Alain Gerber - Naissance de la bossa nova
Alain Gerber - Naissance de la bossa nova
Ref.: FAL3260

Rio de Janeiro : Johnny Alf, Vinícius De Moraes, Antônio Carlos Jobim, João Gilberto, Elis Regina…
New York, Los Angeles : Stan Getz, Dizzy Gillespie, Quincy Jones, Dave Brubeck, Sonny Rollins…

Ref.: FAL3260

Auteur : Alain Gerber

Label :  FREMEAUX & ASSOCIES

Sélectionnez une version :
Grâce à ce pack, vous bénéficiez d’une remise de 20.93 % soit de 10,04 €
Cette œuvre est déjà dans votre panier
Une version numérique de cette œuvre est déjà dans votre panier
Expédié sous 24 à 48h
Distinctions
Recommandé par :
  • - Recommandé par France Inter (Matthieu Conquet - Et je remets le son)
Présentation

« Grâce à Dizzy Gillespie surtout, le jazz s’est afro cubanisé au milieu des années 40. Grâce à Stan Getz entre autres, le jazz s’est brésilianisé au début des années 60. A cette nuance près qu’on n’emploie jamais le terme. Sans doute parce que, loin de Rio, on n’est jamais certain, lorsqu’on l’évoque, de respecter l’esprit (...). » Alain GERBER « Comment expliquer que la bossa nova, ce style informel élaboré par de jeunes bourgeois (Nara Leão, Roberto Menescal…) et de moins jeunes (Jobim, Vinícius de Moraes …) de Rio de Janeiro, ait conquis le monde ? Sans doute par ses qualités harmoniques et rythmiques, son chant intimiste et un certain art de vivre ; mais aussi par le coup de pouce donné par les majors du disque américains. (...) Des jazzmen comme Dizzy Gillespie et Stan Getz sauront l’illuminer d’une touche personnelle. »
Philippe LESAGE

De Rio de Janeiro à New York et Los Angeles, paraît enfin le livre sur la bossa nova qui raconte comment une musique du monde enrichit la première musique savante du XX siècle, celle qui accompagnera les noirs dans leurs luttes contre la ségrégation raciale. De João Gilberto à Quincy Jones, de Chico Buarque à Stan Getz, Alain Gerber se réapproprie un statut d’historien pour nous livrer une histoire de la plus belle des douceurs métissées du monde...
Patrick FRÉMEAUX

Alain Gerber a reçu le prix Goncourt de la nouvelle, mais aussi le prix Interallié pour « Le verger du diable ». Critique à Jazz Magazine et Diapason, producteur à France Musique et France Culture, auteur d’une vingtaine de biographies de grands jazzmen, Alain Gerber est le directeur artistique de la collection « The Quintessence » regroupant chez Frémeaux les 80 coffrets offrant une relecture historique parfaite du jazz.



320 pages

Presse
Rien de tel que les élans de l’anthologie en double CD jointe à cette monographie ralliant Rio de Janeiro à Los Angeles ou New York, pour cumuler tous les suffrages en près de soixante vignettes, d'Heitor Villa-Lobos à Lalo Schifrin. Alors, une fois n’est pas coutume, laissons-nous en premier lieu bercer par ces chants d'amour, qui qrâce à l’art hédoniste de João Gilberto, Jobim ou Baden Powell, séduisirent la planėte. Mais rejoignons vite Alain Gerber, plume nocturne et oreille fine, qui s’installe au bord de la baie de Guanabara, non pas pour nous faire le coup du guide touristique mais pour s’aventurer dans les vapeurs feutrées d’un tempo qui ne se mesure pas, qui se ressent - la bossa nova. Naissance de la bossa nova n'est pas un récit, c'est un murmure, une confidence chuchotée entre deux nuages de fumée, entre la batida sèche d’une guitare et le soupir alangui d’une voix qui hésite entre le chant et le souffle. On y entre comme on entre chez le Trio Camara ou Sylvia Telles : sur la pointe des pieds. L’auteur, toujours plus Jazzman que biographe ne fait pas œuvre de mémoire mais de sensation. Il reconstruit l’instant mythique - I’instant zéro - où la samba s'allège, se dénude, découvre l’espace. Le Brésil de l’époque ? Un pays au bord de l’insouciance et du chaos, où les étudiants lisent Camus dans les cafés de Copacabana pendant que João perfectionne l’art de ne rien faire, mais avec une-exactitude de moine. Le vrai miracle c’est que Gerber parvient à traduire en mots cette retenue, ce fil tendu entre la lumière et l’ombre, entre le chant du matin les vertiges de la veille […]. Il ne raconte pas l’histoire de la bossa nova, il nous fait entendre son silence, ce creux minimal entre deux notes qui contient tout Rio, toute la saudade du monde. Et on referme ce petit miracle de littérature musicale avec le sentiment d’avoir entendu quelque chose qu’on croyait perdu – la naissance d’un murmure devenu langue universelle. Christian Larrède - Vinyle & Audio
Lire davantage Lire moins
« La bossa nova, bande sonore d’un Brésil idéal, vous fait-elle rêver de Rio, du Corcovado sur des airs connus « Chega de Saudade » ou l’inoxydable « Garota de Ipanema» ? Heureusement pour les plus cinéphiles viennent à l’esprit des scènes du film de Marcel Camus Orfeu Negro, succès planétaire de 1959, Palme d’Or à Cannes et Oscar à Hollywood l’année suivante. La bossa allait faire le lien entre la samba des rues et le jazz. Le romancier du jazz, l’écrivain de cette musique Alain Gerber s’est lancé dans l’un de ses nouveaux chantiers, l’un de ses travaux d’Hercule auxquels il se livre régulièrement, cette fois sur la bossa nova et sa naissance, les liens réels complexes avec le jazz, faussés souvent par l’engouement médiatique planétaire après le Jazz samba de Stan Getz / Charles Byrd. Même Frank Sinatra enregistrera avec Joào Gilberto, ne voulant pas rater cette Nouvelle Vague en 1967.Deux grandes parties subdivisées en plusieurs chapitres structurent le livre : la Genèse à Rio de Janeiro comprenant un « prologue » essentiel où il est question autant de Johnny Alf, Baden Powell, Henri Salvador avant Georges Moustaki (D’utiles points de repère) et Jeunesse à New York et ailleurs dans le monde. Où l’on voit que tout ne commence pas avec Stan Getz et surtout Charlie Byrd qu’il ne faudrait pas négliger car c’est lui qui amena Getz à la bossa. 1962 est l’année de la Bossa Craze nous annonce Alain Gerber en référence à la Swing Craze des années 30.  Tous les grands jazzmen s’en emparent avec plus ou moins de bonheur et ce, malgré le rendez-vous raté à Carnegie Hall avec les musiciens Brésiliens. Enfin presque tous les bons puisque ni Coltrane, ni Ayler, ni Ornette ne se frottèrent à ce nouveau courant. Reconnaissons le rôle précurseur une fois encore, mais non reconnu faute de preuves immédiates d’enregistrement de Dizzy Gillespie avec Lalo Schifrin, les essais pas toujours transformés de Quincy Jones, Sonny Rollins, Elek Bacsik. Evitant de figer la bossa nova dans une aventure, une épopée historique, Gerber inscrit chaque interprète dans l’évolution de cette musique. Il examine tous ceux qui ont oeuvré pour faire connaître la bossa nova ou s’adapter à sa modernité, les déterminants Bud Shank et Laurindo Almeida et encore Dave Brubeck, Paul Desmond, Herb Ellis. La liste est si longue… impossible de les mentionner tous ! N'oublions pas les musiciens français Claude Bolling et Guy Laffite, pourtant inscrits dans la tradition qui se laissèrent séduire par cette révolution « tranquille ». Toutes ces tentatives ne furent pas toujours de grandes réussites er ce sont peut-être les tenants de la West Coast qui se sont le plus rapprochés de la bossa nova. L’année suivante 1963 voit cet engouement perdurer. Après avoir lu la somme d’Alain Gerber, vous en saurez beaucoup plus assurément sur la naissance de ce mouvement qui révolutionna l’histoire musicale à la fin des années cinquante. Vous saurez à peu près tout sur sa préhistoire, son histoire, son évolution, ses avatars plus ou moins heureux. Sans faire œuvre de musicologue, Alain Gerber a une démarche d’historien mais ce qui lui importe est de rendre compte de son sujet de la façon la plus musicale possible. Si vous le lisez attentivement, défileront tous les maîtres de cet art musical, les trois pères fondateurs déjà. Dans une période de modernisation urbaine et de fort sentiment d’identité nationale, âge d'or d' un regime qui comptait rattrapper cinquante ans en cinq ans, Vinicius de Moraes, « le Cocteau Carioca », Antonio Carlos « Tom » Jobim qui apporta un nouveau raffinement à la musique populaire brésilienne, João Gilberto, venu de Bahia qui donna à la bossa son rythme, ont su dégager poésie et harmonie dans un style musical délicat, minimaliste qui se caractérise peut être par sa nonchalance élégante, j’oserai avancer avec une « sprezzatura » toute italienne, celle de la Renaissance, d’un Leonard ou d’un Raphaël. Des légendes avec un portrait vivant pour chacun.Suivent tous les musiciens en orbite de cette triade, chanteurs le plus souvent comme Chico Buarque, Caetono Veloso qui furent les dignes héritiers du canto falado (parler chanter), mais encore des « passeurs » oubliés aujourd’hui que l’auteur évoque précisément avec une certaine tendresse pour ces défricheurs, ces passionnés pas toujours brésiliens Mark Murphy, Jon Hendricks. Une mention particulière est faite à la muse aux macaronis Nara Leão qui, avant de devenir une égérie du mouvement tropicaliste, ouvrit la voie à d’autres chanteuses qu’il ne faudrait pas oublier non plus Maria Bethãnia. Gal Costa, Elis Regina, Eliane Elias.Alain Gerber écrit avec sa passion habituelle, son « addiction » de collectionneur qui sait extraire la quintessence d’une formule sans oublier des fulgurances qui peuvent flirter avec le paradoxe dont il a le goût. Difficile de résumer un tel livre si riche d’informations et d’analyses. Une somme jamais fastidieuse mais labyrinthique tant le sujet, pour attachant qu’il soit, se révèle complexe. Avec ce travail d’archives, de recherches colossales qui prirent beaucoup de temps, il nous ouvre la voie pour éviter les raccourcis faciles sur cette musique dans un magistral essai qui ne veut surtout pas ressembler à une étude universitaire. Tout amateur de musique trouvera son compte avec ces références discographiques innombrables, détaillées dans des notes de bas de page, des vignettes photos, y compris de livres sur le sujet. Il est vrai qu’il s’appuie sur la référence patrimoniale incontournable des Editions Frémeaux & Associés pour laquelle la musique brésilienne est un territoire déjà sillonné avec plus de trente anthologies de référence. En témoigne la postface précise et personnelle de Philippe Lesage, justement directeur de la collection Brésil Amérique du Sud. L’un des intérêts et non des moindres de son commentaire est d’avoir souligné les difficultés de la bossa à s’imposer en dépit ou à cause de son attraction populaire immédiate : les jazzeux se montrèrent condescendants et il est savoureux de lire ce qu’en écrivait alors Jacques Réda dans Jazz Magazine, notre poète flâneur des banlieues, amoureux du bop : inévitable monotonie …. comme les chevaux de bois, ça monte jamais bien haut puis ça descend même pas très bas. Ça tourne en rond, ça recommence. Le cher Réda se trompait... bien qu’il reconnût que le vieux Bean s‘en tirait à merveille, lui qui avait su monter sur le manège (Desafinado : Bossa Nova et Jazz Samba, un Impulse de 1962). Alain Gerber n’égratigne pas son ami critique mais rend hommage en revanche à Alain Tercinet, le spécialiste incontestable de la West Coast alors peu prisée qui aima la bossa et su voir dans la voix de Chet une préfiguration du chant intimiste de la bossa. « Chet et Gerry Mulligan captèrent l’attention des jeunes Turcs de Rio » tempérant le goût marqué de la samba sans abandonner le swing. Mais le final flamboyant du livre est consacré à Stan Getz le traduttore/ traditore, ambassadeur et même V.I.P . Si Alain Gerber avait dénigré quelque peu le succès planétaire de Getz/Gilberto, et surtout le coup publicitaire avec Astrud Gilberto, il finit par ce qu’il fait de mieux et depuis longtemps, un portrait psychologique de Getz qui sut prendre congé suffisamment tôt de la bossa nova pour ne pas perdre l’estime artistique. Cet éternel insatisfait était d’une loyauté à toute épreuve envers sa musique, voulant jouer comme il savait le faire. Ironiquement sa plus grande popularité, il la trouva avec une musique qu’il avait attaqué avec désinvolture dès ce « Jazz Samba », sorte de « sieste voluptueuse ». Mais la « batida » de Gilberto qui fait tanguer la bossa comme aucune autre musique et « son » jazz sans oublier la mélancolie ou saudade qui leur était commune firent de cette association une vraie réussite avec en mars 1963 Getz/Gilberto featuring Antonio Carlos Jobim. Pour conclure: « Stan (à qui Gilberto reconnaissait une âme) a inventé son Brésil, le Brésil universel. » » Par Sophie CHAMBON – LES DERNIERES NOUVELLES DU JAZZ
Lire davantage Lire moins
« Dans la langue limpide et recherchée qui le caractérise, Alain Gerber livre une œuvre d’anthologie, et ce à plus d’un titre. Non content de narrer par le menu la genèse de l’un des genres musicaux majeurs de la seconde moitié du siècle dernier, l’auteur se risque ici à dépeindre et décortiquer l’essence même d’un art dont l’évanescence n’en fut pas moins revendiquée pour qualité cardinale par ses initiateurs même. Les quelques 18 pages qu’il consacre à l’immense (bien qu’énigmatique) João Gilberto comptent ainsi parmi les analyses les plus pertinentes de l’art et de la personnalité de cet artiste notoirement fuyant. Les autres figures emblématiques qu’il énumère ne sont pas en reste (du fantasque Vinicius de Moraes à Tom Jobim, Marcos Valle, Caetano Veloso, Gilberto Gil, Chico Buarque, Baden Powell et Nara Leào). Le dernier tiers de cet ouvrage se consacre à l’imprégnation de la bossa par le gotha du jazz à l’orée des sixties, via des ambassadeurs tels que Dizzy Gillespie, Dave Brubeck, Shorty Rogers, Sonny Rollins, Miles Davis, Gil Evans, Bud Shank, Charlie Byrd, Zoot Sims, Quincy Jones, et bien entendu, Stan Getz. Une exégèse de référence pour qui souhaiterait explorer les arcanes d’un courant essentiel, qui irrigua jusqu’à la pop (“No Return” et “Monica” par les Kinks) et la variété internationale (de Sinatra à Henri Salvador et Georges Moustaki, sans oublier Nino Ferrer, Pierre Vassiliu, Claude Nougaro et Pierre Barouh). »Par Patrick DALLONGEVILLE – PARIS MOVE
Lire davantage Lire moins
« Sans conteste, le jazz s’est imposé comme LA musique du XXème siècle. Née comme on sait, dans le sud des Etats-Unis, il a, au fil des ans, essaimé quasiment dans le monde entier, rencontrant maints folklores avec, il faut bien le dire, des bonheurs divers. (…) Par bonheur il est des mariages heureux. Des unions lumineuses. Tel est le cas de la bossa nova, fruit de la rencontre entre le jazz et la musique brésilienne. En l’occurrence, nulle idéologie abstraite mais un vrai coup de foudre. Une idylle qui se prolongera des décennies durant depuis le début des années 1960 jusqu’à nos jours.Il y eut certes des précurseurs comme Dizzy Gillespie, fasciné par les rythmes afro-cubains au point d’intégrer dans son orchestre le batteur Chano Pozo (Manteca). Rien de commun toutefois avec la subtilité de musiciens brésiliens tels Vinicius de Moraes, Antônio Carlos Jobim ou encore Joao Gilberto. De quoi subjuguer Stan Getz et Charlie Byrd et autres musiciens nord-américains, Dave Brubeck, Quincy Jones ou Herb Ellis, pour ne citer qu’eux.Qui mieux qu’Alain Gerber aurait pu rendre compte de cette idylle devenue une véritable épopée, narrée avec une précision entomologique assortie d’une vision panoramique ? La réputation de l’auteur dépasse largement le seul monde du jazz et son talent d’écrivain n’est plus à louer. Fleuron des éditions Frémeaux et Associés, tant dans le domaine du disque que dans celui du livre, il en est la clé de voûte. La pierre angulaire. Qui ne se souvient de sa contribution remarquable à la collection Quintessence ? Il en donne ici, une fois de plus, l’exemple : à son livre passionnant de bout en bout il adjoint un complément sonore indispensable. En effet un coffret de deux disques illustrant son propos d’historien vient en apporter la confirmation. Tous les grands noms y figurent, tous les succès mondiaux aussi. De Villa-Lobos à Bud Shank en passant par Jobim et Zoot Sims, ils sont tous là avec leurs chefs d’œuvre, Bachiana Brasileira, Pensativa, Maria Ninguem, entre bien d’autres.Une plongée rafraîchissante.Un voyage à la fois dépaysant et exaltant dont on sort revigoré. »Par Jacques ABOUCAYA
Lire davantage Lire moins
« Frémeaux & Associés est depuis 30 ans le spécialiste des collections de musiques du XXè siècle . Cette fois c’est sur la bossa nova que s’est penché un des écrivains phares de cet éditeur, Alain Gerber. Journaliste, auteur d’une vingtaine de biographies de jazzmen, il est le directeur artistique chez Frémeaux de la collection « Quintessence » qui regroupe 80 coffrets relatant l’histoire du jazz.Bien plus qu’un courant musical la bossa nova est une révolution douce, une éclosion artistique née de l’effervescence culturelle du Brésil des années 1950. Dans ce livre Alain Gerber revient sur les racines de cet élan créatif, le replaçant dans son contexte de modernisation urbaine et de forte identité nationale.Les figures tutélaires sont bien sûr présentes, Joao Gilberto l’inventeur du rythme lui-même, l’imaginatif Antonio Carlos Jobim, le fantasque Vinicius de Moares. Mêlant rythmes de samba avec une sensibilité différente, une élégance nonchalante, la bossa nova puise aussi ses racines dans le jazz et en deviendra un des volets importants. Combien de mes amis qui n’aiment pas, ou pas trop, le jazz sont-ils ainsi sensibles au charme de la bossa !Élément important de la bossa, le chant avec la présentation de ses chanteuses et chanteurs emblématiques dans le berceau de Rio de Janeiro puis à la conquête de New York et Los Angeles où les plus grands jazzmen adoptent ce courant musical et le propulsent au niveau mondial. Vous découvrirez qu’un certain Henri Salvador a mis sa pièce à l’édifice même si son auto proclamation d’inventeur de la bossa nova est très exagérée…Alain Gerber nous raconte tout cela comme un roman nous donnant envie de réécouter d’une autre oreille cette musique. Cela tombe bien car parallèlement à cet ouvrage, paraît une anthologie musicale, toujours signée Alain Gerber, qui en deux CD et 45 titres nous relate la naissance et les premiers pas de la bossa, de Villa-Lobos à Quincy Jones en passant bien sûr par les maîtres incontestés du genre, Joao Gilberto, Luiz Bonfa, Tom Jobim, Vinicius de Moraes, Baden-Powell et les américains Stan Getz, Sonny Rollins, Dizzy Gillespie, Coleman Hawkins et bien d’autres. »Par Philippe DESMOND – ACTION JAZZ
Lire davantage Lire moins
« Une fois n’est pas coutume, notre Disque coup de cœur est accompagné d’un livre coup de cœur, tous deux signés par Alain Gerber, qu’on ne présente plus – enfin je crois, enfin j’espère ! – et qui nous tend la main pour mieux nous faire tendre l’oreille en sélectionnant sur les deux CD de l’anthologie moult pépites d’Antônio Carlos Jobim, Vinícius de Moraes, João Gilberto, Sylvia Telles, mais aussi, car quand la bossa est là le jazz ne s’en va pas, des perles de Curtis Fuller, Dave Brubeck, Quincy Jones ou, bien sûr, Stan Getz pour, in fine, fort de sa plume savante et généreuse, nous faire rêver à des monde meilleurs où la musique ne serait que source de bonheurs tranquilles. »
Lire davantage Lire moins
commander les produits Frémeaux ?

par

Téléphone

par 01.43.74.90.24

par

Courrier

à Frémeaux & Associés, 20rue Robert Giraudineau, 94300 Vincennes, France

en

Librairie ou maison de la presse

(Frémeaux & Associés distribution)

chez mon

Disquaire ou à la Fnac

(distribution : Socadisc)

Je suis un(e) professionnel(le)

Librairie, disquaire, espace culturel, papeterie-presse, boutique de musée, médiathèque…

Contactez-nous