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  • « Daniel Humair offre un quatrième côté à son triangle » par France Musique
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    « Pour “Drum Thing” qui sort chez Frémeaux, Daniel Humair offre un quatrième côté à son triangle. Yoann Loustalot rejoint le trio du batteur avec Stéphane Kerecki et Vincent Lê Quang. »Par Alex Dutilh – France MUSIQUE

  • « Le clarinettiste qui a illuminé les nuits parisiennes »
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    « Le clarinettiste qui a illuminé les nuits parisiennes pendant les années 1930. (…) Son jeu a inspiré tous les clarinettistes du jazz d’après-guerre à Paris. Jazz au trésor de la semaine. » Par Alex DUTILH – FRANCE MUSIQUE

  • « Il faut se plonger, corps et âme dans ces enregistrements. » par Le Souffle Bl
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    « Se souvient-on que la culture française s’est alimentée de bien des façons des cultures créoles ? La langue comme le soulignait Aimé Césaire mais, pour le Paris des années 1920-30, la musique avec, notamment, le clarinettiste martiniquais Alexandre Stellio (1885-1939), créateur de la Biguine. S’appeler pour l’état civil Alexandre Fructueux ne pouvait qu’être le prémisse d’une vie orientée vers le don de soi en construisant une musique du bonheur et de la transe.Le coffret de 4 CD publié par Frémeaux et associés permet de retrouver les filiations des musiques actuelles. L’influence des cultures antillaises a longtemps été sous-estimée dans les affluents du jazz, notamment en France. Pourtant, longtemps « La Cigale » a été le temple de ces musiques. Elle a permis de faire naître un genre particulier qui inondera les années 50 et les débuts de la décennie d’après, les orchestres typiques comme les chanteurs qui utilisent cette veine, comme Dario Moreno par exemple. Aux États-Unis, [...]

  • “Island rhythms and early strands of jazz!” by Dusty Groove
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    “(…) A hell of a clarinet player, and one who effortlessly weaves together island rhythms and early strands of jazz! All of the recordings here were done in Paris during the mid 30s, and provide a great illustration of the way that the crumbling French colonial empire was allowing all sorts of unusual criss-crossing in sound (…) very much in the spirit that would soon become known as biguine! (…)“By DUSTY GROOVE

  • “This is quite simply essential” by Blues & Rhythm
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    “There is no exaggeration in the title - Fructueux Alexandre a.k.a. “Stellio” was the man for creole music in Paris in the thirties, which was where the biguine craze was centred. (…) The bulk of these songs are lively and upbeat biguines, with the Caribbean elements pronounced, but there is also a marked similarity to vintage New Orleans jazz, superficially at least. (…) If you appreciate the creole music of the French Caribbean, or vintage Caribbean music in general, this is quite simply essential.”By Norman DARWEN – BLUES & RHYTHM

  • « Le geste musicien reste indéfectiblement collectif » par Jazz Magazine
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    Du geste à la couleur… L’illustration de l’album par deux œuvres de Humair le peintre donne le ton d’une manière propre au batteur d’occuper l’espace et d’y distribuer les motifs. A ceci près que le geste musicien reste indéfectiblement collectif, à l’image de ce tout récent programme où le bugle de Yoann Loustalot transforme le trio en quartette. Si le rythme règne, il n’est pas l’apanage de la percussion, qui suggère l’alternance des formats et des matières : les compositions collectives (« Drum Thing, La Cantonale ») ou individuelles (« Mutinerie » de Portal ou « Heaven’s Gate ») sont reliées par un prologue puis des interludes improvisés parfois très brefs, dessinant une suite aussi contrastée qu’imprévisible. Du chant des souffleurs à l’expressivité habitée, au drive irrépressible du tandem Kerecki-Humair, on ne saurait trop dire lequel soutient, entoure ou colore l’autre. Les mélodies passent volontiers par les toms, comme dans l’introduction du « Send In The Clowns » de Ste [...]

  • « Une exceptionnelle virtuosité » par Jazz Hot
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    « Dans le registre de la musique de Django, voici un excellent enregistrement porté par une culture populaire qui continue de rayonner en Europe par sa qualité et le nombre élevé de musiciens de talent qui la transmettent. Ici, nous avons le très expressif Tcha Limberger, dont le violon semble traduire l’histoire et l’âme de l’Europe, en particulier dans des aigus d’une sensibilité extrême et par une sonorité profonde. L’autre soliste de cette rencontre est Mozes Rosenberg, le frère de Stochelo Rosenberg, une de ces grandes familles tziganes (de Hollande) qui transmet la musique de Django avec une exceptionnelle virtuosité, une qualité totalement maîtrisée pour donner à la musique la plénitude expressive nécessaire. Mozes est donc non seulement très brillant mais aussi parfait de clarté dans ses chorus («Someday You'll Be Sorry»), ses contre-chants («I Surrender Dear»), ses échanges («Topsy») avec Tcha Limberger. La rythmique assurée par le fondamental Sébastien Girardot et par Da [...]

  • « Du pur jazz intemporel » par Jazz Hot
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    « Il s’agit de la réédition du vinyle Jazz Odyssey 012 mais les titres sont placés dans l'ordre du déroulement des deux séances en y insérant à leur place, des morceaux qui ne figurent pas dans le 33 tours original («Three Little Words», «Indian Summer», «Al & Billy Fast Blues») et une prise alternative de «Who». (…) C'est Hugues Panassié qui a eu l'idée de cette séance avec une instrumentation inhabituelle. La réalisation étant déléguée à son fils Louis. Décédé le 8 décembre 1974, Hugues Panassié a eu l'opportunité d'en apprécier le résultat et de rédiger le texte reproduit dans le livret. Le disque est à la hauteur de l'estime qu'il portait à ces trois musiciens (…), loin de toute considération de «figue moisie», propose une musique pure, hors mode. Le swing est paisible dans «Tea for Two» exposé par Al Casey (qui opte pour quelques inflexions à la Django, son guitariste préféré selon Panassié). Dans «St. Louis Blues», c'est Billy Butler qui expose le thème avec des effets music [...]

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