A Georges Brassens Vol 1
A Georges Brassens Vol 1
Ref.: LLL304

RODOLPHE RAFFALLI

Rodolphe Raffalli

Ref.: LLL304

Label : LA LICHERE / FREMEAUX & ASSOCIES

Durée totale de l'œuvre : 51 minutes

Nbre. CD : 1

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Présentation

“Quand on écoute les chansons de Georges Brassens, explique Rodolphe, c’est une évidence que le Quintette du Hot Club de France aurait pu jouer cela. On n’y a pas trop fait attention de son vivant, parce que les gens s’attachaient surtout aux textes, mais ses musiques sont fabuleuses. Elles sont dans la tête des gens et, de plus, elles sonnent très jazz.”
Le premier disque de Rodolphe Raffalli sous son nom, dont les ventes ont été équivalentes à un Disque d'Or dans le Jazz. Meilleure vente de disques de Jazz en 2002 chez les indépendants selon GFK pannel, ce disque est un hommage à Georges Brassens compositeur par l'un de nos plus grands guitaristes de jazz actuels.
Patrick Frémeaux & Jean Pierre Tandin

Droits : Label La Lichère - Cessionnaire propriétaire : Groupe Frémeaux Colombini SAS. Autre version disponible de "Les copains d'abord" chez Tzig'art - Naïve dans "Voyage en tziganie vol 3" avec Angelo Debarre.

La Marine • L’orage • Supplique pour être enterré sur la plage de Sète • J’ai rendez-vous avec vous • La marche nuptiale • Les croquants • Pénélope • Je me suis fait tout petit • Les passantes • Histoire de faussaire • Les copains d’abord • Le vieux Léon • Oncle Archibald.



La Marine • L’orage • Supplique pour être enterré sur la plage de Sète • J’ai rendez-vous avec vous • La marche nuptiale • Les croquants • Pénélope • Je me suis fait tout petit • Les passantes • Histoire de faussaire • Les copains d’abord • Le vieux Léon • Oncle Archibald.

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Presse
  A l’automne 1988, Patrick Tandin, producteur de jazz et homme de radio, lance le label La Lichère, maison de production phonographique dédiée au jazz et la world music qui présentera : Okay Témiz, John Greaves, Richard Raux, Debora Seffer, Marcel Azzola, Raul Barboza, Benoît Blue Boy, Senem Diyici, Didi Duprat, Les Primitifs du Futur, La Campagnie des musiques à ouïr, Michel Godard, Jean-Charles Capon, Richard Galliano, Jo Privat et le concept mondial du revival accordéon Paris Musette. Juillet 2000, Patrick Tandin nous quitte à 55 ans. Le label La Lichère, est alors repris par son frère Jean-Pierre Tandin, qui assure une politique dynamique, en co-édition avec Frémeaux & Associés, dédié à une relecture originale et créative du patrimoine musical : Spice Bones, Rodolphe Raffalli, le tentet de Stan Lafferière, Annie Papin, Isabelle Carpentier, Les frères Ferret avec Alain Jean-marie, Capon et Escoudé… Pour la première fois dans le disque, la direction artistique est assurée par un comité d’écoute collégial (Franck Bergerot, Julien Dellifiori, Pascal Anquetil, Antoine Tandin, Jean-Pierre Tandin et Patrick Frémeaux) permettant de servir la logique de ce label indépendant ; être un espace de liberté et d’expression pour les musiciens contemporains, un espace d’accueil de tous les métissages à l’abri des modes et de l’air du temps. En décembre 2005, Jean-Pierre Tandin et Antoine Tandin cèdent à Frémeaux & Associés le catalogue La Lichère. Le comité d’écoute collégial conserve son aptitude à proposer des productions mais la direction artistique est désormais assurée par Patrick Frémeaux en collaboration avec Benjamin Goldenstein. Avec pour double objectif de continuer à faire vivre la carrière phonographique des artistes maisons, Rodolphe Raffalli, Raul Barboza… et d’ouvrir les portes aux artistes dont la culture est à mi-chemin entre le jazz et les musiques traditionnelles, conservant ainsi l’esprit de La Lichère, Christophe Lartilleux (Latcho Drom), Gadjo Combo, un film sur l’accordéon par Pierre Barouh, Patrick Favre, Jacques Bolognesi, Emy Dragoï…Parallèlement, Denis Leblond, au sein de ‘Tempo Spectacle’, poursuit l’organisation de concerts des artistes La Lichère (Primitifs du Futur, Paris Musette, John Greaves, Raul Barboza…) et produit les deux derniers disques de Benoît Blue Boy. Enfin, La Lichère accueille dans son catalogue le travail de Jean-Louis Wiart – AxolOtl, producteur indépendant, dont la politique artistique est proche de celle initiée par Patrick Tandin (Guillaume de Chassy, Patrick Favre, Lee Konitz, Cesarius Alvim…).Claude Colombini Frémeaux In autumn 1988, jazz producer and radio personality, Patrick Tandin created the La Lichère label, a record company specialising in jazz and world music such as Okay Témiz, John Greaves, Richard Raux, Debora Seffer, Marcel Azzola, Raul Barboza, Benoit Blue Boy, Senem Diyici, Didi Duprat, Les Primitifs du Futur, La Compagnie des musiques à ouir, Michel Godard, Jean Charles Capon, Richard Galliano, Jo Privat and the international revival of Paris Musette accordion music.  In July 2000, Patrick Tandin passed away at the age of fifty-five.  Today, the dynamic La Lichère label, having been taken over by his brother Jean Pierre Tandin, with the collaboration of Frémeaux & Associés, specialises in an original and creative review of the musical heritage :  Spice Bones, Rodolphe Raffalli, Stan Laffériere’s tentet, Annie Papin, Isabelle Carpentier, the Ferret brothers with Alain Jean-Marie, Capon and Escoudé etc.  For the first time in the history of recorded music, the artistic direction is handled by a collegial committee (Franck Bergerot, Julien Dellifiori, Pascal Anquetil, Antoine Tandin, Jean Pierre Tandin and Patrick Frémeaux), enabling this independent label to give freedom and expression to contemporary musicians and to open doors for artists who do not enter specific musical categories. Since 2006, the catatalog is owned by Frémeaux & Associés.Patrick Tandin, une pleine vieJe me souviens d’un drôle de mec sur Jazz à Fip, qui parlait du jazz comme on croque une pastèque, avec du jus plein les joues. Il avait quitté FIP pour créer Jumbo Jazz sur une radio indépendante et avait choisi pour générique Le retour de la baleine bleue d’Eddy Louiss. Je me souviens d’y avoir entendu Bernard Lubat et André Minvielle faire le bœuf à l’improviste devant les micros. Je me souviens de son hameau en Ardèche, La Lichère. Sous sa fenêtre, il y avait un couple de crécerelles qu’il appelait Geoges et Georgette. Le samedi, on se peignait les oreilles en bleu et on descendait faire la fanfare en ville. Une année, Eddy Louiss tenait la grosse caisse. Le soir, on remontait dans les montagnes faire le bal. On jouait Eddy soit bon ; Eddy jouait la série tango. Je me souviens qu’à La Lichère, il y avait la place Billie-Holliday, le pont Sonny-Rollins…Eddy, Didi Duprat et Hermeto Pascoal avaient inauguré leurs propres plaques. Je me souviens que lorsqu’il créa le label La Lichère, il avait loué le Bataclan un mardi soir, pour que les enfants qui n’avaient pas d’école le lendemain puissent venir. L’invitation disait : «  Venez avec des fleurs ». Jamais on avait vu le Bataclan aussi fleuri. Je me souviens que le 22 Mars, il essayait toujours de sortir un disque, ou d’être en studio, pour commémorer l’étincelle qui déclancha Mai 68. Je me souviens des disques : Senem Diyici, François Chassagnite, Richard Raux, Ecume, Cesarius Alvim, Data Error, Richard Galliano et Jean-Charles Capon, Michel Godard, John Greaves, Benoît Blue Boy, Paris-Musette, Raul Barboza, Les Primitifs du Futur, Okay Temiz et Sylvain Kassap, La Campagnie des musiques à ouïr…Je me souviens qu’il avait toujours un instrument de musique entre les mains, qu’il chantait Viens de Gilbert Bécaud, La Folle Complainte de Charles Trenet et Sweet Home Chicago de Robert Johnson. Je me souviens qu’il voulait amener le jazz dans les villages, qu’à cette intention il avait monté le festival des Vans et des trois vallées avec une poignée de bénévoles, deux bouts de ficelles, sa bite et son couteau. Je me souviens qu’on s’était moqué de lui, mais aujourd’hui, aux Vans, on lit Jazzman au salon de coiffure et le fils du coiffeur fait huit heures de saxophone par jour. Je me souviens que, lorsque Jo Privat avait vu sa trogne ronde et cramoisie de soleil et d’appétit de vivre, il l’avait surnommé « La Tomate ». Je me souviens que quelques jours avant sa mort, il avait la tête comme un radis et le teint terreux, qu’on ne voyait plus que ses dents de croqueur de pastèque qui disaient en riant « c’est rien, on va continuer ». Avant de partir, le 12 Juillet 2000, comme un pied de nez à la mort, Patrick a confié à son fils Antoine et à son frère Jean-Pierre le soin de continuer les productions du label la Lichère en partenariat avec Frémeaux & Associés. « C’est rien, on va continuer ».Franck BERGEROT  © JAZZMAN                                       Mort du producteur de disques Patrick TandinPatrick Tandin est mort le 12 Juillet des suites d'un cancer à l'âge de 53 ans à Montpellier. Homme de radio (FIP...) et de spectacles (le Festibal de Vans en Ardèche), il avait surtout exercé la fonction de producteur de disques, créant notamment le label La Lichère (Paris Musette, les Primitifs du Futur, Raul Barboza...)© LIBERATION
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RAFFALLI RODOLPHEGuitariste français né le 20 mai 1959, Rodolphe Raffalli commence l'apprentissage de son instrument dès l'âge de 8 ans.  Caractérisé par sa maîtrise de la guitare jazz (particulièrement swing dans la lignée de Django Reinhardt) il est également réputé pour son éclectisme : musique classique et styles sud-américains n’ont en effet plus de secret pour Rodolphe.  Autodidacte, il fait ses premiers pas à la guitare sous le signe tutélaire du grand Django Reinhardt, mais loin de s’enfermer dans une esthétique unique, Rodolphe fréquente avec bonheur les chemins de traverse qui lui feront tour à tour découvrir la chanson française, la musique classique, le folklore d'Amérique latine, le jazz traditionnel et surtout l'improvisation.  Fin des années 1970, suite à sa rencontre du guitariste argentin Martin Torrés (Guitare d'Or au Mondial de Venise 1976), Rodolphe fréquente les manouches et gitans des puces de Saint-Ouen (Ninine et Mondine Garcia) comme du très montmartrois Clairon des chasseurs (Maurice Ferret et Joseph Pouville). Retour aux sources pour ce franco-italo-corse qui intègre l’héritage de Django Reinhardt dans une esthétique propre où flotte, de manière sensible mais notable, l’esprit d’un autre italien, d’un autre émule de Django : le grand Henri Crolla.  Rodolphe est alors amené à approfondir sa connaissance des grands standards de jazz d’outre-atlantique (ces tubes indémodables des grands Cole Porter, Jerome Kern, Georges Gershwin, Fats Waller, Sidney Bechet, etc.) et élargit sa syntaxe harmonique à l’écoute du jazz américain.  Nouvelle aventure en 1982 avec une incursion très sérieuse dans le classique où, tout autodidacte qu’il est, il étudie (sa seule oreille pour complice) les grands noms de la composition pour six-cordes : Bach, Scarlatti, Haendel, Villa-Lobos, etc.  La route de Raffalli est également pavée de musiques sud-américaines, riches en guitares. Lui qui connut Atahulpa Yupanqui tout jeune à Paris, passa des heures au coeur du quartier latin à faire chanter sa guitare entouré de musiciens du Paraguay, du Pérou, d'Argentine et du Brésil.  C’est toutefois sa maîtrise du swing manouche qui lui vaut sa réputation et sa renommée grandissante en Europe. Rodolphe joue avec tous les manouches de Paris : Angelo Debarre, Moreno Winterstein, Christian Escoudé, pour ne pas citer le « clan » de la Chope des puces : Ninine, Mondine et autres Tchavolo Schmidt !  C’est par un coup de maître qu’il se fait connaître du grand public. En 2001, Rodolphe se décide à enregistrer son premier album ! L’année est symbolique ; ce sont les 80 ans de la naissance de Georges Brassens, mais aussi le vingtième anniversaire de son décès. Rodolphe lui consacre un album magnifique, tout de lyrisme et de pudeur, d’admiration fertile et de travestissements respectueux. Publié par le label La Lichère et Frémeaux & Associés, le disque fut un événement médiatique et à connu la bagatelle de quelques 15 000 ventes (disque d’or dans le Jazz), score exceptionnel pour ce petit monde alors pas si à la page qu’aujourd’hui : le swing manouche. Meilleure vente de jazz 2002 pour un éditeur indépendant (d’après GFK Pannel), le disque inspire au grand critique Alain Gerber les mots suivants : « Personne avant lui n’avait si finement dégagé le lyrisme du chanteur-poète ni montré ce qui le rattache à la tradition du swing. Son disque est exquis » (Diapason).  Deux ans plus tard, Monsieur Raffalli, qui a désormais droit de cité dans les médias et clubs de jazz, nous gratifie d’un second disque, plus purement jazz-swing que le précédent, mais tout aussi original : compositions de Django alternent avec des adaptations de quelques monstres sacrés de la variété (Aznavour, Trenet, Gainsbourg !), standards américains et compositions personnelles. « Avec ce disque magnifique qui fleure bon Django et Crolla, Rodolphe Raffalli entre à 42 ans dans la cour des grands. Un must. », dixit Francis Couvreux dans Trad Mag.  Acclamé par la critique, suivi par un public fidèle, Rodolphe Raffalli, derrière sa quasi immuable réserve et timidité, continue d’innover, de chercher les métissages harmoniques qui font sa griffe : celle d’un des très grands guitaristes actuels du jazz à la française. Laissons le mot de la fin à Hervé Guilleminot, qui note très justement dans Classica : « Chez Raffalli, on décèle plus de musicalité, de compréhension, et donc un supplément d’âme. Tout un monde semble se loger dans les six cordes d’une « sèche ». Presque une affaire de morale… »  En novembre 2006, Rodolphe nous propose un volume 2 de l’Hommage à Georges Brassens avec « Chanson pour l’Auvergnat », « Les sabots d’Hélène », « Le parapluie », « La mauvaise réputation », qui continue d’affirmer la fertilité du métissage entre création contemporaine et patrimoine intemporel.  Benjamin Goldenstein et Patrick Frémeaux.  © 2006 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  Francis Couvreux parle de Rodolphe Raffalli (inclus dans le livret du CD Hommage à Brassens – vol. 1) :  « Né en 1959 en Seine-et-Marne de père corse et de mère italienne, Rodolphe Raffalli se jette très tôt dans la musique ; il apprend la guitare en autodidacte en faisant preuve d’emblée d’une grande curiosité musicale. En 1977, il rencontre le guitariste argentin Martin Torrès puis côtoie gitans et manouches : Mondine et Ninine Garcia à la Chope des puces à Saint Ouen, Maurice Ferret et Joseph Pouville au Clairon des chasseurs à Montmartre ; école exigeante que cette veine populaire du swing manouche : là on joue six heures par d’affilée un répertoire très éclectique qui va de Piaf à Django en passant par les standards américains, la bossa, la valse musette, la musique tzigane ou les airs à la mode. A partir de 1981, Rodolphe approfondit les standards de jazz et perfectionne son répertoire dans les cafés-concerts tout en travaillant seul la guitare classique. Il cultive, en parallèle, la tradition du western swing tout en continuant, par goût et pour gagner sa vie, à faire la navette entre la musique de Django et les musiques sud américaines qu’il affectionne et pratique régulièrement avec des musiciens du Paraguay, du Pérou, du Brésil ou d’Argentine ; bref, une formation complète et une solide expérience qui permettent à Rodolphe d’être à l’aise dans tous les jazz et capable de s’adapter à tous les contextes. Malgré une timidité maladive et une discrétion rare qui poussent ce Buster Keaton de la guitare à ne jamais se mettre en avant, son talent le fait bien sûr reprérer : il se produit avec des musiciens aussi différents que le pianiste Ahmet Gülbay, l’accordéoniste Jean-Claude Laudat, les violonistes Jacques Quézin et Florin Nicolescu, ainsi qu’avec tous les plus clients de la guitare rabouine. Il est invité dans de grands festivals : Samois, Gypsy swing d’Angers, Oslo, nuits de la guitare de Patrimonio… mais c’est son premier vrai disque, la relecture poético-swing de l’œuvre de Georges Brassens qui le fait très justement exploser : un CD magnifique, unanimement salué par la critique et qui s’est vu décerner pas mal de prix et récompenses ; ce fut l’occasion pour un public élargi de découvrir un styliste élégant et raffiné, un sentimental avec une sensibilité à la Crolla, toujours attentif à la mélodie et à la respiration.  Avec un deuxième opus plus résolument jazz mais pas seulement (cf. la poésie de Roses de Picardie, l’étonnante relecture de God bless the child ou le très beau Alfonsina y el mar illuminé par le violon inspiré de Florin Nicolescu), Rodolphe confirme tout le bien qu’on pensait de lui. Son phrasé personnel a la rigueur et l’ascèse de la musique classique, allié à un sens aigu du swing et de l’improvisation. Maturité, maîtrise et musicalité sont les maîtres mots de ce nouveau disque d’un vrai musicien avec lequel il va falloir désormais compter !  Francis COUVREUX  © 2004 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  Rodolphe was born near Paris in 1959. He began to play the guitar very young as a self-taught musician. If his encounter with the Gypsy world of guitar players is crucial, Rodolphe’s main character and talent is his eclectism : this musician can play the South-american folklore as well as the classical repertoire for the guitar ! Rodolphe has the soul of the gypsy guitarist. He met them all, down in Saint-Ouen, or at Montmartre, playing for hours the jazzified popular song repertoire, and – of course – Django’s music.  Between generosity and timidity, fidelity to the roots and the heritage of the gypsy swing and need to conquer new territories for jazz guitar, this Selmer style playing guitarist is distinguishable from any others by his unique sensitivity and audacity.  Long-time well known from the gypsy style lovers in Paris, Rodolphe recorded his first CD in year 2001. His « Hommage to Georges Brassens », fruit of an eclectic and very personal swing, achieved an amazing success in France, while we were commemorating the 20 years anniversary of the great poet’s death. 15 000 sold CDs later, Rodolphe reunited his swinging team to record another rare beauty. « Gypsy Swing Guitar », his second CD, recorded in 2003 (with already legendary jazzmen Christian Escoudé and Florin Nicolescu), is really impressive by its inspiration, its innovation and its repertoire. A musician that sounds like no-one else : this hard-to-achieve definition of a true jazz player !  Benjamin GOLDENSTEIN  © 2006 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  © 2007 Frémeaux & Associés Biographie (Bio Rodolphe Raffalli - et non : Rafalli, Rafali, Raffali, Raffaelli, Rafaelli, Rafaeli, Raphaeli, Raphaelli !)
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Rodolphe Raffalli, chitarrista parigino d’origine corsa, è sulla scene del gipsy jazz già da parecchi anni, numerose le collaborazioni ed i concerti (naturalmente ha sunato anche a Samois) ma, fino a poco tempo fa, la sua discrezione lo ha costretto in una posizione immeritata,secondo me,rispetto ad altri pur bravi chitarristi ma soparattutto più intraprendenti promoter di se stessi. Probabilmente questo il motivo per cui questo omaggio a Georges Brassens è il su primo disco ufficial, fino adora infatti lo avevamo ascoltato solo in lavori autoprodotti o su cd di altri. Del resto, chi frequenta da un po’ il jazz manouche si è abituato ai tesori nascosti di questo genere musicale che ha nell’esecuzione dal vivo la sua anima. Questo cd, uscito nel ventesimo anniversario della morte di Brassens, rappresenta quasi un cerchio che si chuide : il cantautore, grande ammiratore di Django,viene ora eseguito in stile manouche. Le canzoni di Brassens, i cui testi dalla poetica pungente affascinarono e influenzarono  puí di un cantautore italiano, mantengono la loro bellezza anche in questa esecuzione soltanto strumentale che ne rispetta totalmente lo spirito e che ne esalta ancor puí le belle melodie. Il disco si presta a più forme d’ascolto ci si può abbandonare alle malodie o apprezzare il suono di Rodolphe, la comunicativa e le doti solista. Brassens amava essere accompagnato, nelle sue esibizioni, da un chitarrista e un contrabbassista, perfetta quindi la sonorità, in pieno stile jazz manouche, della formazione proposta da Rodolphe nelle tredici canzoni che compongono il cd : Antonio Licusati contrabbasso, Max Robin et Doudou Cuillerier, chitarre ritmiche.GHITARRE
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Je ne qualifierais pas de jazz Face to Face. Qu’il s’agisse en revanche d’excellente musique, improvisée par des interprètes d’une stature inhabituelle et qu’habite l’esprit du jazz, voilà qui ne fait  aucun doute. L’art populaire de France et des deux Amériques y atteint souvent un niveau de raffinement inespéré. Rodolphe Raffalli, de son côté, réunit deux univers dont il n’est pas le créateur : celui de Brassens et celui de Django Reinhardt. Mais cela ne l’empêche pas d’exprimer sa personnalité avec beaucoup d’élégance et de détermination, et puis, personne avant lui n’avait si finement dégagé la lyrisme du chanteur-poète ni montré ce qui le rattache à la tradition du swing. Son disque est exquis.DIAPASON
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Brassens affirmait souvent qu’une guitare et son fidèle Pierre Nicolas à la contrebasse lui suffisait. De fait, on se demande s’il ne vaut pas mieux,à la lumière de ses disques tendres mais un peu "gentillets", redécouvrir l’œuvre à vif du guitariste,  débarrassé des oripeaux de l’hommage obligé. Chez le guitariste Rodolphe Raffalli, en revanche on décèle plus de musicalité, de compréhension, et donc un supplément d’âme. Le swing manouche de Raffalli colle avec âpreté et tendresse au thèmes de Brassens, au prix de trouvailles inédites (la profonde sensibilité de Pénélope, la version bossa des Copains d’abord) : comme dans le modèle tout le monde semble se loger dans les six cordes d’une « sèche ».Presque une affaire de morale…Hervé GUILLEMINOT - CLASSICA
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Michel Bedin nous présentait un portrait de Rodolphe Raffali et en profitait pour nous annoncer que ce guitariste corse de Paris venait d’enregistrer un beau CD de Brassens, qui n’avait pas encore trouvé de producteur, ni de distributeur. C’est maintenant chose faite puisque Jean Pierre Tandin (La Lichère) et Patrick (Frémeaux et Associés) se sont unis pour permette au public d’apprécier cet élégant hommage à l’autre «  homme à la pipe » . Pour la circonstance, la guitariste a fait appel à ses habituels complices que sont Doudou Cuillerier, Max Robin et Antonio Licusati. A eux quatre, ils revisitent, en fonction du contexte , de leur humeur ou des thèmes ,le répertoire, souvent connu du grand public  ainsi que celui qui n’a aucun secret pour les spécialistes de Brassens. «  Quand on écoute le chansons Brassens, c’est une évidence que le quintette du Hot Club de France aurait pu jouer cela » explique Raffali. C’est donc dans cet esprit, baigné de swing, que sont interprétés « Les Croquants » ou « Histoire de faussaire ».Et le guitariste, qui apprécie la musique brésilienne, est tout surpris de placer un rythme bossa sur « Les Copains d’abord ».Les morceaux comme « Le vieux Léon » et « Pénélope » sont poignants, émouvants. Le jeu en solo du guitariste évoque la tiédeur d’un soleil couchant agrémenté des étincelles d’une improvisation langoureuse. « La passante » est d’une beauté à rendre jalouse Mona Lisa. « Une balade tragique et bouleversante, mais d’une grande pudeur » (Micel Bedin).Dans son hommage guitaristique à ce grand chanteur poète du vingtième siècle, Rodolphe Raffalli montre une excellente technique à la Django, des effluves de guitare à Paulo et cet esprit à la Brassens, qui fait la force d’une composition.Michel MAESTRACCI - JAZZ HOT
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Anniversaire oblige, les hommages à Georges Brassens se multiplient ; après le disque réussi de Koen de Cauter et Patrick Saussois trio, voila celui de Rodolphe Raffalli , guitariste Parisien d’origine corse, autodidacte discret bien connu des amateurs de swing manouche ; et c’est un bijou, mon cousin ! Dès qu’ils ont écouté le master, Jean Pierre Tandin et Patrick Frémeaux ont été conquis et l’ont signé ; après quelques autoproductions remarquées mais peu diffusées, c’est le premier vrai disque de Rodolphe. Magistralement entouré par un trio de complices de longue date (A.Licusati, contrebasse, Max Robin et Doudou Cuillerier, guitares d’accompagnement), Rodolphe propose une relecture instrumentale originale de 13 chansons de Brassens :La Marine devient une Valse , L’orages et les Croquants des swings enlevés, La supplique un standard de jazz , j’ai rendez vous avec une rumba,La marche nuptiale un morceau Classique aux accents bouleversants ( peu de notes mais beaucoup de musique alors que c’est souvent l’inverse !), Les copain d’abord une bossa, Pénélope et les passantes des ballades tragiques…Sensibilité, élégance, finesse, inspiration, arrangements aux petits oignons… bref, tout est bien ici, y a rien à jeter (cf. l’immense version du Vieux Léon tonton Georges doit sourire derrière sa moustache). Avec ce disque magnifique qui fleure bon Django et Crolla, Rodolphe Raffalli entre à 42 ans dans la cour des grands, Un must !Francis COUVREUX - TRAD MAGAZINE
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Brassens was a great french chansonier and a satirist in Rabelaisian tradition who sold over 20 million records, but his fan may not have been aware of extent to which he was influenced by jazz. In 1979, two years before his death, Brassens and other musicians recorded a mostly instrumental double album called Bressens en Jazz that  consisted of 23 tunes, five of wich show up among the 13 tracks here. Raffalli, a Corsican guitarist, decided  to pay a very different kind of jazz tribute to the man by recoding his songs with the help of a back up trio in the instrumental style of the Quintette du hot Club de France. Raffalli changed the tempos and moods of some of the songs, which could be of special interest to Brassens fans. Others will just have to appreciate the fine manouche-style guitar playing on its own merits. Notes include very little information about Brassens himself and are in French only.PEC - DIRTY LINEN
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Rodolphe Raffalli donne un cachet jazz manouche aux chansons de Brassens. Le Rodolphe Raffalli quartet fait un tabac en France en 2001 en reprenant une douzaine de chansons de Georges Brassens dans le style de Django Reinhardt. Le succès critique et populaire de l’album débouche, quatre ans plus tard, sur une seconde sortie également couronnée d’éloges. La formule, d’abord cantonnée au disque, fait maintenant son chemin jusqu’à la scène. Invités du Carrefour Mondial de l’accordéon, Raffalli et son quartette – trois guitares et une contrebasse – seront au Palais Montcalm le 30 Août. Ils y retrouveront Ludovic Beier, virtuose du piano à bretelles. Au programme, que de la musique de Brassens, offerte dans une relecture jazz manouche et portée par un tout nouveau souffle. Entrevue.Q. Rodolphe Raffalli, interpréter les chansons de Brassens sans les paroles représente t-il uner difficulté en soi ?R. quand j’interprète Brassens, je pense à ses textes parce que c’est la seule façon de garder son esprit. Je pense globalement à la thématique de sa poésie et j’essaie de la transformer musicalement. Et là, ça devient intéressant. Des gens m’ont dit : « On a l’impression d’entendre Georges Brassens qui chante, dans le fond ». Ça le laisse très présent et c’est ce qui fait qu’on ne massacre pas son œuvre.Q. On dirait plutôt que vous donnez une deuxième vie à ses chansons…R. Voilà. C’est comme si Georges Brassens avait une rosace à la place de la bouche, quoi. Au lieu des mots, il en sort des notes. Mais je ne peux pas le faire avec toutes (ses chansons). J’ai vraiment choisi les morceaux que je ressentais. Sur les 292, j’en ai sélectionné une cinquantaine à peu près.Q. Votre choix d’enregistrer en analogique reflète t-il cette volonté de retrouver un son plus authentique, près de celui de Django Reinhardt ?R. Oui, c’est pour la sonorité d’antan. Ça correspond un peu aux rouleaux de cire, avant les disques en vinyle. C’est le même résultat. On a l’impression que la guitare est présente dans la pièce. Alors que le numérique enlève toutes les nuances et la chaleur. Après, c’est une question de goût. D’ailleurs, tout le monde n’aime pas.Q. On sent surtout le côté très « en direct » de la prise de son.R. tous mes disques sont enregistrés en live, comme si c’était un concert. Si on rate, on recommence. On fait la prise d’un bloc. Autrement, ça enlève de l’authenticité. C’est une sorte de concert privé enregistré, pas du tout remanié. C’est ce que l’auditeur perçoit en premier. Je préfère cette formule là au re-recording. C’est autre chose pour les oreilles. Django Reinhardt faisait comme ça. Sauf que lui, à la première prise, c’était généralement déjà dans la boîte. Nous, il nous en faut parfois sept pour y arriver.Q. Avez vous l’intention de réaliser un troisième album Brassens ?R. Je ne pense pas. Ça prend beaucoup de temps. J’ai bientôt 50 ans et j’ai autre chose à exprimer. Beaucoup de gens m’ont collé l’étiquette jazz manouche parce qu’ils ne connaissent que ça de moi. Je suis aussi très Sud-Américain et ça, je ne l’ai pas encore exploité sur disque. J’ai aussi des compositions classiques que j’aimerai enregistrer.Richard BOISVERT – LE SOLEIL (QUÉBEC)
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En Corse, d’où il vient, les anciens lui disent : « On reconnaît bien vos racines puisque, même dans votre jazz manouche, vous conservez un son méditerranéen ». A cela, le guitariste renchérit de bon cœur : « Cela provient du rapprochement avec la mandoline et de l’influence qu’a exercée sur moi la famille Ferre ». Maurice Ferre lui avait tout enseigné à la dure, à la place du Tertre, lieu mythique de Montmartre. « A l’âge de 15 ans, j’ai commencé mon apprentissage petit à petit en apprenant l’art de la pompe. On jouait pratiquement tout les soirs de la semaine, six heures d’affilée sans pause. Si le public s’ennuyait, on te virait. Le propriétaire tapait alors dans un arbre et dix guitaristes en tombaient.» C’était la vieille école, mais Ferre a légué à Raffalli un précieux héritage : le style des Gitanes, à ne confondre ni avec celui des Gitans d’Espagne et de Camargue ni avec celui de Django, que Raffalli a également intégré. « Contrairement à lui, les Gitanes insèrent un très grand nombre de trémolos dans leur musique ». En parallèle, le guitariste, qui avait également baigné dans le jazz et la musique Sud-américaine, se nourrissait depuis l’enfance de Brassens. D’où l’idée de lui consacrer deux disques, lumineux concept qui vaudra à Raffalli une des meilleures ventes jazz en France en 2002 pour le premier : une approche très spontanée, que des guitares et de la contrebasse, du tonton Georges sans les mots, en swings et en ballades sur des rapides et des lentes, un lyrisme qui ressort et cette façon de tellement respecter l’œuvre qu’on croirais apercevoir le Sétois dans le fond. Georges Brassens vol.2, paru l’an dernier, est un disque mûri plus longtemps, enregistré en analogique, ce qui confère une sonorité plus ancienne. « Certains préfèrent l’esprit à l’arraché du premier, mais l’intention était plutôt de créer un mini conservatoire de cordes ». Au Québec, Raffalli rendra hommage à Brassens et aux traditions manouches : en quintette à l’enseigne du musette avec l’accordéoniste Ludovic Beier les 30 Août à Québec et les 31 août et 2 Septembre à Montmagny ; le 6 septembre à Montréal, puis en trio avec Michel Donato le lendemain à Gatineau. Et du célèbre contrebassiste québécois, que sait-il ? « Je ne le connais pas, mais on m’en dit beaucoup de bien. Ça devrait être une belle rencontre non. Il vit au Canada, non ? »Yves BERNARD – LE DEVOIR (QUÉBEC)
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“Personne avant lui n’avait si finement dégagé le lyrisme du chanteur-poête ni montré ce qui le rattache à la tradition du swing. Son disque est exquis.” Alain GERBER, DIAPASON
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“Avec ce disque magnifique qui fleure bon Django et Crolla, Rodolphe Raffali entre à 42 ans dans la cour des grands. Un must.” Francis COUVREUX, TRAD MAG
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    LA MARINE
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:03:02
    2001
  • 2
    L ORAGE
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:03:43
    2001
  • 3
    SUPPLIQUE POUR ETRE ENTERRE SUR LA PLAGE DE SETE
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:02:46
    2001
  • 4
    J AI RENDEZ VOUS AVEC VOUS
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:04:14
    2001
  • 5
    LA MARCHE NUPTIALE
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:08:16
    2001
  • 6
    LES CROQUANTS
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:02:07
    2001
  • 7
    PENELOPE
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:05:29
    2001
  • 8
    JE ME SUIS FAIT TOUT PETIT
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:02:08
    2001
  • 9
    LES PASSANTES
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:04:22
    2001
  • 10
    HISTOIRE DE FAUSSAIRES
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:03:06
    2001
  • 11
    LES COPAINS D ABORD
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:04:32
    2001
  • 12
    LE VIEUX LEON
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:03:51
    2001
  • 13
    ONCLE ARCHIBALD
    RODOLPHE RAFFALLI
    00:03:46
    2001
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