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  • 38 de ses plus beaux titres en un double album par Centre France
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    « C’est parce que la chanson était populaire qu’elle fut un art. Auquel s’essayaient aussi les plus grandes voix.“Je leur laisse tout Wagner pour une chanson de Vincent Scotto”, avouait Brassens, conscient quand même du séisme que ne manquerait pas de provoquer pareil propos. Ce père de la chanson populaire écrivit quelques 4 000 de ses célèbres refrains, sans compter 350 musiques de films et 46 opérettes !De la “Java bleue” au “Plus beau tango du monde” à l’immortel “Sous les ponts de Paris”, parions qu’il y a infiniment plus de ténors de salles de bains qui vous en fredonneront volontiers un air, que vous ne trouverez de candidats pour les adieux de Wotan ou la méditation de Hagen. Et c’est moins pour repasser les plats d’une énième séquence nostalgie que véritablement rendre hommage à l’immortel auteur de “J’ai deux amours” et “Marinella”, que Frémeaux & Associés a réunit 38 de ses plus beaux titres en un double album.Mayol, Georgel, Joséphine Baker, Ray Ventura et ses Collégie [...]

  • Un ouvrage prafait par Le Figaro
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    « Plus spectaculaire à lui seul que Goldman, Barbelivien et Obispo réunis, Vincent Scotto donna à la France un nombre saisissant de chansons immortelles : Sous les ponts de Paris, La Petite Tonkinoise, Adieu Venise provençale, Prosper (yop la boum), Le Plus Beau Tango du monde, Les Pescadous ouh ouh, J’ai deux amours, Marinella, Tchi-Tchi, Les Mômes de la cloche, Où est-il donc ?, Ramuntcho, et on en oublie forcément, puisqu’il en a écrit au moins 4 000. Cette compilation due à l’inlassable gourmandise de Frémeaux & Associés essaie de résumer son œuvre immense avec autant de surprises (Tchi-Tchi chanté par le fameux Chanteur sans Nom, Marinella par Ray Ventura et ses Collégiens) que d’évidences (Prosper par Chevalier, etc.) Un ouvrage prafait. » Le Figaro

  • Son nom sonne comme une ritournelle par Chorus
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    « Son nom sonne comme une ritournelle. Prince de la mélodie, Vincent Scotto est l’auteur, dit-on, de plus de quatre mille chansons dont plusieurs dizaines de tubes. Près d’une quarantaine d’entre eux figurent sur ce double CD de compilation où, preuve en mains, on s’aperçoit combien ce diable de Marseillais savait s’adapter au style de ses interprètes (Elyane Célis, Tino Rossi, Réda Caire, Edith Piaf, Alibert, Fréhel, Mayol, André Dassary, Esther Lekain, Maurice Chevalier, Georgel, Joséphine Baker, Andrex… entre autres têtes d’affiche).Sans épate, cet artisan du couplet bien troussé passait de la romance sentimentale au comique, du drame réaliste à la carte postal exotique, de la musique de film à l’opérette à accent. Avec bonheur. Autrement dit avec joie et enthousiasme. Un émerveillement dont l’origine remontait à son premier succès “La petite Tonkinoise”, créé par Polin, dont les (modestes) droits d’auteur lui avaient ouvert la route de la capitale.La simplicité, pourtant, ne f [...]

  • Ces deux disques doivent vous accompagner en croisière par Centre Presse
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    « “La Mer…” appartient à Charles Trenet ! Et pourtant, cette anthologie démontre que la plupart des grandes voix de la “chanson réaliste” des années 1900-1940 ont célébré les plaisirs et les malheurs de la marine, élevant les chansons d’ivrogne (“C’est dans un caboulot…” chante Damia la tragédienne des cabarets) au rang des mythes qui accompagnent les grandes aventures modernes.Parfois pathétiques mais toujours amusants, ces deux disques doivent vous accompagner en croisière – et c’est un cadeau idéal pour les marins du prochain été ! » Christophe Deshoulières – Centre Presse

  • La Mer ! par Le Figaro
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    « La Mer, 1923-46. Un comique d’avant-guerre (la Première, bien sûr) disait que la mer ne présente aucun danger à condition de ne pas la boire. La chanson française est d’un tout autre avis : l’onde bleue ne semble avoir été créée que pour noyer le matelot, engloutir l’innocente et esseuler la veuve. Les larmes et l’océan sont de la même eau, que le marin soit héroïque (Le Maître à bord par Berthe Sylva), le gars valeureux (La Cruelle Berceuse de Théodore Botrel) ou l’amante cruelle (La Plongée de Bérard, qui affirme le même credo que dans son Train Fatal : tous les malheurs du monde viennent de l’infidélité de la femme). Bien sûr, il s’en trouve pour rêver devant les golfes clairs (La Mer de Charles Trenet) ou aimer les bateaux (La Marie-Jésus par Gilles et Julien), mais – tant qu’à être léger –, c’est encore dans le registre niais que l’on avoue préférer la mer, comme avec C’est dans la mama de Fernandel. » Christian Merlin, Bertrand Dicale – Le Figaro

  • Absolument indispensable par Epok
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    « La Mer. 1923-1946. Anthologie maritime de la chanson française. Absolument indispensable… Pour Suzy Solidor et Les Filles de Saint-Malo, Fréhel et La Chanson du vieux marin, Perchicot et Les Gars de la marine. Frémeaux. » Magazine Fnac – Epok

  • La Blonde Vénus par Le Figaro
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    « Marlène Dietrich a enregistré, entre deux tournages de films, d’innombrables chansons. Quarante-trois d’entre elles, interprétées entre 1928 et 1948, sont regroupées sur un double CD, La Blonde Vénus (chez Frémeaux & Associés). En exergue figure une formule de Jean Cocteau à propos de L’Ange bleu : “Un nom qui commence comme une caresse et s’achève comme un coup de cravache.” » Jacques Pessis – Le Figaro

  • La chanteuse à la voix rauque qui susurra La vie en rose par Le Progrès
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    « Sur le grand écran, elle fut tour à tour un Angle bleu, une Impératrice rouge, une Blonde Vénus… mais la carrière cinématographique de Marlène Dietrich ne saurait occulter celle de la chanteuse à la voix rauque qui susurra “La vie en rose” et autres classiques comme “Lili Marlene”, “Jonny” ou “Falling in love again”, autant de titres réunis dans le double CD anthologique couvrant les années 1928/1948. » Le Progrès

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