Swinging The Choro By Paris Gadjo Club
Swinging The Choro By Paris Gadjo Club
Ref.: FA8549

CAFÉ DU BRÉSIL

PARIS GADJO CLUB

Ref.: FA8549

Direction Artistique : CHRISTOPHE DAVOT

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 51 minutes

Nbre. CD : 1

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Présentation

Depuis longtemps considéré comme le pendant brésilien du jazz, le choro est une musique populaire instrumentale d’une rare sensibilité. Il conjugue à la fois finesse, profondeur mélodique et rondeur latine. Avec « Café du Brésil » Paris Gadjo Club, groupe de swing de la scène parisienne, propose la subtile fusion de ces deux esthétiques. Comme si Django Reinhardt et Jacob do Bandolim, deux virtuoses incandescents des musiques instrumentales du XXe siècle et figures iconiques mondiales, se retrouvaient. Ici tout se fait avec brio et naturel, tant la passerelle entre les deux genres est évidente. Un pont musical entre Paris et Rio, deux villes de culture et d’art de vivre, deux villes qui se regardent et s’admirent.
Augustin BONDOUX et Patrick FRÉMEAUX


"Ce jeune quintet s’empare du répertoire manouche avec subtilité et originalité."  TELERAMA


Long considered the Brazilian counterpart of jazz, the choro is a popular form of instrumental music that shows a rare sensitivity in combining   nesse and melodic depth with a fullness that is totally Latin. With their “Café du Brésil”, the Paris Gadjo Club, the Parisian scene swing group, o ffers a subtle fusion of the two styles. The result sounds as if Django Reinhardt and Jacob do Bandolim— two icons, both incandescent virtuosos of 20th century instrumental music—were playing in the same room. Here the group bridges the genres with a brio that makes it all sound so natural: a musical bridge between Paris and Rio, two strongholds of culture and art de vivre, two cities that contemplate each other in admiration.

Augustin Bondoux / Patrick Frémeaux
DIRECTION ARTISTIQUE : CHRISTOPHE DAVOT 

PRODUCTION : CHRISTOPHE DAVOT

DIRECTION COLLECTION : PATRICK FREMEAUX ET AUGUSTIN BONDOUX

DROITS : FREMEAUX & ASSOCIES

DISTRIBUTION : GROUPE FREMEAUX COLOMBINI


PIERRE-LOUIS CAS CLARINETTE, SAXOPHONE ALTO • CHRISTOPHE DAVOT GUITARE, BANJO • STAN LAFERRIÈRE GUITARE • LAURENT VANHÉE CONTREBASSE
ASSANHADO (JACOB BITTENCOURT) • BENZINHO (JACOB BITTENCOURT) • CADÊNCIA (JUVENTINO MACIEL) • ODEON (ERNESTO NAZARETH) • BREJEIRO (ERNESTO NAZARETH) • MIGALHAS DE AMOR (JACOB BITTENCOURT) • VÉSPER* (ERNESTO NAZARETH) • COCHICHANDO (PIXINGUINHA-BENEDITO LACERDA) • FLOREAUX (ERNESTO NAZARETH) • NAQUELE TEMPO (PIXINGUINHA) • NOITES CARIOCAS (JACOB BITTENCOURT) • NO BAR DO SOUZA (ILDEU VILANOVA) • VIBRAÇÕES (JACOB BITTENCOURT).



Presse
« Ainsi donc, Django Reinhardt avait un cousin au Brésil ! Même fine moustache, même mise soignée, un instrument toujours à portée de main... Il y avait comme un air de famille entre le maître de la guitare manouche et ce confrère tropical qui se nommait Jacob Pick Bittencourt mais que ses nombreux admirateurs préféraient appeler « Jacob do Bandolim ». Bien sûr, ils n'étaient pas cousins de sang mais de son. C’est le groupe Paris Gadjo Club qui tord les branches de leur arbre généalogique pour les entremêler sur son nouvel album, "Café du Brésil"… (…) Ici, pas de bandolim mais des guitares volubiles, chatouillées par le chef d’orchestre Christophe Davot et gaiment pilonnées par son second, Stan Laferrière. Sur ces cordes cabriole la clarinette de Pierre-Louis Cas, d’une légèreté et d’une grâce rares. Ses folles fioritures déclenchent immanquablement le sourire. Situé quelque part entre les terrasses parisiennes et les plages cariocas, ce Café du Brésil donne des envies d’escapades amoureuses, de siestes dans l’herbe ou de promenades en tandem. La musique des dimanches heureux ! »Par François MAUGER – A/R MAGAZINE
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« (…) groupe qui conjugue connaissance des "fondamentaux" et originalité réelle, c’est le Paris Gadjo Club, quartette qui réunit Pierre-Louis Cas (clarinette, sax alto), Christophe Davot (guitare, banjo), Stan Laferrière (guitare) et Laurent Vanhée (contrebasse). Son album Café du Brésil propose une fusion particulièrement attrayante, celle du jazz avec le choro, musique populaire instrumentale qui est son pendant brésilien. Leur rencontre n’a rien d’artificiel. Du reste, les affinités entretenues entre ces deux musiques ne sont certes pas récentes. Stan Getz contribua largement, en son temps, à la vogue de la bossa nova, et nombre de compositeurs brésiliens ont enrichi, à l’instar d’Antonio Carlos Jobim et de quelques autres, le répertoire du jazz.Dans ce disque, où est largement sollicité le compositeur Jacob Bittencourt, plus connu sous le nom de Jacob do Bandolim, ce qui est remarquable, c’est le parfait naturel avec lequel les choros se prêtent à des interprétations dans lesquelles les vertus cardinales du jazz – improvisation, swing – sont portées à leur meilleur niveau. Cela, grâce au talent éprouvé de musiciens qui ont fait leurs preuves et s’entendent comme larrons en foire. »Par Jacques ABOUCAYA – LE SALON LITTERAIRE
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[…] Le Paris Gadjo Club (dois-je rappeler que le Gadjo est le nom manouche pour le gitan ?) a décidé de passer la musique brésilienne au tamis du swing manouche. Et le résultat est… remarquable. Personnellement j’aime beaucoup le côté collage. J’explique : vous prenez une image, la musique brésilienne genre choro, et vous l’associez à une autre image, le jazz manouche… Si cela est bien fait, vous avez une troisième image. On conserve les principales qualités des deux premières pour alimenter la troisième qui en principe est séduisante. Ici l’association est réjouissante et très enthousiasmante […]. Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS !
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    Assanhado
    Paris Gadjo Club
    Jacob Bittencourt
    00:02:51
    2017
  • 2
    Benzinho
    Paris Gadjo Club
    Jacob Bittencourt
    00:04:24
    2017
  • 3
    Cadencia
    Paris Gadjo Club
    Maciel Juventino
    00:05:24
    2017
  • 4
    Odeon
    Paris Gadjo Club
    Ernesto Nazareth
    00:02:55
    2017
  • 5
    Brejeiro
    Paris Gadjo Club
    Ernesto Nazareth
    00:03:02
    2017
  • 6
    Migalhas De Amor
    Paris Gadjo Club
    Jacob Bittencourt
    00:05:35
    2017
  • 7
    Vesper
    Paris Gadjo Club
    Ernesto Nazareth
    00:02:06
    2017
  • 8
    Cochichando
    Paris Gadjo Club
    Pixinguinha
    00:03:53
    2017
  • 9
    Floreaux
    Paris Gadjo Club
    Ernesto Nazareth
    00:05:00
    2017
  • 10
    Naquele Tempo
    Paris Gadjo Club
    Pixinguinha
    00:04:25
    2017
  • 11
    Noites Cariocas
    Paris Gadjo Club
    Pixinguinha
    00:03:21
    2017
  • 12
    No Bar Do Souza
    Paris Gadjo Club
    Ildeu Vilanova
    00:02:51
    2017
  • 13
    Vibracoes
    Paris Gadjo Club
    Jacob Bittencourt
    00:05:22
    2017
Livret

FA8549 Gadjo Club


Café du Brésil 
Swinging the Choro
        by Paris Gadjo Club

Django au pays du choro
Le jazz états-unien et le choro brésilien : deux sentiers parallèles, deux mondes musicaux métis qui sont nés à peu près au même moment et qui ont coexisté au cours de leur histoire plus que séculaire dans des coins distincts des Amériques. Lorsque, à la fin du XIXème siècle, Scott Joplin publiait ses ragtimes aux Etats-Unis, la pianiste Chiquinha Gonzaga composait au Brésil des pièces qui leur ressemblent curieusement, comme son Corta-Jaca, ainsi que des choros, appelés à l’époque tangos brasileiros, les premiers d’un univers musical qui allait devenir aussi foisonnant que le Jazz. Et lorsque la trompette et le chant de Louis Armstrong faisaient fureur, la flûte et le saxophone ténor de Pixinguinha brillaient de tous leurs feux. Ainsi, ces deux grandes musiques populaires instrumentales de notre temps, flamboyantes et fécondes, se sont côtoyées sans vraiment se rencontrer.
Le jazz et le choro, deux mondes qui s’ignorent? Certains musiciens de choro brésiliens, surtout ceux de l’âge d’or des orchestres des gafieiras (les dancings des années 1940-1950 à Rio de Janeiro), connaissaient les big bands américains grâce aux disques et s’en inspiraient. Par contre les musiciens de jazz nord-américains n’avaient du choro quasiment d’autres nouvelles que le célèbre Tico tico no fubá, chanté par Carmen Miranda, car si le jazz a conquis la planète entière, le choro est longtemps resté confiné à l’intérieur des frontières du Brésil. La vraie première rencontre entre le jazz et la musique brésilienne se fera par le truchement de la bossa nova, elle-même issue à la fois du choro et de la Samba.
Christophe Davot et ses complices du Paris Gadjo Club proposent une convergence inédite avec le choro brésilien par le biais du swing manouche, sans doute la musique populaire instrumentale française qui s’en rapproche le plus. Les deux musiques ont en effet la même exigence de virtuosité, la passion de la syncope et le goût de l’improvisation, de la variation et de la citation. Les deux respirent la joie de vivre et débordent de créativité ludique. Elles n’en présentent pas moins des singularités distinctives : le génie du contrepoint chez les chorões (les musiciens de choro), l’accompagnement rythmique régulier bien marqué caractéristique du jazz manouche (la fameuse « pompe »).
Le Paris Gadjo Club a eu l’idée jubilatoire de s’emparer de thèmes célèbres de la tradition du choro brésilien et de les transmuter en morceaux de Swing manouche, comme avait fait en son temps Django Reinhardt avec le songbook américain. Du choro on retrouve les mélodies élégantes et captivantes de Pixinguinha, de Jacob do Bandolim et d’Ernesto Nazareth, entre autres, mais revisitées et jouées avec un phrasé surprenant, fort différent de l’original. La métrique peut étonner aussi, lorsque des compositions écrites à l’origine en deux temps sont « valsifiées », comme Naquele tempo.
Le résultat jouissif, d’une fraîcheur éclatante, est une double déclaration d’amour à deux musiques qui étaient faites pour s’épouser, pour le plus grand bonheur des auditeurs. Gageons que ce ne sera pas la dernière fois que swing manouche et choro guincheront ensemble, les musiciens brésiliens auront sans doute les doigts qui les démangeront de rendre la pareille !
Django no pais do choro
O Jazz norte-americano e o choro brasileiro : dois caminhos paralelos, dois mundos musicais mestiços nascidos quase ao mesmo tempo e que coexistiram por mais de um século em cantos distintos das Américas. Quando Scott Joplin, no final do século XIX, publicava seus ragtimes nos Estados Unidos, a pianista Chiquinha Gonzaga compunha no Brasil peças curiosamente semelhantes como o « Corta-Jaca », e alguns choros, chamados na época « tangos brasileiros », os primeiros de um universo musical que se tornaria tão abundante quanto o jazz. E enquanto o trompete e a voz de Louis Armstrong faziam furor, a flauta e o saxofone tenor de Pixinguinha brilhavam com todas as suas luzes. Assim, estas duas grandes músicas populares e instrumentais do nosso tempo, resplandecentes e fecundas, viveram lado a lado, sem se encontrarem realmente.
Jazz e choro, dois mundos que se ignoram ? Se os músicos brasileiros de choro, especialmente aqueles da época de ouro das orquestras de gafieira (salões de dança no Rio de Janeiro dos anos 1940-1950), conheciam as grandes bandas americanas através de discos e se inspiravam delas, os músicos de jazz tinham apenas conhecimento do famoso « Tico Tico no Fubá », choro cantado por Carmen Miranda. De fato, se o jazz conquistou todo o planeta, o choro permaneceu muito tempo confinado dentro das fronteiras do Brasil. O primeiro encontro real entre jazz e música brasileira será feito através da bossa nova, ela mesma herdeira do choro e do samba.  
Christophe Davot e seus cúmplices de Paris Gadjo Club oferecem uma convergência sem precedentes com o choro através do jazz cigano, provavelmente a música popular instrumental francesa que mais se aproxima do choro. As duas músicas exigem o mesmo virtuosismo, a mesma paixão da síncope e o gosto da improvisação, da variação e da citação. Ambas exalam felicidade e transbordam de criatividade lúdica. Cada uma delas tem suas peculiaridades: o gênio do contraponto para os chorões, o ritmo constante e bem marcado característico do jazz cigano.
Paris Gadjo Club teve a idéia jubilatória de revisitar temas famosos da tradição do choro brasileiro e transmutá-los num balanço cigano, assim como Django Reinhardt o fez no seu tempo com o songbook americano. Do choro, encontramos as melodias elegantes e cativantes de Pixinguinha, de Jacob do Bandolim e de Ernesto Nazareth, entre outros, mas tocadas e interpretadas com um fraseado surpreendente, muito diferente do original. A métrica também pode parecer estranha quando compo­sições originalmente escritas em dois tempos viram « valsas » como « Naquele Tempo », por exemplo.
O resultado é um prazer pleno de um frescor deslumbrante, uma dupla declaração de amor para duas músicas que foram feitas para se casar, para o deleite da platéia. Esperemos que essa não seja a última vez que jazz cigano e choro se cruzem. Os músicos brasileiros sentirão provavelmente vontade de retribuir o presente !

Oscar Barahona

« Fiquei muito surpreso e bem impressionado com o trabalho do Paris Gajdo Club. Eu, que nasci no universo musical do Choro e adoro o Swing Manouche, senti uma enorme alegria em ouvir a mistura dos dois.
Um deleite para os ouvidos !
J’ai été très surpris et impressionné par le travail du Paris-Gadjo-Club.
Moi, qui suis né dans l’univers musical du Choro et qui adore le Swing Manouche, j’ai ressenti une énorme joie en entendant le mélange des deux.
Un régal pour les oreilles ! »
Hamilton de Holanda
Un grand merci à Thierry Brugier et Aurore Clément de Embase Système Audio, Fabien Lefort, Sir Anthony Male, Oscar Barahona, Hamilton de Holanda, Jef Troulard, Serge Disdero, Cristina Goldman, Michel Bonnet, O Clube de Choro de Paris, Roberta Cunha Valente, Yves Faucher, Mathias Caron, Maurice Dupont, Francis Alfred Moerman, Françoise Bruley.

Les musiciens :

Pierre-Louis Cas : Clarinette, saxophone Alto**
Christophe Davot : Guitare, banjo*
Stan Laferrière : Guitare
Laurent Vanhée : Contrebasse
Enregistré et Mixé par Christophe Davot les 4 , 5 , 8 et 9 mai 2017 au Studio Boléro à Draveil.
Mastering : François Biensan.
Dessins : Anna Marin • Photo : Michel Bonnet • Traduction : Cristina Goldman
Contact : parisgadjoclub@gmail.com • +33 614341710
Direction collection : Augustin Bondoux
Conception collection : Patrick Frémeaux
Fabrication - commercialisation : Frémeaux & Associés
Depuis longtemps considéré comme le pendant brésilien du jazz, le choro est une musique populaire instrumentale d’une rare sensibilité. Il conjugue à la fois finesse, profondeur mélodique et rondeur latine. Avec « Café du Brésil » Paris Gadjo Club, groupe de swing de la scène parisienne, propose la subtile fusion de ces deux esthétiques. Comme si Django Reinhardt et Jacob do Bandolim, deux virtuoses incandescents des musiques instrumentales du XXe siècle et figures iconiques mondiales, se retrouvaient. Ici tout se fait avec brio et naturel, tant la passerelle entre les deux genres est évidente. Un pont musical entre Paris et Rio, deux villes de culture et d’art de vivre, deux villes qui se regardent et s’admirent.
Augustin Bondoux / Patrick Frémeaux
Long considered the Brazilian counterpart of jazz, the choro is a popular form of instrumental music that shows a rare sensitivity in combining finesse and melodic depth with a fullness that is totally Latin. With their “Café du Brésil”, the Paris Gadjo Club, the Parisian scene swing group, offers a subtle fusion of the two styles. The result sounds as if Django Reinhardt and Jacob do Bandolim—two icons, both incandescent virtuosos of 20th century instrumental music—were playing in the same room. Here the group bridges the genres with a brio that makes it all sound so natural: a musical bridge between Paris and Rio, two strongholds of culture and art de vivre, two cities that contemplate each other in admiration.    
Augustin Bondoux / Patrick Frémeaux
01. ASSANHADO (Jacob Bittencourt) ................. 2.51
02. BENZINHO (Jacob Bittencourt) .................... 4.24
03. CADÊNCIA (Juventino Maciel) ...................... 5.24
04. ODEON (Ernesto Nazareth) ........................... 2.55
05. BREJEIRO (Ernesto Nazareth) ........................ 3.02
06. MIGALHAS DE AMOR (Jacob Bittencourt)....5.35
07. VÉSPER* (Ernesto Nazareth) ........................... 2.06
08. COCHICHANDO (Pixinguinha-Benedito Lacerda) ...................... 3.53
09. FLOREAUX (Ernesto Nazareth).........................5.00
10. NAQUELE TEMPO** (Pixinguinha) ............ 4.25
11. NOITES CARIOCAS (Jacob Bittencourt)....... 3.21
12. NO BAR DO SOUZA (Ildeu Vilanova) ........... 2.51
13. VIBRAÇÕES (Jacob Bittencourt) .................... 5.22
Total Time : 52.10
Pierre-Louis Cas : Clarinette, saxophone Alto**
Christophe Davot : Guitare, banjo*
Stan Laferrière : Guitare
Laurent Vanhée : Contrebasse


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PrESS


“Most enjoyable and well worth lending your ears”
“Choro is a genuine Brazilian music genre which emerged in Rio de Janeiro during the late decades of the 19th century. Like jazz, that emerged in New Orleans from various sources and as a mixture of African, Creole and popular music of the time (i.e. ragtime) on the threshold of the 20th century, choro music originated as a local music style in Rio de Janeiro but soon spread all over Brazil with the emergence of radio networks early 1920s. One of the first choro musicians to be featured in radio live broadcast was Pixinguinha, who together with his band Os Oito Batutas was featured in the first nation wide broadcast in 1922. The same year Pixinguinha and his band was offered an engagement in Paris, France for some months, which became a great success with the Parisian audience. Pixinguinha and his band were the first native musicians to introduce choro, maxixe and related Brazilian music outside Brazil, and Paris, France was the first location abroad where the public had a chance to experience live performance of this music. The Parisian audience has always been open minded to influence from music outside France, another notable example is the embrace of jazz as performed by Django Reinhardt, the Belgian gypsy, who founded the European branch of hot jazz and swing. Django lived and performed in Paris most of his life and he was a success with the Parisian audience throughout his career, his legacy has since spread world wide and today Django and his gypsy style of jazz (Manouche) is more often than not associated with Paris in the 1930s and 1940s, its café culture and impromptu live music performances. This tradition is kept well alive by musicians, gypsies as well as non-gypsies (gadjos), even today. A new CD by a quartet named Paris Gadjo Club reflects this tradition, but instead of performing jazz standards the quartet plays music originally composed or performed by Brazilian choro musicians adding the unmistakable gypsy conception and interpretation of the music associated with Django Reinhardt and his followers. The result is most enjoyable and well worth lending your ears, I think.
The CD has 13 tracks and the repertoire is chosen among popular compositions by famous Brazilian choro musicians and composers like Jacob do Bandolim, Ernesto Nazareth and Pixinguinha a.o.. The rhythm section of the quartet is in the hands of Stan Laferriìere (rh g) and Laurent Vanhée (b) while Pierre-Louis Cas (cl,as) and Christophe Davot (lead g, bj) share solo spots playing melody and improvisation.”
By Jorgen LARSEN – KEEP IT SWINGING / CHORO-MUSIC

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