasse. Oubliée un instant, la guitare fait sa réapparition et, reprenant son pétillant dialogue avec le piano, conduit cette page à sa conclusion.
• La “Sérénade” qui suit, débute avec un motif en arpèges largement développé harmoniquement par la guitare seule, grâce à des accords riches en notes de passages et en notes étrangères. A l’entrée du thème au piano, ce motif à trois temps donne naissance à une sorte de lente samba “bossa-nova” pleine de charme et de fraîcheur où la guitare continue à égrener ses arpèges, tandis que batterie et basse affirment le rythme caractéristique. Ce sont ensuite différents développements marqués jusqu’à la fin de la pièce par l’ostinato rythmique qui découle des arpèges initiaux.
• Le cinquième morceau “Rhapsodic” s’ouvre par une longue suite d’accords parfaits majeurs et mineurs sur pédale de dominante, confiés à la guitare. Un nouveau dessin qui n’est pas sans évoquer le motif en arpèges de la “Sérénade”, nous conduit à un autre thème d’abord exposé par la contrebasse, puis par le piano et la batterie, qui lui, a l’allure d’une ballade. Tous ces éléments vont se retrouver ensuite différemment présentés à l’occasion de plusieurs variations fondées notamment sur des doublements de tempo. On notera également que cette page particulièrement intense au niveau de l’expression, est celle qui requiert le plus de virtuosité de la part du guitariste.
• Le mouvement intitulé “Africaine” est une page singulièrement dynamique et haletante fondée sur deux thèmes principaux : un premier assez court et de caractère incantatoire exposé par la guitare et un second plus mélodique, mais complexe rythmiquement, exposé par le piano. Une fois encore, sur le plan formel, le compositeur ne se laisse pas enfermer dans un moule précis. Il développe ses thèmes, les mélange en fonction d’une imagination sonore et d’un désir d’expression constamment guidés par un très sûr instinct de l’équilibre des durées.
• Ce concerto se termine avec un mouvement qui est une reprise et un mélange des deux thèmes de “Hispanic Dance” et de “Mexicaine” dans un développement brillant en forme de “Final”.
Serge Kaufman

NOTES ABOUT THE WORK
• The first movement of the work is entitled “Hispanic Dance”. It develops essentially from a characteristic South American theme, vivacious and brightly hued, which gives way now and again to blues sequences of varying length and then reappears, metamorphosed. The movement is a sort of Rondo, which allows the composer to give free rein to his imagination and, more particularly, to alternate the rhythm from the 5/4 to the Low Down 4/4 of his more seductive jazz-blues.
• The capricious tempos characteristic of Mexican street musicians, or mariachis inspired the 5/8 rhythm that animates it large part of the second movement, “Mexicaine”. The initial theme is derived from Central American popular music. Contrary to the preceding movement, the guitar here focuses our attention on a very nostalgic and thin-textured chant, which swells little to assume a more dramatic coloration by means of a development in which the piano, bass and drums participate and which paves the way for the second theme, this one jazz-inspired.
• The third movement “Invention”, has the imitative form of a J.S. Bach piece. It begins in traditional fashion, with a theme of baroque character that the piano and guitar toss back and forth over a neat but insistent ostinato from the bass and drums. In time, two improvisatory sections emerge based on the harmonic fabric of the principal theme, the first of them given to the piano, the second to the double bass. Neglected for a moment, the guitar now makes its reappearance and, resuming its sparkling dialogue with the piano, leads the movement to its conclusion.3
• The “Serenade”, wich follows, begins with a motif in slow arpeggios, developed harmonically by the solo guitar, its chords enriched by added notes of various kinds (passing tones and neighboring tones). At the entry of the themes, played by the piano, this motif in triple time gives rise to a sort of a slow samba bossa nova, full of charm and naïveté, wherein the guitar continues to pluck its arpeggios one by one as the drums and bass affirm the characteristic rhythm. Other developments follow, marked toward the end of the movement by the rhythmic ostinato that is born of he opening arpeggio motif.
• The fifth movement “Rhapsodic” opens with a long series of perfect major and minor triads over a dominant pedal point, given to the guitar. A new pattern which in some ways evokes the arpeggio motif of the “Serenade”, leads us to another theme played first by the double bass, then by the piano and drums, which summons up the feeling of a ballad. All these elements are then combined in several variations based chiefly on the doubling of tempo. It is also to be noted that this passage is one of the most intense and requires more skill on the part of the guitarist.
• The movement entitled “Africaine” is a fast-paced and strongly accented section based on two principal themes : the first, very short and like an incantation in mood; the second, more melodic but rythmically complex. Once more hewing to the classic form, the composer still does not let himself become imprisoned in a too-exacting mold. He develops his themes, mixing them with an imaginative flair for sound and an unfaltering creativity of musical idea, guided always by a keen sense of timing.
• This concerto ends with a movement which is a retaking and a mixing of the two themes of the “Hispanic Dance” and the “Mexicaine” in a brilliant development in the form of “Finale”.
Serge Kaufman

CLAUDE BOLLING
Six fois lauréat du Grand Prix du Disque en France, Claude Bolling a été plusieurs fois nominé aux Etats-Unis pour le Grammy Award et connaît depuis longtemps une célébrité internationale pour ses talents de compositeur, arrangeur, chef d’orchestre et pianiste.Né à Cannes, Claude Bolling s’est révélé à 14 ans comme un prodige du piano-jazz et a débuté très tôt dans des activités professionnelles. Il avait reçu un solide enseignement de l’harmonie et du contrepoint, mais avait acquis la plupart de ses connaissances musicales en écoutant des disques. Ses premiers enregistrements ont été réalisés à 18 ans, avec son propre groupe de jazz Dixieland, et il est vite devenu l’un des musiciens de jazz les plus populaires d’Europe.Grâce à ses contacts fréquents, avec de nombreux jazzmen américains expatriés en Europe dans les années 1950-60, Claude Bolling a cotoyé toute l’histoire du jazz au contact de ses plus grands innovateurs. Son guide en la matière fut Duke Ellington, qui avait lui-même une grande admiration pour Bolling et appréciait énormément sa manière d’interpréter ses compositions.Compositeur prolifique, Claude Bolling a écrit plus d’une centaine de partitions pour la télévision et le cinéma, composant la musique de films comme “Borsalino”, “The Awakening”, “Willie and Phil”, “California Suite”, “The Silver Bears”, “Louisiane” et “Le Magnifique”.Claude Bolling a enregistré du ragtime, du boogie-woogie, du blues, des thèmes populaires, et il est surtout connu par ses propres compositions qui mêlent de façon unique la musique jazz, pop et classique. C’est ce style, connu sous le nom de “Crossover Music”, qui permit à Claude Bolling d’entrer dans l’histoire de la musique, avec la composition aujourd’hui célèbrissime “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio”.L’intérêt et l’engouement suscités par la “Suite pour Flûte et Piano Jazz Trio” a incité d’autres musiciens classiques de premier ordre, tels que Pinchas Zukerman, Alexandre Lagoya, Yo-Yo Ma, Maurice André, Hubert Laws et l’English Chamber Orchestra, à rechercher les compositions de Claude Bolling pour leurs instruments respectifs. Bolling a répondu par une abondante production dans son style de Crossover Music, toujours basé sur le même trio, avec la “Suite pour Violon, le Concerto pour Guitare Classique, la Suite pour Violoncelle”, et bien d’autres ont suivi.Il dirige le plus célèbre Big Band de jazz européen, qui a déjà travaillé avec des musiciens et des chanteurs de jazz et de musique populaire aussi connus que Dizzy Gillespie, Lionel Hampton, Joe Williams, Carmen McRay, et récemment avec Stéphane Grappelli.

CLAUDE BOLLING
Claude Bolling, six times a winner of the French Grammy award Le Grand Prix du Disque and nominated several times for the American Grammy has received consistent international acclaim as a composer, conductor arranger, and pianist.Born in Cannes, France, Bolling was recognized as a jazz piano prodigy at the age of 14 and soon began to make professional appearances. He had formal training in harmony and counterpoint, but acquired most of his musical education by listening to records. His first recordings were made with his own Dixieland group it when he was 18, and he subsequently became one of the most popular jazz musicians in Europe.Bolling’s frequent contact with the numerous expatriate jazz musicians in Europe during the 1950’s and 60’s exposed him to the entire history of jazz as performed by its major innovators. His mentor was Duke Ellington, who greatly admired and praised Bolling’s interpretations of his compositions.A prolific composer, he has written over hundred scores for TV and feature films such as “Borsalino”, “The Awakening”, “Willie and Phil”, “California Suite”, “The Silver Bears”, “Louisiana” and “Le Magnifique”.Bolling has recorded ragtime, boogie-woogie, blues, popular standards, and most widely known, his own compositions in a unique mixture of pop, jazz, and classical styles. It was the latter style, known commonly as “Crossover Music”, that enabled Bolling to make musical history with his by-now famous composition “Suite For Flute and Jazz Piano Trio”.The interest and excitement generated by “Suite For Flute and Jazz Piano Trio” promoted other leading classical musicians, including Pinchas Zukerman, Alexandre Lagoya, Yo-Yo Ma, Maurice André, Hubert Laws and the English Chamber Orchestra to seek Bolling compositions for their respective instruments. Bolling responded with it prolific output in his classical crossover style still based on his trio : “Suite For Violin”, “Concerto For Classic Guitar”, “Suite For Cello”, and many others followed.He is leading the most famous European jazz big band which has worked with well known Jazz and popular instrumentalists and vocalists, including Dizzy Gillespie, Lionel Hampton, Joe Williams, Carmen McRay and recently with Stéphane Grappelli.

ALEXANDRE LAGOYA
Né à Alexandrie en 1929 d’un père grec et d’une mère italienne, il commence ses études musicales et de guitare à l’âge de 8 ans. A 13 ans il donne son premier récital et à 15 ans, il enseigne déjà la guitare et le solfège. Après avoir donné plus de 500 concerts, il s’installe à Paris, où la France devient son pays d’adoption.Poursuivant sa carrière pédagogique et artistique, il effectue une immense tournée de concerts dans tous les pays d’Europe.En 1952, il épouse la célèbre guitariste française Ida Presti avec laquelle il forme le duo Presti-Lagoya. Ils fondent alors ensemble une classe de guitare à la Schola Cantorum. A travers leurs 15 tournées internationales, qui comprennent plus de 2000 concerts, les compositeurs D. Lesur, A. Jolivet, F. Poulenc, L. Alibert, P. Petit, H. Tomasi, S. Lancen, J. Wiener, J. Rodrigo, M. C. Tedesco, H. Villa-Lobos, F.M. Torroba, leur dédient leurs œuvres.Après quinze années de recherches instrumentales avec Ida Presti, ils ouvrent de nouveaux horizons à la technique de la guitare :• une nouvelle position de mains,• découvrant la façon de faire les trilles sur deux cordes jusqu’alors faites sur une,• employant une nouvelle position pour obtenir une plus grande rapidité dans le pizzicato et perfectionner la technique du staccato.Alexandre Lagoya est demandé à plusieurs reprises pour enseigner la guitare dans les universités aux U.S.A. et notamment aux J.M.C. (Canada) et dirige à partir de 1960 la classe de guitare à l’Académie Internationale d’Eté de Nice, formant ainsi de nombreux élèves qui occupent des postes dans les Conservatoires parmi les plus importants à travers le monde.Chaque année, Alexandre Lagoya est invité à participer en tant que membre du jury des plus importants concours nationaux et internationaux. Il devient professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris en octobre 1969, date de la création d’une classe de guitare. Alexandre Lagoya donne des concerts dans le monde entier : il joue sous la direction d’éminents chefs avec les plus grands orchestres symphoniques. Régulièrement, il est sollicité par les plus importants festivals nationaux et internationaux. Alexandre Lagoya est considéré comme le plus extraordinaire guitariste de notre temps. Il a enregistré de nombreux disques.En 1965, le gouvernement français le fait Commandeur du Mérite Culturel et Artistique; en 1972. Chevalier du Mérite National; en 1974, Chevalier des Arts et Lettres pour son action en faveur de la musique à travers le monde. Deux décorations lui ont été décernées par le gouvernement de l’U.R.S.S. en 1964.Malgré toutes ses activités, cet homme souriant, généreux, direct, aimait la jeunesse qu’il aidait et conseillait. Tout l’intéressait, la peinture, l’architec­ture, la littérature, la nature, les animaux... Il aimait voyager, mais c’est avec un infini plaisir qu’il retrouvait sa demeure située dans un cadre encore privilégié.
ALEXANDRE LAGOYA
He began his musical studies and the guitar at the age of 8. At 13, he gave his first solo recital, and at 15, he gave guitar and solfeggio lessons. After having given more than 500 concerts, he moved to Paris, and France became his adopted country.While pursuing his teaching and artistic career, he was also able to accomplish a lengthy concert tour covering many, European countries.In 1952 he married the famous guitarist Ida Presti with whom he formed the Presti-Lagoya duet. Together, they created a class in guitar at the Schola Cantorum. They embarked on 15 international tours which included more than 2000 concerts, and many composers including D. Lesur, A. Jolivet, F. Poulenc, L. Alibert, P. Petit, H. Tomasi, S. Lancen, J. Wiener, J. Rodrigo, M.C. Tedesco, H. Villa-Lobos, and F.M. Torroba, have dedicated works to the couple.After 15 years of instrumental research with Ida Presti, he developed new techniques for the guitar:• A new right hand position which gives greater volume to the instrument,• A way to perform trills on two strings instead of one,• A new position in order to obtain greater speed when executing the pizzicato and perfecting the staccato technique.Alexandre Lagoya is repeatedly asked to teach guitar at American universities and at J.M.C. (Canada). From 1960 he has been in charge of the guitar class at the International Summer Academy in Nice, teaching numerous musicians who now occupy, positions in conservatories throughout the world.Alexandre Lagoya is considered to be one of’ the most extraordinary guitarists of our time. He has recorded many albums, and gives concerts the world over, often performing under the direction of eminent conductors with the greatest symphonic orchestras. He is regularly solicited by the most important national and international music festivals, and is invited to participate in important national and international competitions as a member of the jury every year. Also, he has been a professor at the Paris National Conservatory of Music since October 1969, when the guitar class was created.In 1965 the French government honored him with the title of Commander of Cultural and Artistic Merit : in 1972, Chevalier of National Merit, and in 1974, Chevalier of Arts and Letters for his action in favor of music throughout the world. He was awarded two medals by the Soviet government in 1964.Despite all his activities, this amiable, generous, straight forward man always had time to help and advise. Everything interested him : painting, architecture, literature, nature, animals... He loved to travel but found infinite pleasure in returning to the comfort of his home.

 


 

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