« Mystère et onirisme » par l’Académie du jazz

« On peut dire, sans se faire taxer de flagornerie, que chacune des œuvres que Laurent nous offre (littéraire ou musicale ... Et il faut, parfois longtemps, guetter la suivante), crée l’événement de l’annonce à la parution, et entraine le lecteur ou l’auditeur en des contrées dont il ne soupçonnait même pas l’existence (qui ne se souvient de sa ''Tectonique des Nuages'', Signature (9) - SIG 11080/11082).

On se laissera ici guider avec bonheur sur les traces de Joni Mitchell (‘Woodstock’), Miles Davis (‘Mr Foster’), Michel Jonasz (‘L’Air que l’on Respire’) ... et bien d’autres (dont les siennes), dans une atmosphère électrisée/sante, planante, où mystère et onirisme se côtoient, entrelacés de fulgurances cuivrées ... » 

Par Francis CAPEAU – ACADEMIE DU JAZZ