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  • « Se lit avec plaisir et curiosité » par Jazz Mania
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    « Aussi chez Frémeaux & Associés, sort début septembre l’autobiographie de Martial Solal « Mon siècle de Jazz ». A la sortie de l’album « Live à Gaveau » en 2019, Martial Solal nous avait confié ne plus avoir pour ainsi dire touché son piano depuis ce concert. Peut-être l’envie d’écrire le titillait déjà à l’époque, qui sait ? Voici en tout cas en 153 pages une autobiographie préfacée par Alain Gerber. De Alger en 1942 à sa passion aujourd’hui pour les petits trains électriques, Martial Solal écrit sa vie, de musicien principalement, avec une verve naturelle qui ferait presque croire à un entretien oral tant le ton y est plus celui de la conversation-souvenir que celle d’un livre prémédité. D’une maîtrise extraordinaire sur l’instrument, Martial Solal se révèle aussi surprenant et inspiré dans l’écriture : anecdotes savoureuses (ses rencontres dans les clubs parisiens), petites « piques », rencontres, concerts, petits apartés … L’écriture est vive et, oserait-on dire, quasi improv [...]

  • « Une écriture racée et passionnante » par Jazz Mania
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    « (…) Son récit est non seulement celui d’un personnage hors du commun, mais aussi un texte d’une pertinence et d’une écriture racée et passionnante, de la première à la dernière ligne. Ce livre, je l’avais lu à l’époque de sa sortie et je l’ai ressorti aujourd’hui lorsqu’ a atterri dans ma boîte aux lettres le double CD « Monk » paru chez Frémeaux & Associés, la version du livre lu par l’auteur. Autant j’ai dévoré le livre lors de la lecture, autant j’ai bu les paroles de Laurent de Wilde avec un plaisir nouveau. Non content d’être un grand pianiste, voilà que je découvre, après l’écrivain, le lecteur/acteur qui reprend à la lettre son brillant écrit. Et bien qu’ayant relu le livre tout récemment, je n’ai pas décroché (en deux soirées tout de même) de l’écoute passionnante de la vie et de l’œuvre de Thelonious « Sphere » Monk. Laurent de Wilde possède l’art de nous accrocher par la lettre et par la voix, même lorsqu’il nous parle des particularités du jeu monkien. « Monk » était [...]

  • « Une porte d’entrée nécessaire » par Culture Jazz
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    « (…) Je remercie Martial Solal d’avoir su écrire un livre de mémoire(s) dense, virevoltant, précis, délié du fil temporel, piquant, humoristique, honnête et surprenant. Viens-je de décrire le livre ou la musique du pianiste et compositeur ? Les deux mon capitaine car l’un ne va pas sans l’autre. Pour celles et ceux qui ne sont pas familier de l’univers de l’artiste, ce petit livre est une porte d’entrée nécessaire. Le point fondamental, la clef de son siècle de jazz, est sa peur de l’ennui. Elle n’a jamais cessé de le faire progresser, quels que soient les écueils et les vicissitudes de la vie. Elle l’a poussé et lui a donné une forme d’indépendance qui l’a mené à chaque épisode musical de sa vie là où il devait être. Martial Solal a également su provoquer la chance, mais cet état de fait est consubstantiel à son aversion pour la monotonie. Sa force est aussi d’avoir su s’entourer de musiciens qui convenaient à son art, un art authentique qui en a dérouté plus d’un dans le lander [...]

  • « Son influence sur le jeune Ray Charles est patente » par Paris Move
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    « Disparu en février 1991 (à 59 ans), James Cleveland n’était pas n’importe qui. Il fut en effet de ces pionniers qui surent affranchir le gospel, non seulement, du cercle (certes vaste) de l’église, mais aussi de la tutelle exclusive de compagnies de disques qui en limitaient la diffusion aux congrégations. C’est le docte Jean Buzelin qui s’est attaché à cette anthologie, suivant à la trace le parcours du Reverend, depuis son trio originel des Gospelaires jusqu’à la célèbre Angelic Choir (avec un tout jeune Billy Preston à l’orgue, tout juste réformé de ses frasques hambourgeoises auprès de Little Richard!), en passant par les Meditation Singers, Gospel All Stars, Voices Of Tabernacle et autres Gospel Chimes. Ses arrangements ne s’éloignent souvent guère du blues pianistique urbain de Leroy Carr et Big Maceo (“Trouble In My Way”, “Good Enough For Me”), et avec son timbre rauque et éraillé, son influence sur le jeune Ray Charles est patente (“We’re Marching To Zion”, “That’s Why I [...]

  • « Se livrer sans filet sur quasiment un siècle de musique » par LDNJ
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    « On croyait tout connaître de Martial Solal, sa vie, ses œuvres, depuis deux ouvrages de référence* ... Que nenni ! Le pianiste-compositeur, qui vient de souffler ses 97 bougies (il est né le 23 août 1927 à Alger), s’est mis à son clavier d’ordinateur pour se livrer sans filet sur quasiment un siècle de musique. Sans ordre chronologique, laissant son esprit vagabonder, évoquant ses souvenirs personnels (sa vie privée, sa passion pour le jeu, le train électrique…) et professionnels (ses rencontres, ses coups de cœur, ses coups de griffe aussi). Une autobiographie qui nous donne quelques clés pour élucider « le mystère Solal ».  L’auteur nous facilite la tâche et avance cette explication : « Mes auditeurs auront admis mon amour démesuré de la « bougeotte » que j’attribue à mon impérieuse nécessité de changement. Mon excuse ; je m’ennuie très vite. Passer au cours d’une même mesure d’une tonalité à une autre, mélanger, complexifier sans même m’en apercevoir est chez moi depuis toujo [...]

  • « L’un des grands hommes du Gospel » par ABS Magazine
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    « Un double CD de 49 titres pour reprendre l’essentiel de la carrière de l’un des grands hommes du Gospel. Né à Chicago en 1931 et décédé en 1991, James Cleveland peut être considéré comme l’un des géants masculins de cette musique, à l’égal de Tom Dorsey ou Ira Tucker. Le texte de pochette signé Jean Buzelin vous dira tout ce qu’il faut savoir sur cet artiste, magnifique chanteur à la voix grave, pianiste inspiré et efficace et leader de toutes sortes de formations : des Meditation Singers de Ernestine Rundless et Della Reese, aux Roberta Martin Singers, en passant par les formidables Caravans d’Albertina Walker, The Voices of Tabernacle, The Gospel Chimes avec Jessy Dixon et Dorothy Norwood, puis des chorales importantes comportant plus de cent musiciens ; il a su tout faire avec maestria et a enregistré copieusement pour de nombreux labels : Apollo, Hob, Specialty, Gospel, Savoy. Sur l’album « Amazig Grace » d’Aretha Franklin, c’est lui qui dirige la Southern Californian Commun [...]

  • « Sa longue route vers la perfection » par Le Monde
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    Le pianiste et compositeur publie, à 97 ans, son autobiographie. Un siècle de vie et d’hommage à ses compagnons de route. C’est un siècle de jazz, le sien, sa longue route vers la perfection, pas moins. Un petit livre allègre, vif comme une flèche. Un récit peuplé des plus grands musiciens de la Terre, qui vous prend à l’improviste car on ne s’y attendait pas : voici l’autobiographie « véritable » de Martial Solal, à sauts et à gambades, sans souci de la chronologie, il s’en vante. Seule ambition : mentionner tous ses partenaires (un exploit !) et tricoter une histoire personnelle du jazz.Depuis André Hodeir (1921-2011), son compagnon de route, de science, d’intelligence et d’humour, la vie et l’œuvre de Martial Solal, né à Alger le 23 août 1927, ne manquent ni de commentaires savants ni d’exégètes brillants. « La “solalologie” tient sa légitimation de l’entrée de Martial Solal dans la collection The Quintessence, qui a le statut de Pléiade. » Dixit l’inventeur de la collection. V [...]

  • « Se dévore comme un bon roman » par Couleurs Jazz
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    (…) Solal c’est un monstre de travail, ce qui lui a conféré une technique sur l’instrument que seul son aîné — et idole — Art Tatum a atteinte. Son entraînement quotidien pendant des années a inclus la pratique de partitions de musiciens comme Chopin ou Rachmaninoff. Il n’est donc pas étonnant qu’il recueille l’admiration de pianistes classiques.(…) Du solo au big band en passant par le duo — entre autres avec d’autres pianistes —, le trio — ponctuellement avec deux contrebasses mais la plupart du temps avec basse et batterie —, le quartet … il aura donc exploré la plupart des facettes du jazz en compagnie de comparses aussi divers que Sydney Bechet ou Django Reinhardt, Stéphane Grappelli ou Johnny Griffin, Didier Lockwood ou Eric Lelann, Michel Portal ou Daniel Humair, Kenny Clarke ou Paul Motian, Dave Liebman ou Lee Konitz.Touche à tout de génie et orfèvre dans tout ce qu’il touche, Solal ne pouvait pas manquer de faire de son autobiographie une traversée des décennies qui l’ont [...]

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