Juanjo Mosalini - Adrian Fioramonti
Juanjo Mosalini - Adrian Fioramonti
Ref.: FA567

TRA(D)ICIONAL

Ref.: FA567

Direction Artistique : AUGUSTIN BONDOUX & BENJAMIN GOLDENSTEIN

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 56 minutes

Nbre. CD : 1

Sélectionnez une version :
Cette œuvre est déjà dans votre panier
Une version numérique de cette œuvre est déjà dans votre panier
Expédié sous 24 à 48h
Présentation

J’ai grandi avec un tango déjà moderne dans mon walkman, la pop des années 80 et le conflit désormais usé du « tango nuevo » d’Astor Piaz zolla… J’ai découvert les compositions et le jeu d’Adrian qui incluent des éléments du jazz-rock mélangés sans complexe avec nos traditions. « Tra(d)icional » ou trahison à la tradition, c’est le jeu de mots provocateur que nous avons choisi pour définir cet album. Une vision personnelle, l’expression d’une tradition qui ne peut faire la sourde oreille à son époque. 
Juanjo Mosalini
Creci con un tango ya moderno en el walkman, la música pop de los años ochenta y el conflicto ya viejo del «tango nuevo» de Astor Piazzolla. Descubrí las composiciones y la forma de tocar de Adrián, que incluyen elementos del jazz-rock mezclados sin complejo con nuestras tradiciones. «Tra(d)icional» o traición a la tradición, es el juego de palabras que elegimos para definir este álbum. Una visión personal, la expresión de una tradición que no puede desoír a su época.
Juanjo Mosalini
I grew up with a Walkman which had a tango, one that was modern already, Eighties pop and the conflict of Astor Piazzolla’s tango nuevo, a notion which would be hackneyed from then on… I discovered Adrian’s compositions and playing, whose jazz-rock elements mingled inside our traditions without any complexes at all. “Tra(d)i - cional”, or ‘tradition betrayed’, that was the provocative pun we chose to provide a definition for this album. A personal vision; the expression of a tradition which can’t turn a deaf ear to its time.
Juanjo Mosalini
Droits : Frémeaux & Associés
Juanjo Mosalini : Bandoneon
Adrian Fioramonti : Guitare




Complétez votre collection
Œuvres sélectionnés
Au Pays du Temple Du Soleil – Pérou: Lima, Puno, Cuzco, Ayacucho Et Amazonie
ENREGISTREMENTS FRANçOIS JOUFFA
Version CD
V. CD
19,99 €
Juanjo Mosalini - Adrian Fioramonti
Buenos Aires 1904 - 1950
Version CD
V. CD
29,99 €
=
Pour un prix total de
62,97 €
au lieu de 69,97 €
Presse
« Tra(d)icional ou… « trahison à la tradition » ?  Allant plus loin qu’Astor Piazzolla, le grand bandéonista Mosalini revisite thèmes classiques de José Martínez & Sebastián Piana, interprétant en outre les thèmes fort élaborés de son partenaire, le guitariste Adrian Fioramonti. » Par Francis B COUSTE – EDUCATION MUSICALE
Lire davantage Lire moins
"Das Wortspiel des Album-Titels ist ein etwas keck-provokativer Augenfänger, signalisiert nichtsdestoweniger zutreffend, dass bei der Musik dieses Duos keine traditionellen Hörererwartungen bedient werden. Über zwölf Titel hinweg, davon zehn Eigenentwürfe, melangieren hier Tango-Tradition – verkörpert durch den Bandoneon-Spieler Juanjo Mosalini, Sohn des Bandoneonisten und Orchesterleiters Juan Jose Mosalini – und Rockidiom durch den Gitarristen Adrian Fioramonti. Keine Spur davon (woran man zunächst denken mag), dass hier Disparates aufeinanderprallt und ein unstimmiges, mit Brüchen und Rissen durchsetztes musikalisches Konstrukt zurücklässt; verwundert und angeregt stellt man vielmehr fest, dass hier zwei hochsensible, stilsichere Akteure am Werke sind, die überaus einfühlsam und interaktionssicher miteinander umgehen. Nicht nur, dass Fioramonti die meisten Kompositionen beisteuert, diese sich durch Feingliedrigkeit und differenzierte Dynamik auszeichnen; er agiert auf seiner E-Gitarre auch nicht minder nuancenvoll als auf den acht Stücken mit akustischer Konzertgitarre. Und so umgarnen sich die Linien der beiden in stimmungsvollen Balladen oder quirlig-tänzelnden Milongas – geradezu traditionsverbunden Mosalinis thematisch pointierte „Milonga para Luis“, jazzakzentuiert mit einer herausragenden „Bandoneon-Parilla“ hingegen Fioramontis „Esquirlas“. Aber es kommt auch zu deftigen, effektvollen Kollisionen und Reibungen. Beschränkt sich Fioramonti in „Pablo“ noch auf wohlplatzierte Dehntöne, so konterkariert er bereits im Mittelteil des Titelstücks Mosalinis geschmeidige Bandoneonlinie mit harten, rhythmischen Rock-Clustern auf der E-Guitarre, welche Mosalini sodann mit gleichem Mittel pariert, bis sich beide wieder in der behutsamer gestalteten Reprise des melodiösen Themas wiederfinden. Mit ihren kantigen, rhythmischen, repetitiv verwendeten Themenmotiven steht der Rock-Tango „Juarez“ ganz in der Tradition von Piazzollas Tango-Nuevo; über schroffe E-Gitarrenriffs fließt kraftvoll Mosalinis melodiöser Chorus, bis sich Fioramonti mit machtvollen, triumphierenden Dehn- und Zerrklängen gegen die weinerlich-wimmernden Bandoneon-Melismen stemmt; zwar etwas monoton sodann (aber in struktureller Symmetrie), dass Mosalini diese rockdramatische Steigerung nur mit Akkordriffs verschränkt, dennoch: Spannend und im Gesamtbild mindestens so stimmig wie der sogenannte „ehrliche Bruch“ in der modernen Architektur bei der Verbindung historischer mit erweiternder, moderner Bausubstanz."Par Gerhard LITTERST – TANGO DANZA
Lire davantage Lire moins
« Avec cette fausse « traîtrise » au tango traditionnel, le bandonéiste Juanjo Mosalini et le guitariste Adrian Fioramonti composent surtout un album métissé, qui s'appuie sur la tradition pour leur offrir la liberté de jouer. Du coup, l'imaginaire se développe, empruntant au rock comme au jazz. Superbe ! »Par Pierre DENUIS – REVUE DES BIBLIOTHEQUES ET MEDIATHEQUES MUSICALES
Lire davantage Lire moins
« Le guitariste Adrian Fioramonti et le bandonéoniste Juanjo Mosalini (j’ai bien écrit Juanjo et non pas Juan-José Mosalini, qui est son père) nous sortent ce CD, Tra(d)icional, qui se veut une trahison de la tradition, mais est diaboliquement accroché à ses origines. Il y avait eu le tango nuevo que les rigoristes étroits du tango vouaient aux gémonies. Voici le nuevo tango nuevo. Sont-ce les sonorités particulières du bandonéon, ou l’âme tanguera qui font que, quoi que jouent Juanjo Mosalini et Adrian Fioramonti, cela sent son Rio de la Plata ? Allez savoir, mais je pencherais plutôt pour la seconde explication. Car les deux artistes, manifestement, sont nés dans le tango, ont respiré le tango, se sont nourris de tango, transpirent du tango et sont tout aussi tangueros que Carlos Gardel ou Astor Piazzolla. Même leur parc japonais est tango. Ils restent tangueros même lorsqu’ils incorporent à leur musique des éléments jazz-rock (« Juarez »). Ou quand ils jouent « Candombe ». Et quand ils veulent goudronner le chemin de l’Indien, c’est pour mieux y rouler bandonéon déployé. Tant que les chemins de l’Indien seront asphaltés comme ceux-ci, on ne risquera pas de se renverser dans le ravin. Non seulement, c’est du tango d’aujourd’hui, mais c’est aussi celui de demain. Ce CD est éblouissant. »Par Michel BEDIN – ON MAG
Lire davantage Lire moins
« Le titre facétieux de cet album souligne l’intention de son duo d’auteurs, les Argentins Juanjo Mosalini (bandonéon) et Adrian Fioramonti (guitare) : « trahir » la tradition du tango. Le mot est un peu fort. Il est plutôt question d’une joyeuse transgression des codes, point de départ d’un disque où prévalent l’imaginaire et la liberté de jouer. Au programme : un instrument par enceinte, dont les notes s’entrecroisent pour broder des nuages où les couleurs tango restent vives, mais nuancées d’autres teintes. Celles du jazz, dont est issu Fioramonti, qui signe la majeure partie des compositions, et celles du rock, comme sur Juarez où Mosalini se mue en  accompagnateur d’un solo planant de Fioramonti. Deux merveilleux musiciens, qui démontrent que les racines n’empêchent ni de décoller, ni de rêver. » par B.B. – MONDOMIX
Lire davantage Lire moins
Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    Pablo
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:03:54
    2011
  • 2
    Buenos Aires
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:04:04
    2011
  • 3
    Milonga Para Luis
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:04:05
    2011
  • 4
    Tradicional
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:03:26
    2011
  • 5
    El Fin
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:05:13
    2011
  • 6
    Viejo Ciego
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:03:39
    2011
  • 7
    Parque Japones
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:05:04
    2011
  • 8
    Esquirlas
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:04:23
    2011
  • 9
    Juarez
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:06:50
    2011
  • 10
    Caravana
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:04:18
    2011
  • 11
    La Espera
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:04:56
    2011
  • 12
    Candombe
    Juanjo Mosalini, Adrian Fioramonti
    00:06:37
    2011
Livret

Mosalini Fioramonti FA567

MOSALINI
FIORAMONTI
tra(d)icional
“L’expression d’une tradition
qui ne peut faire la sourde
oreille à son époque.”




1. Pablo (José Martínez - arr. J. Mosalini) 3’54
2. Buenos Aires (A. Fioramonti) 4’05
3. Milonga para Luis (J. Mosalini) 4’06
4. Tradicional (A. Fioramonti) 3’26
5. El fin (A. Fioramonti) 5’13
6. Viejo Ciego (Sebastián Piana, Cátulo Castillo - arr. J. Mosalini) 3’40
7. Parque Japonés (A. Fioramonti) 5’05
8. Esquirlas (A. Fioramonti) 4’23
9. Juarez (A. Fioramonti) 6’50
10. Caravana (A. Fioramonti) 4’18
11. La espera (A. Fioramonti) 4’56
12. Candombe (A. Fioramonti) 6’38


Juanjo Mosalini : Bandonéon
Andrian Fioramonti : Guitares
Enregistre par Juanjo Mosalini avril et août 2011 puis janvier 2012
Mixé et masterisé par Juanjo Mosalini
Éditions musicales : Éditions Frémeaux & Associés
sauf (1) Melos Ediciones Musicales - (6) Warner Chappell
Crédit Photos : Astrid di Crollalanza


Adrian Fioramonti souhaite remercier : Franco Guerrieri et Stefano Adami pour les instruments prêtés, Tomàs Gubisch et Julien Chevalier pour les amplificateurs ; Ruben Peloni et mon frère « Le Chinois » d’une manière générale mais aussi pour ce qu’ils savent. Polita et Vittorio pour leur endurance à Lucca ; Astrid et Alessandro pour leur patience à Paris. Mirko Borghino (www.borghinoguitars.com), luthier, pour la guitare classique utilisée pour ce disque.
« Vous me l’avez goudronné ! » s’est exclamé Atahualpa Yupanqui en réponse à un arrangement audacieux de « Camino del indio » (sentier de l’indien), par le groupe folklorique « Los Andariegos ».
Trahison à la tradition, diront certains. Je préfère penser que c’est la traversée du temps et des espaces qui produit l’inévitable transformation, et non l’évolution, de notre culture.
Bandonéoniste : bien sûr ! Tanguero : inévitablement. Mais avant tout musicien.
J’ai grandi avec un tango déjà moderne dans mon walkman, la pop des années 80 et le conflit désormais usé du « tango nuevo » d’Astor Piazzolla. C’est précisément par la musique d’Astor qu’Adrian et moi nous sommes connus : nous étions les deux Argentins du « Progetto Piazzolla » et probablement les moins soucieux de coller à l’exemple du maître. J’ai découvert les compositions et le jeu d’Adrien qui incluent des éléments du jazz-rock mélangés sans complexe avec nos traditions. C’est un réel bonheur d’entendre mon bandonéon dans son univers.
Je lui ai proposé, non sans malice, la « Milonga para Luis » (dédiée à Luis Bacalov) que j’ai souhaitée très traditionnelle en contraste avec les autres compositions et c’est sur la proposition de Patrick Frémeaux que nous avons ajouté une version « goudronnée » de « Pablo » et le « dé(a)rrangement » de « Viejo Ciego ».
Tra(d)icional ou trahison à la tradition, c’est le jeu de mots provocateur que nous avons choisi pour définir cet album. Une vision personnelle, l’expression d’une tradition qui ne peut faire la sourde oreille à son époque. 
Juanjo Mosalini
© Frémeaux & Associés

Je connais Juanjo depuis une bonne dizaine d’années. Au fil des ans, nous nous retrouvions régulièrement sur scène, avec des formations variées et autour de répertoires divers. Un jour, nous avons évoqué l’enregistrement, ensemble, de certaines de mes compositions.
En avril 2011, nous avons pu réaliser la première des trois sessions d’enregistrement de ce projet, concrétisé dans le présent disque. Ce furent trois semaines de travail, pleines d’intensité musicale, de moments fors d’émotion ou de franche hilarité.
L’investissement de Juanjo, ses talents d’instrumentiste, d’arrangeur et de directeur artistique (pour ne pas parler de son savoir-faire technique en studio) ont profondément marqué toutes mes compositions, et je lui suis redevable de sa générosité et de son énergie dans la réalisation de ce projet.
Si je puis me créditer un mérite – et paradoxalement, ce fut le motif de reproches réguliers de sa part – c’est d’avoir pressenti que la meilleure stratégie pour obtenir un bon résultat artistique était de partir des musiques les plus dépouillées qui soient et projeter ensemble nos intuitions communes, sensibilités et techniques propres.
J’espère que l’auditeur de ce disque voudra bien avoir le même postulat que moi !
Adrian Fioramonti
© Frémeaux & Associés

«You’ve tarred my trail!» exclaimed Atahualpa Yupanqui, in answer to a bold arrangement of «Camino del indio» [«Indian trail»] by the folklore group Los Andariegos.
Others might have said that tradition had been betrayed. Personally, I prefer to think that crossing through time and space is what produces the inevitable transformation – and not the evolution – of our culture.
«Bandoneonist»: of course! Tanguero: inevitably. But, first and foremost, musician.
I grew up with a Walkman which had a tango, one that was modern already, Eighties pop and the conflict of Astor Piazzolla’s «tango nuevo», a notion which would be hackneyed from then on. In fact, it was Astor’s music which brought Adrian and I together: we were the two Argentineans in the «Progetto Piazzolla», and probably the pair least careful about remaining glued to the maestro’s example. I discovered Adrian’s compositions and playing, whose jazz-rock elements mingled inside our traditions without any complexes at all. It was a real joy to hear my bandoneón in his universe.
I suggested, rather mischievously, the «Milonga para Luis» (dedicated to Luis Bacalov) which I wanted to be quite traditional, in contrast to the other compositions; and Patrick Frémeaux proposed the «tarred» version of «Pablo» and the «un-arrangement» of «Viejo Ciego».
«Tra(d)icional», or ‘tradition betrayed’, that was the provocative pun we chose to provide a definition for this album. A personal vision; the expression of a tradition which can’t turn a deaf ear to its time.
Juanjo Mosalini
Adapted in English by Martin Davies
© Frémeaux & Associés


I’ve known Juanjo for a good ten years. Over that time we’ve got together regularly onstage, appearing with varying groups and playing repertoire that has been just as varied. One day we raised the subject of making a record together based on some of my own compositions.
In April 2011 we were able to do the first of three sessions for this project, and you can hear the result on this album. Three weeks’ work filled with musical intensity and moments that were highly emotional, or frankly hilarious.
Juanjo’s commitment, together with his talents as an instrumentalist, arranger and artistic director – not to mention his technical savoir-faire in the studios – left a deep impression on all my compositions, and I’m indebted to him for his generosity and energy in making this project a reality.
If I’m due any credit at all – paradoxically, he reproached me for this regularly – it’s to have had the premonition that the best strategy for obtaining a worthy artistic result was to begin with music that was stripped to the minimum and then project onto it our common intuitions, sensibilities and personal techniques.
I hope the listener hears this album in the same way!
Adrian Fioramonti
Adapted in English by Martin Davies
© Frémeaux & Associés

«¡Me lo asfaltaron!», reaccionó Atahualpa Yupanqui ante un arreglo audaz de «Camino del indio», realizado por el grupo folklórico Los Andariegos.
Traición a la tradición. Prefiero pensar que es el recorrido del tiempo y de los espacios lo que inevitablemente produce la transformación y no la evolución de nuestra cultura.
Bandoneonista, ¡claro! Tanguero, inevitablemente. Pero, antes que nada, músico.
Creci con un tango ya moderno en el walkman, la música pop de los años ochenta y el conflicto ya viejo del «tango nuevo» de Astor Piazzolla. Precisamente, Adrián y yo nos conocimos por la música de Astor: éramos los dos argentinos del «Progetto Piazzolla» y, acaso por eso, los menos preocupados en seguir el ejemplo del maestro. Descubrí las composiciones y la forma de tocar de Adrián, que incluyen elementos del jazz-rock mezclados sin complejo con nuestras tradiciones. Es verdaderamente un motivo de felicidad oír mi bandoneón en su universo.
Le propuse, no sin malicia, la «Milonge para Luis» (dedicada a Luis Bacalov), que imaginé muy tradicional en contraste con las otras composiciones y, siguiendo la propuesta de Patrick Frémaux, sumamos una versión «asfaltada»  de «Pablo» y el (des)arreglo de «Viejo ciego».
«Tra(d)icional» o traición a la tradición, es el juego de palabras que elegimos para definir este álbum. Una visión personal, la expresión de una tradición que no puede desoír a su época.
Juanjo Mosalini
© Frémeaux & Associés


Conozco a Juanjo desde hace algo màs de diez años. Durante todo este tiempo hemos compartido esce­nario con distintas formaciones y distintos repertorios. Ocasionalmente, hemos hablado de grabar algunas mùsicas que yo habìa escrito.
Para abril del 2011 finalmente pudimos concretar la primera de las tres sesiones de grabaciòn que dieron como resultado este disco. Fueron tres semanas de trabajo, en las que no faltaron momentos de intensidad musical, episodios fuertemente emotivos o de hilaridad desbordante.
No hay, creo, un tema de los que aparecen por mi firmados en los que la cantidad y calidad del aporte de Juanjo no haya sido determinante, no solo por su talento como instrumentista, sino por su labor de arreglador y director musical. Agreguemos a èsto su increible habilidad como tecnico de estudio y tendremos una idea de la mole de energìa que generosamente desplegò en esos dìas y de la cual me siento deudor.
Un mèrito me acredito (paradojicamente, el motivo de continuos reproches de su parte): èsto es, haber intuido que llevar las musicas lo màs descarnadas posible y hacerlas crecer confiando en nuestra intuiciòn, sensibilidad y capacidad de trabajo habrìa sido la mejor estrategia para obtener un buen resultado.
Espero que escuchando este disco quieran coincidir conmigo.
Adrian Fioramonti
© Frémeaux & Associés



« J’ai grandi avec un tango déjà moderne dans mon walkman, la pop des années 80 et le conflit désormais usé du « tango nuevo » d’Astor Piaz­zolla…
J’ai découvert les compositions et le jeu d’Adrien qui incluent des éléments du jazz-rock mélangés sans complexe avec nos traditions.
« Tra(d)icional » ou trahison à la tradition, c’est le jeu de mots provocateur que nous avons choisi pour définir cet album. Une vision personnelle, l’expression d’une tradition qui ne peut faire la sourde oreille à son époque. » 
Juanjo Mosalini


“I grew up with a Walkman which had a tango, one that was modern already, Eighties pop and the conflict of Astor Piazzolla’s tango nuevo, a notion which would be hackneyed from then on… I discovered Adrian’s compositions and playing, whose jazz-rock elements mingled inside our traditions without any complexes at all.
“Tra(d)icional”, or ‘tradition betrayed’, that was the provocative pun we chose to ­provide a definition for this album. A ­personal vision; the expression of a tradition which can’t turn a deaf ear to its time.” 
Juanjo Mosalini


“Creci con un tango ya moderno en el walkman, la música pop de los años ochenta y el conflicto ya viejo del «tango nuevo» de Astor Piazzolla. Descubrí las composiciones y la forma de tocar de Adrián, que incluyen elementos del jazz-rock mezclados sin complejo con nuestras tradiciones.
«Tra(d)icional» o traición a la tradición, es el juego de palabras que elegimos para definir este álbum. Una visión personal, la expresión de una tradición que no puede desoír a su época.” 
Juanjo Mosalini

CD MOSALINI FIORAMONTI TRADICIONAL, MOSALINI FIORAMONTI © Frémeaux & Associés 2012 (frémeaux, frémaux, frémau, frémaud, frémault, frémo, frémont, fermeaux, fremeaux, fremaux, fremau, fremaud, fremault, fremo, fremont, CD audio, 78 tours, disques anciens, CD à acheter, écouter des vieux enregistrements, albums, rééditions, anthologies ou intégrales sont disponibles sous forme de CD et par téléchargement.)

commander les produits Frémeaux ?

par

Téléphone

par 01.43.74.90.24

par

Courrier

à Frémeaux & Associés, 20rue Robert Giraudineau, 94300 Vincennes, France

en

Librairie ou maison de la presse

(Frémeaux & Associés distribution)

chez mon

Disquaire ou à la Fnac

(distribution : Socadisc)

Je suis un(e) professionnel(le)

Librairie, disquaire, espace culturel, papeterie-presse, boutique de musée, médiathèque…

Contactez-nous