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CHARLIE PARKER - INTEGRALE Vol 4 |
BIRD OF PARADISE - 1947 |
CHARLIE PARKER |
Direction artistique : ALAIN TERCINET |
Label : FREMEAUX & ASSOCIES |
Nombre de CD : 3 |
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Distinctions : * * * * * ON MAG
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Lorsque Charlie Parker atteignit à la renommée avec ses thèmes bop, chacun modifia son style. Le batteur, le pianiste, le chanteur, tout le monde. Anita O’Day (High Times, Hard Times)
When Charlie Parker became popular with his be-bop tunes, everybody had to change his style – the drummer, the piano player, the singer, whoever. Anita O’Day (High Times, Hard Times)
Droits : DP / Frémeaux & Associés
CD 1 : MILES DAVIS ALL STARS - NYC, 14/8/1947 : 1. MILESTONES • 2. MILESTONES • 3. MILESTONES • 4. LITTLE WILLIE LEAPS • 5. LITTLE WILLIE LEAPS • 6. LITTLE WILLIE LEAPS • 7. HALF NELSON • 8. HALF NELSON • 9. SIPPIN’ AT BELL’S • 10. SIPPIN’ AT BELL’S • 11. SIPPIN’ AT BELL’S • 12. SIPPIN’ AT BELL’S. BARRY ULANOV’S ALL STAR MODERN JAZZ MUSICIANS - NYC, 13/9/1947 : 12. KOKO • 13. HOT HOUSE • 14. FINE AND DANDY. 20/9/1947 : 13. KOKO • 14. ON THE SUNNY SIDE OF THE STREET • 15. HOW DEEP IS THE OCEAN • 16. TIGER RAG • 17. 52nd STREET THEME. A NITE AT CARNEGIE HALL - Carnegie Hall, NYC, 29/9/1947 : 18. NIGHT IN TUNISIA • 19. DIZZY ATMOSPHERE • 20. GROOVIN’ HIGH • 21. CONFIRMATION • 22. KOKO.
CD 2 : CHARLIE PARKER QUINTET - NYC, 28/10/1947 : 1. DEXTERITY • 2. DEXTERITY • 3. BONGO BOP • 4. BONGO BOP • 5. DEWEY SQUARE (PREZOLOGY) • 6. DEWEY SQUARE • 7. DEWEY SQUARE…• 8. THE HYMN • 9. THE HYMN (SUPERMAN) 10. • BIRD OF PARADISE • 11. BIRD OF PARADISE • 12. BIRD OF PARADISE • 13. EMBRACEABLE YOU • 14. EMBRACEABLE YOU, 4/11/1947 • 15. BIRD FEATHERS (SCHNOURPHOLOGY) • 16. KLACT-OVEESEDS-TENE • 17. KLACT-OVEESEDS-TENE • 18. SCRAPPLE FROM THE APPLE • 19. SCRAPPLE FROM THE APPLE • 20. MY OLD FLAME
CD 3 : CHARLIE PARKER QUINTET NYC, 4/11/1947 : 1. OUT OF NOWHERE • 2. OUT OF NOWHERE • 3. OUT OF NOWHERE • 4. DON’T BLAME ME • BARRY ULANOV AND HIS ALL STAR METRONOME JAZZMEN, NYC, 8/11/1947 5. 52nd STREET THEME • 6. DONNA LEE • 7. FATS FLAT • 8. GROOVIN’ HIGH • 9. KOKO into ANTHROPOLOGY • CHARLIE PARKER SEXTET NYC, 17/12/1947 • 10. DRIFTING ON A REED (GIANT SWING) • 11. DRIFTING ON A REED • 12. DRIFTING ON A REED (AIR CONDITIONING) • 13. QUASIMADO • 14. QUASIMADO (TRADE WINDS) • 15. CHARLIE’S WIG • 16. CHARLIE’S WIG (BONGO BOP) • 17. CHARLIE’S WIG • 18. BONGO BEEP (DEXTERITY) • 19. BONGO BEEP (BIRD FEATHERS) • 20. CRAZEOLOGY • 21. CRAZEOLOGY • 22. CRAZEOLOGY • 23. CRAZEOLOGY • 24. HOW DEEP IS THE OCEAN • 25. HOW DEEP IS THE OCEAN
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- « Du grand, du très grand Parker » par On Mag « Le volume 4 de cette intégrale commence en août 1947 avec des enregistrements en studio d’un Charlie Parker qui a troqué son saxophone alto habituel contre un ténor. Il est en compagnie de Miles Davis (tp), de John Lewis (p), de Nelson Boyd (b) et de Max Roach (dm). Du beau monde. Douze prises, Monsieur Parker est aussi perfectionniste que les quatre autres, pour quatre titres seulement, tous de Miles dont « Milestones ». Suivent huit enregistrements d’émissions de radio où les anciens (on ne les a pas sur le CD, mais il y avait entre autres Wild Bill Davis, Baby Dods et Pops Foster) affrontaient les modernes avec « Koko » comme indicatif-présentation des musiciens. Parmi ces modernes, Max Roach (dm), Ray Brown (b), Lennie Tristano (p), Dizzy Gillespie (tp) et Charlie Parker (as). On peut trouver pire sans se forcer. Même si c’est un match pour rire, nul doute qu’ils se piquent au jeu. Enfin, le premier CD se termine avec une nuit (a Nite en américain de la rue) au Carnegie Hall : Charlie, Dizzy et John Lewis ont, cette fois, Al McKibbon (b) et Joe Harris (dm) comme section rythmique. Assaut de virtuosité entre le trompettiste et le sax, notamment sur « Dizzy Atmosphere » et sur « Groovin’ High » (unissons aussi bien que solos). Quant à « Confirmation » et « Koko », ils sont délirants. Le CD 2 nous donne les enregistrements de Bird pour Dial réalisés en octobre et quelques-uns de novembre 1947. Il est en compagnie de Miles Davis (tp), de Duke Jordan (p), de Tommy Potter (b) et de Max Roach (dm). Dix titres, mais vingt prises. Essentiellement du Parker, seuls « Embraceable You » et « My Old Flame » sont des standards, mais quels « Embraceable You » ! Parfaits sur les deux prises, tout comme les trois de « Bird of Paradise », trois bijoux de sensibilité et de musicalité. En novembre, il grave aussi deux admirables titres (deux prises parfaites à chaque fois), « Scrapple From the Apple » et le titre énigmatique ou défonçocrypté « Klact-oveeseds-tene ». C’est du grand, du très grand Parker. Le troisième CD de l’album finit la séance chez Dial de novembre 1947, un « Don’t Blame Me » de derrière les fagots et trois versions plus belles les unes que les autres de « Out of Nowhere ». Puis une émission de radio, toujours sur WOR, les modernes de Charlie Parker ayant gagné, qui va nous permettre de le retrouver avec Lennie Tristano (p), Billy Bauer (g) et John La Porta (cl) qui tous étaient présents dans les émissions précédentes, mais Dizzy est remplacé par Fats Navarro (tp), Ray Brown par Tommy Potter (b) et Max Roach par Buddy Rich (dm). En outre vient aussi jouer le sax ténor Allen Eager. Fats Navarro et Charlie Parker ensemble, c’est du lourd. Le CD se termine avec une ultime séance d’enregistrement chez Dial (six titres, mais seize prises) de bebop pur et dur. Les mêmes musiciens qu’aux séances précédentes (Miles, Parker, Duke Jordan, Potter, Roach), mais augmentés du tromboniste Jay Jay Johnson. Le bebop parkérien, a priori, ce n’est pas pour les trombonistes débutants. J.J.J. s’en sort à merveille et il n’avait que 23 ans. A vous dégoûter d’apprendre le trombone. Charlie Parker, lui, est d’une décontraction incroyable. Il est dans son élément. » Par Michel BEDIN – ON MAG | - * * * * Jazzmag-Jazzman : « une boulimie harmonique » 14 août 1947, premières faces de Miles sous son nom pour Savoy. C’est en partie lui qui va accaparer notre écoute. Il impose en tout cas le personnel de cette séance à Charlie Parker, remplaçant Duke Jordan et Tommy Potter qu’il n’apprécie guère par son ami John Lewis (p) et par Nelson Boyd (b), à la grande satisfaction d’un Max Roach encore un rien immature. Le répertoire est du trompettiste, motivé par une boulimie harmonique, notamment sur Milestone, dont il prendra l’exact contre-pied sur le Milestones de 1958, tandis que la découpe mélodique de Little Willie Leaps évoque les préoccupations rythmiques de Lennie Tristano. Il y a dans les phrasés répétés par Miles « à la maison » quelque chose de tout à la fois ingrat et élégant, affectés et gracieux, révélateur du lent développement de ce génie encore dans la chrysalide du bebop tout au long des faces Dial qui constituent la totalité du deuxième disque et les quatre cinquièmes du troisième (de Dexterity le 28 octobre 1947 à How Deep the Ocean le 17 décembre). Et Parker ? Pour des raisons contractuelles, il commence le premier disque au ténor, dévoilant combien son art est une façon de transformer la nonchalance de Lester Young en vivacité pure sans en trahir l’ADN. Mais dès qu’il reprend son quintette en main (avec Jordan et Potter), le transformant pour une séance en sextette avec J.J.Johnson, l’alto reprend ce vol brisé où la décontraction confine à l’affolement. On l’entendra également avec Dizzy Gillepsie au sein des Barry Ulanov’s All Stars des 13 septembre et des 8 novembre ou en quintette au Carnegie Hall le 29 septembre, un concert pour lequel il fallut tirer Bird de sa baignoire comme le raconte Alain Tercinet dans ses notes. Franck BERGEROT-JAZZ MAG/JAZZMAN |
Dernière mise à jour :: 13-04-2021 02:32
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... Trop émerveillés d'être ensemble pour ne pas rester des amants chastes, qui n'enlacent que leurs musiques.... |
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