A Georges Brassens Vol 2
A Georges Brassens Vol 2
Ref.: LLL320

RODOLPHE RAFFALLI

Ref.: LLL320

Direction Artistique : PATRICK FREMEAUX

Label : Frémeaux & Associés

Durée totale de l'œuvre : 44 minutes

Nbre. CD : 1

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Présentation

L'interprétation magistrale du répertoire de Georges Brassens par Rodolphe Raffalli l'a consacré dès son premier disque comme l'une des meilleures ventes de Jazz en 2002 (GFK pannel ). Aujourd'hui, Rodolphe Raffalli, accompagné par Philippe "Doudou" Cuillerier, Max Robin et Antonio Licusati, nous revient avec un volume 2 comprenant La Mauvaise réputation, Les Sabots d'Héléne et la Chanson pour l'Auvergnat. La fraîcheur et la délicatesse de ce disque en font l'un des nouveaux fleurons du catalogue La Lichère des éditions Frémeaux & Associés et réaffirme la fertilité des métissages entre création contemporaine et patrimoine intemporel.
Patrick Frémeaux

Rodolphe Raffalli : guitare
Philippe "Doudou" Cuillerier : guitare
Max Robin : guitare
Antonio Licusati : contrebasse
En playlist sur TSF !



Chanson pour l&rsquo;Auvergnat &bull; Les Sabots d&rsquo;H&eacute;l&egrave;ne &bull; B&eacute;cassine &bull; Jeanne &bull; Les Ricochets &bull; Au bois de mon c&oelig;ur &bull; Le Grand Ch&ecirc;ne &bull; Le Parapluie &bull; La Mauvaise R&eacute;putation &bull; Rien &agrave; jeter &bull; Marinette &bull; La Chasse aux papillons.<br />Compositions de Georges Brassens, arrang&eacute;es par le Rodolphe Raffalli Quartet.<br />Rodolphe Raffalli : guitare<br />Philippe &quot;Doudou&quot; Cuillerier : guitare<br />Max Robin : guitare<br />Antonio Licusati : contrebasse

Presse
  A l’automne 1988, Patrick Tandin, producteur de jazz et homme de radio, lance le label La Lichère, maison de production phonographique dédiée au jazz et la world music qui présentera : Okay Témiz, John Greaves, Richard Raux, Debora Seffer, Marcel Azzola, Raul Barboza, Benoît Blue Boy, Senem Diyici, Didi Duprat, Les Primitifs du Futur, La Campagnie des musiques à ouïr, Michel Godard, Jean-Charles Capon, Richard Galliano, Jo Privat et le concept mondial du revival accordéon Paris Musette. Juillet 2000, Patrick Tandin nous quitte à 55 ans. Le label La Lichère, est alors repris par son frère Jean-Pierre Tandin, qui assure une politique dynamique, en co-édition avec Frémeaux & Associés, dédié à une relecture originale et créative du patrimoine musical : Spice Bones, Rodolphe Raffalli, le tentet de Stan Lafferière, Annie Papin, Isabelle Carpentier, Les frères Ferret avec Alain Jean-marie, Capon et Escoudé… Pour la première fois dans le disque, la direction artistique est assurée par un comité d’écoute collégial (Franck Bergerot, Julien Dellifiori, Pascal Anquetil, Antoine Tandin, Jean-Pierre Tandin et Patrick Frémeaux) permettant de servir la logique de ce label indépendant ; être un espace de liberté et d’expression pour les musiciens contemporains, un espace d’accueil de tous les métissages à l’abri des modes et de l’air du temps. En décembre 2005, Jean-Pierre Tandin et Antoine Tandin cèdent à Frémeaux & Associés le catalogue La Lichère. Le comité d’écoute collégial conserve son aptitude à proposer des productions mais la direction artistique est désormais assurée par Patrick Frémeaux en collaboration avec Benjamin Goldenstein. Avec pour double objectif de continuer à faire vivre la carrière phonographique des artistes maisons, Rodolphe Raffalli, Raul Barboza… et d’ouvrir les portes aux artistes dont la culture est à mi-chemin entre le jazz et les musiques traditionnelles, conservant ainsi l’esprit de La Lichère, Christophe Lartilleux (Latcho Drom), Gadjo Combo, un film sur l’accordéon par Pierre Barouh, Patrick Favre, Jacques Bolognesi, Emy Dragoï…Parallèlement, Denis Leblond, au sein de ‘Tempo Spectacle’, poursuit l’organisation de concerts des artistes La Lichère (Primitifs du Futur, Paris Musette, John Greaves, Raul Barboza…) et produit les deux derniers disques de Benoît Blue Boy. Enfin, La Lichère accueille dans son catalogue le travail de Jean-Louis Wiart – AxolOtl, producteur indépendant, dont la politique artistique est proche de celle initiée par Patrick Tandin (Guillaume de Chassy, Patrick Favre, Lee Konitz, Cesarius Alvim…).Claude Colombini Frémeaux In autumn 1988, jazz producer and radio personality, Patrick Tandin created the La Lichère label, a record company specialising in jazz and world music such as Okay Témiz, John Greaves, Richard Raux, Debora Seffer, Marcel Azzola, Raul Barboza, Benoit Blue Boy, Senem Diyici, Didi Duprat, Les Primitifs du Futur, La Compagnie des musiques à ouir, Michel Godard, Jean Charles Capon, Richard Galliano, Jo Privat and the international revival of Paris Musette accordion music.  In July 2000, Patrick Tandin passed away at the age of fifty-five.  Today, the dynamic La Lichère label, having been taken over by his brother Jean Pierre Tandin, with the collaboration of Frémeaux & Associés, specialises in an original and creative review of the musical heritage :  Spice Bones, Rodolphe Raffalli, Stan Laffériere’s tentet, Annie Papin, Isabelle Carpentier, the Ferret brothers with Alain Jean-Marie, Capon and Escoudé etc.  For the first time in the history of recorded music, the artistic direction is handled by a collegial committee (Franck Bergerot, Julien Dellifiori, Pascal Anquetil, Antoine Tandin, Jean Pierre Tandin and Patrick Frémeaux), enabling this independent label to give freedom and expression to contemporary musicians and to open doors for artists who do not enter specific musical categories. Since 2006, the catatalog is owned by Frémeaux & Associés.Patrick Tandin, une pleine vieJe me souviens d’un drôle de mec sur Jazz à Fip, qui parlait du jazz comme on croque une pastèque, avec du jus plein les joues. Il avait quitté FIP pour créer Jumbo Jazz sur une radio indépendante et avait choisi pour générique Le retour de la baleine bleue d’Eddy Louiss. Je me souviens d’y avoir entendu Bernard Lubat et André Minvielle faire le bœuf à l’improviste devant les micros. Je me souviens de son hameau en Ardèche, La Lichère. Sous sa fenêtre, il y avait un couple de crécerelles qu’il appelait Geoges et Georgette. Le samedi, on se peignait les oreilles en bleu et on descendait faire la fanfare en ville. Une année, Eddy Louiss tenait la grosse caisse. Le soir, on remontait dans les montagnes faire le bal. On jouait Eddy soit bon ; Eddy jouait la série tango. Je me souviens qu’à La Lichère, il y avait la place Billie-Holliday, le pont Sonny-Rollins…Eddy, Didi Duprat et Hermeto Pascoal avaient inauguré leurs propres plaques. Je me souviens que lorsqu’il créa le label La Lichère, il avait loué le Bataclan un mardi soir, pour que les enfants qui n’avaient pas d’école le lendemain puissent venir. L’invitation disait : «  Venez avec des fleurs ». Jamais on avait vu le Bataclan aussi fleuri. Je me souviens que le 22 Mars, il essayait toujours de sortir un disque, ou d’être en studio, pour commémorer l’étincelle qui déclancha Mai 68. Je me souviens des disques : Senem Diyici, François Chassagnite, Richard Raux, Ecume, Cesarius Alvim, Data Error, Richard Galliano et Jean-Charles Capon, Michel Godard, John Greaves, Benoît Blue Boy, Paris-Musette, Raul Barboza, Les Primitifs du Futur, Okay Temiz et Sylvain Kassap, La Campagnie des musiques à ouïr…Je me souviens qu’il avait toujours un instrument de musique entre les mains, qu’il chantait Viens de Gilbert Bécaud, La Folle Complainte de Charles Trenet et Sweet Home Chicago de Robert Johnson. Je me souviens qu’il voulait amener le jazz dans les villages, qu’à cette intention il avait monté le festival des Vans et des trois vallées avec une poignée de bénévoles, deux bouts de ficelles, sa bite et son couteau. Je me souviens qu’on s’était moqué de lui, mais aujourd’hui, aux Vans, on lit Jazzman au salon de coiffure et le fils du coiffeur fait huit heures de saxophone par jour. Je me souviens que, lorsque Jo Privat avait vu sa trogne ronde et cramoisie de soleil et d’appétit de vivre, il l’avait surnommé « La Tomate ». Je me souviens que quelques jours avant sa mort, il avait la tête comme un radis et le teint terreux, qu’on ne voyait plus que ses dents de croqueur de pastèque qui disaient en riant « c’est rien, on va continuer ». Avant de partir, le 12 Juillet 2000, comme un pied de nez à la mort, Patrick a confié à son fils Antoine et à son frère Jean-Pierre le soin de continuer les productions du label la Lichère en partenariat avec Frémeaux & Associés. « C’est rien, on va continuer ».Franck BERGEROT  © JAZZMAN                                       Mort du producteur de disques Patrick TandinPatrick Tandin est mort le 12 Juillet des suites d'un cancer à l'âge de 53 ans à Montpellier. Homme de radio (FIP...) et de spectacles (le Festibal de Vans en Ardèche), il avait surtout exercé la fonction de producteur de disques, créant notamment le label La Lichère (Paris Musette, les Primitifs du Futur, Raul Barboza...)© LIBERATION
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RAFFALLI RODOLPHEGuitariste français né le 20 mai 1959, Rodolphe Raffalli commence l'apprentissage de son instrument dès l'âge de 8 ans.  Caractérisé par sa maîtrise de la guitare jazz (particulièrement swing dans la lignée de Django Reinhardt) il est également réputé pour son éclectisme : musique classique et styles sud-américains n’ont en effet plus de secret pour Rodolphe.  Autodidacte, il fait ses premiers pas à la guitare sous le signe tutélaire du grand Django Reinhardt, mais loin de s’enfermer dans une esthétique unique, Rodolphe fréquente avec bonheur les chemins de traverse qui lui feront tour à tour découvrir la chanson française, la musique classique, le folklore d'Amérique latine, le jazz traditionnel et surtout l'improvisation.  Fin des années 1970, suite à sa rencontre du guitariste argentin Martin Torrés (Guitare d'Or au Mondial de Venise 1976), Rodolphe fréquente les manouches et gitans des puces de Saint-Ouen (Ninine et Mondine Garcia) comme du très montmartrois Clairon des chasseurs (Maurice Ferret et Joseph Pouville). Retour aux sources pour ce franco-italo-corse qui intègre l’héritage de Django Reinhardt dans une esthétique propre où flotte, de manière sensible mais notable, l’esprit d’un autre italien, d’un autre émule de Django : le grand Henri Crolla.  Rodolphe est alors amené à approfondir sa connaissance des grands standards de jazz d’outre-atlantique (ces tubes indémodables des grands Cole Porter, Jerome Kern, Georges Gershwin, Fats Waller, Sidney Bechet, etc.) et élargit sa syntaxe harmonique à l’écoute du jazz américain.  Nouvelle aventure en 1982 avec une incursion très sérieuse dans le classique où, tout autodidacte qu’il est, il étudie (sa seule oreille pour complice) les grands noms de la composition pour six-cordes : Bach, Scarlatti, Haendel, Villa-Lobos, etc.  La route de Raffalli est également pavée de musiques sud-américaines, riches en guitares. Lui qui connut Atahulpa Yupanqui tout jeune à Paris, passa des heures au coeur du quartier latin à faire chanter sa guitare entouré de musiciens du Paraguay, du Pérou, d'Argentine et du Brésil.  C’est toutefois sa maîtrise du swing manouche qui lui vaut sa réputation et sa renommée grandissante en Europe. Rodolphe joue avec tous les manouches de Paris : Angelo Debarre, Moreno Winterstein, Christian Escoudé, pour ne pas citer le « clan » de la Chope des puces : Ninine, Mondine et autres Tchavolo Schmidt !  C’est par un coup de maître qu’il se fait connaître du grand public. En 2001, Rodolphe se décide à enregistrer son premier album ! L’année est symbolique ; ce sont les 80 ans de la naissance de Georges Brassens, mais aussi le vingtième anniversaire de son décès. Rodolphe lui consacre un album magnifique, tout de lyrisme et de pudeur, d’admiration fertile et de travestissements respectueux. Publié par le label La Lichère et Frémeaux & Associés, le disque fut un événement médiatique et à connu la bagatelle de quelques 15 000 ventes (disque d’or dans le Jazz), score exceptionnel pour ce petit monde alors pas si à la page qu’aujourd’hui : le swing manouche. Meilleure vente de jazz 2002 pour un éditeur indépendant (d’après GFK Pannel), le disque inspire au grand critique Alain Gerber les mots suivants : « Personne avant lui n’avait si finement dégagé le lyrisme du chanteur-poète ni montré ce qui le rattache à la tradition du swing. Son disque est exquis » (Diapason).  Deux ans plus tard, Monsieur Raffalli, qui a désormais droit de cité dans les médias et clubs de jazz, nous gratifie d’un second disque, plus purement jazz-swing que le précédent, mais tout aussi original : compositions de Django alternent avec des adaptations de quelques monstres sacrés de la variété (Aznavour, Trenet, Gainsbourg !), standards américains et compositions personnelles. « Avec ce disque magnifique qui fleure bon Django et Crolla, Rodolphe Raffalli entre à 42 ans dans la cour des grands. Un must. », dixit Francis Couvreux dans Trad Mag.  Acclamé par la critique, suivi par un public fidèle, Rodolphe Raffalli, derrière sa quasi immuable réserve et timidité, continue d’innover, de chercher les métissages harmoniques qui font sa griffe : celle d’un des très grands guitaristes actuels du jazz à la française. Laissons le mot de la fin à Hervé Guilleminot, qui note très justement dans Classica : « Chez Raffalli, on décèle plus de musicalité, de compréhension, et donc un supplément d’âme. Tout un monde semble se loger dans les six cordes d’une « sèche ». Presque une affaire de morale… »  En novembre 2006, Rodolphe nous propose un volume 2 de l’Hommage à Georges Brassens avec « Chanson pour l’Auvergnat », « Les sabots d’Hélène », « Le parapluie », « La mauvaise réputation », qui continue d’affirmer la fertilité du métissage entre création contemporaine et patrimoine intemporel.  Benjamin Goldenstein et Patrick Frémeaux.  © 2006 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  Francis Couvreux parle de Rodolphe Raffalli (inclus dans le livret du CD Hommage à Brassens – vol. 1) :  « Né en 1959 en Seine-et-Marne de père corse et de mère italienne, Rodolphe Raffalli se jette très tôt dans la musique ; il apprend la guitare en autodidacte en faisant preuve d’emblée d’une grande curiosité musicale. En 1977, il rencontre le guitariste argentin Martin Torrès puis côtoie gitans et manouches : Mondine et Ninine Garcia à la Chope des puces à Saint Ouen, Maurice Ferret et Joseph Pouville au Clairon des chasseurs à Montmartre ; école exigeante que cette veine populaire du swing manouche : là on joue six heures par d’affilée un répertoire très éclectique qui va de Piaf à Django en passant par les standards américains, la bossa, la valse musette, la musique tzigane ou les airs à la mode. A partir de 1981, Rodolphe approfondit les standards de jazz et perfectionne son répertoire dans les cafés-concerts tout en travaillant seul la guitare classique. Il cultive, en parallèle, la tradition du western swing tout en continuant, par goût et pour gagner sa vie, à faire la navette entre la musique de Django et les musiques sud américaines qu’il affectionne et pratique régulièrement avec des musiciens du Paraguay, du Pérou, du Brésil ou d’Argentine ; bref, une formation complète et une solide expérience qui permettent à Rodolphe d’être à l’aise dans tous les jazz et capable de s’adapter à tous les contextes. Malgré une timidité maladive et une discrétion rare qui poussent ce Buster Keaton de la guitare à ne jamais se mettre en avant, son talent le fait bien sûr reprérer : il se produit avec des musiciens aussi différents que le pianiste Ahmet Gülbay, l’accordéoniste Jean-Claude Laudat, les violonistes Jacques Quézin et Florin Nicolescu, ainsi qu’avec tous les plus clients de la guitare rabouine. Il est invité dans de grands festivals : Samois, Gypsy swing d’Angers, Oslo, nuits de la guitare de Patrimonio… mais c’est son premier vrai disque, la relecture poético-swing de l’œuvre de Georges Brassens qui le fait très justement exploser : un CD magnifique, unanimement salué par la critique et qui s’est vu décerner pas mal de prix et récompenses ; ce fut l’occasion pour un public élargi de découvrir un styliste élégant et raffiné, un sentimental avec une sensibilité à la Crolla, toujours attentif à la mélodie et à la respiration.  Avec un deuxième opus plus résolument jazz mais pas seulement (cf. la poésie de Roses de Picardie, l’étonnante relecture de God bless the child ou le très beau Alfonsina y el mar illuminé par le violon inspiré de Florin Nicolescu), Rodolphe confirme tout le bien qu’on pensait de lui. Son phrasé personnel a la rigueur et l’ascèse de la musique classique, allié à un sens aigu du swing et de l’improvisation. Maturité, maîtrise et musicalité sont les maîtres mots de ce nouveau disque d’un vrai musicien avec lequel il va falloir désormais compter !  Francis COUVREUX  © 2004 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  Rodolphe was born near Paris in 1959. He began to play the guitar very young as a self-taught musician. If his encounter with the Gypsy world of guitar players is crucial, Rodolphe’s main character and talent is his eclectism : this musician can play the South-american folklore as well as the classical repertoire for the guitar ! Rodolphe has the soul of the gypsy guitarist. He met them all, down in Saint-Ouen, or at Montmartre, playing for hours the jazzified popular song repertoire, and – of course – Django’s music.  Between generosity and timidity, fidelity to the roots and the heritage of the gypsy swing and need to conquer new territories for jazz guitar, this Selmer style playing guitarist is distinguishable from any others by his unique sensitivity and audacity.  Long-time well known from the gypsy style lovers in Paris, Rodolphe recorded his first CD in year 2001. His « Hommage to Georges Brassens », fruit of an eclectic and very personal swing, achieved an amazing success in France, while we were commemorating the 20 years anniversary of the great poet’s death. 15 000 sold CDs later, Rodolphe reunited his swinging team to record another rare beauty. « Gypsy Swing Guitar », his second CD, recorded in 2003 (with already legendary jazzmen Christian Escoudé and Florin Nicolescu), is really impressive by its inspiration, its innovation and its repertoire. A musician that sounds like no-one else : this hard-to-achieve definition of a true jazz player !  Benjamin GOLDENSTEIN  © 2006 ÉDITIONS FRÉMEAUX & ASSOCIÉS  © 2007 Frémeaux & Associés Biographie (Bio Rodolphe Raffalli - et non : Rafalli, Rafali, Raffali, Raffaelli, Rafaelli, Rafaeli, Raphaeli, Raphaelli !)
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"Il est venu, il a joué, il a triomphé. En présentant les musiques de Brassens, si simples, si nues, voire si pauvres en teneur mélodique, il se pointe avec une oreille neuve, à l’humeur joviale, respirant le bonheur. La facture est swing, gitane dans son essence, mais rythmiquement, elle épouse la langueur sophistiquée de la bossa nova (Bécassine, La Mauvaise Réputation). Aux commandes avec deux guitaristes, un contrebassiste, Raffalli dialogue avec sa guitare, empruntant les méandres narcotiques d’une esthétique modale, chère à Gabor Szabo, qu’il dose avec une technique solide capable de soli véloces, généreux, ayant du caractère. Sans abus de style, ni sparage de mauvais goût, marque de commerce de bien de soi-disant virtuoses. Les amateurs de soli jazz, de Mark Almond, de Return to Forever, retrouveront ce caractère pastoral qui a pratiquement disparu des tablettes aujourd’hui. Note : 4/5" Jean Beauchesne - LE JOURNAL DE QUÉBEC
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Il y a une science rythmique et harmonique de la mélodie dans l’œuvre de Brassens qui se prête parfaitement à son expression instrumentale. Bien plus, sa nature autodidacte, l’univers dont elle s’inspire, l’instrument qui l’a vu naître, la destine à la convivialité de la guitare manouche. Encore faut-il la mériter, pour ne pas la banaliser (ça s’est trop souvent vu). Or Rodolphe Raffalli la mérite. L’angle par lequel il aborde son improvisation sur la Chanson de l’Auvergant sonne comme une promesse. Un pari constamment tenu, mesure après mesure, phrase après phrase, plage après plage : sens de l’espace, anticipation, angularité mélodique constamment surprenante, intelligence de l’architecture rythmique et de l’articulation, dynamique, précision et musicalité de la virtuosité, dramaturgie des solos. Jusqu’à la conception des arrangements et la direction d’orchestre : en toute discrétion, elles témoignent d’une sûreté de goût qui distingue cet album des 90 % de la production manouche contemporaine. Dès lors, peu importe que Raffalli ne puisse être comparé à Django et peu importe que ce volume 2 ait l’air d’une resucée (pas plus qu’une énième version des Yeux noirs ou All of Me). Si l’on en croit les chiffres de vente, le public avait adoré le volume 1. La suite lui donne raison.Franck BERGEROT - JAZZMAN
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Cet excellent guitariste s’est fait une spécialité de jouer Brassens, le transposant dans une esthétique jazz manouche de stricte obédience. Comme le ferait un jazzman, il s’approprie les thèmes de Brassens sans les dénaturer. Les exposés sont réussis, les développements aussi car Raffali est autant bon improvisateur que bon guitariste. JAZZ CLASSIQUE
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Brassens a cassé sa pipe il y a vingt-cinq ans déjà. Depuis lors, il nous manque. S’il exista un jour quelque génie de la chanson, c’est bien lui dont il est question. Son verbe et ses mots n’ont plus à être vantés, ils sont gravés dans le marbre et font partie de l’héritage culturel et littéraire de notre pays. Sa musique, par contre, a toujours intrigué. Faussement simple pour les oreilles néophytes, elle fait souvent l’objet de reprises laissant entendre le pire et le meilleur. Ici, c’est du meilleur dont il s’agit, avec le deuxième volume du répertoire de Brassens par Rodolphe Raffalli, accompagné par Philippe ‘Doudou’ Cuillerier, Max Robin et Antonio Licusati. Le swing et l’émotion sont omniprésents dans ce bel hommage que n’aurait certainement pas renié tonton Georges.  SYNDICAT DES ENSEIGNANTS
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NOTRE AVIS ♦♦♦♦♦Ceux qui l’ignorent en seront peut-être étonnés, mais le poète Georges Brassens (1921-1981) fut aussi un grand musicien s’inspirant de la tradition de Django Reinhardt à qui il vouait un grand respect. Il y a quelques années, le guitariste de swing manouche et de bossa nova Rodolphe Raffalli reprit des thèmes du chanteur-poète. Le CD fit un tabac. Voici le second, tout aussi inspiré que le premier. De la « Chanson pour l’Auvergnat » à la « Chasse aux Papillons », en passant par « Jeanne », « Au Bois de mon cœur » ou « Marinette », Raffalli change en diamants purs ou en émeraudes des airs que d’aucuns avaient pris pour des rengaines. Guitare uniquement, mais joué avec un cœur, une âme et une inventivité merveilleuses. Ecoutez-le et, si vous ne l’avez pas, achetez aussi le premier. Michel BEDIN – PRESTIGE AUDIO VIDEO
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Car on ne pouvait se satisfaire d’un volume 1 exceptionnel, voici, enfin, le volume deux des reprises de Brassens par Rodolphe Raffalli, façon manouche. En quartet, accompagné de Max Robin et Philippe « Doudou » Cuillerier à la guitare et Antonio Licusati à la contrebasse, les arrangements sont délicats, ciselés. L’acoustique minimaliste si prégnante, et si représentative de la façon Brassens, se voit ici enrichie de circonvolutions manouches respectueuses et audacieuses. Douze standards inoubliables réinventés : Chanson pour l’Auvergnat, Les Sabots d’Hélène, Jeanne, Le Parapluie, La Chasse aux papillons, Le grand Chêne… Souhaitons que la collection s’enrichisse encore… Bravo ! Lucas FALCHERO - REVUE DES MEDIATHEQUES ET COLLECTIONS MUSICALES
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"Une remarque préliminaire : l’auteur  de ces lignes, s’il se dit volontiers amateur de jazz, n’est pas loin de se considérer comme un "pro" de Brassens. Comme tous les inconditionnels, il (oui, c’est encore moi) est particulièrement chatouilleux sur tout ce qui concerne les adaptations, arrangements et autres réinterprétations de la musique du Sétois. Il avoue que l’audition du premier volume, enregistré en 2001, et qui avait bénéficié d’un énorme succès tant public que critique, ne lui a pas laissé un souvenir impérissable. Surdité passagère ? Humeur maussade à l’époque ? Ou niveau musical encore plus élevé pour ce deuxième volume ? Toujours est-il qu’après une mise en route un peu convenue avec les ultra-connus Auvergnat et Sabots d’Hélène, je suis entré (car la troisième personne, ça va bien un temps) à fond dans la musique offerte par Raffalli et ses compères. Les arrangements sont idéalement placés entre les écueils de la paraphrase servile et de l’improvisation saugrenue. L’interprétation est limpide et la prise de son (analogique) rend parfaitement justice aux interprètes, aussi à l’aise sur tempo lent (Bécassine, Jeanne…) que plus rapide (Les Ricochets, Le Grand Chêne…). Brassens aimait le jazz et seules les "oreilles de lavabo" (René Fallet dixit) trouvaient ses musiques monotones. Beaucoup de ses admirateurs y avaient décelé bien plus que des traces de swing. Le voici révélé à tous et c’est un vrai bonheur." Patrick Pommier - Jazz Magazine
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« Son interprétation magistrale de Brassens a fait de Rodolphe Raffalli l'une des meilleures ventes jazz en France en 2002 ; alors évidemment il était tentant de remettre le couvert. Enregistré il y a plus d'un an La Lichère sort opportunément ce vol 2 fin 2006 pour le 25ème anniversaire de la disparition de tonton Georges. Nous ne nous en plaindrons pas car :- 1. L'œuvre de Brassens est si énorme qu'il est bien normal qu'on la célèbre - 2. Comme l'écrit justement Alain Gerber à propos de Rodolphe " personne avant lui n'avait si finement dégagé le lyrisme du chanteur-poète ni montré ce qui le rattache à la tradition du swing ". Ces versions instrumentales révèlent la fluidité des mélodies et la complexité harmonique des musiques de notre poète de la chanson. Ce vol 2 est largement aussi réussi que le premier ; certes tout est bon chez Brassens y a rien à jeter mais la sélection de Rodolphe est judicieuse et surtout son interprétation d'une poésie rare ; tout n'est que finesse, délicatesse et sensibilité. On sent chez lui un amour et un respect de la musique qu'il interprète : mise en place impeccable, immense musicalité, arrangements personnels : Marinette, Les sabots d'Hélène avec rythmique swing, la mauvaise réputation en bossa, les ricochets joués avec une rythmique bop, Bécassine joué sur un tempo lent a des accents classiques, La chasse aux papillons en solo avec arpèges en intro… Une manière personnelle de présenter ces mélodies et d'en souligner la classe. C'est délicat sans mièvrerie, léger mais avec une émotion forte ; Rodolphe est un styliste au son et au phrasé identifiables ; c'est aussi un jazzman avec un vrai sens de l'improvisation (cf. son chorus sur Jeanne ou chanson pour l'Auvergnat) On pense davantage à Crolla qu'à Django ; A quand un disque complet en hommage à Mille pattes ? Il n'y a que Rodolphe qui puisse s'y atteler ! Indispensable bien sûr pour qui aime Brassens, la belle guitare et la vraie musique, ce qui fait tout de même pas mal de monde ! De plus sur l'une des photos de pochette Rodolphe sourit et ça aussi c'est un événement ! » Francis Couvreux – Etudes Tziganes.
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"Après le premier volume paru en 2001, le guitariste de jazz manouche Rodolphe Raffalli présente le second opus de son hommage à Georges Brassens, toujours dans le même esprit : rendre à la musique du poète la place qu’elle mérite, elle qui a trop souvent été effacée au profit des superbes paroles de ses chansons." Arnaud Stefani - Citizen Jazz
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« Quelle splendeur ! Ceux qui ont loupé le premier A Georges Brassens de Rodolphe Raffalli peuvent se ronger les doigts en écoutant ce second "Brassens". Les autres dégustent. Rodolphe Raffalli, avec son sens aigu de l’improvisation, avec de véritables inventions, avec son empathie complète avec Georges Brassens, ce qu’il a écrit et ce qu’il a voulu dire... » Michel BEDIN – JAZZ HOT
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« Adulé, encensé par le grand public depuis la fin des années 30, mais méprisé, oublié par les discographes staliniens, honni par les amateurs éclairés (?) et les critiques aux oreilles plombées, Glenn Miller (1904-1944), chef d’entreprise et bon chef d’orchestre a toujours joué franc-jeu... » Jean-Jacques TAIB – JAZZ HOT. Sélection Jazz Hot
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Liste des titres
  • Piste
    Titre
    Artiste principal
    Auteur
    Durée
    Enregistré en
  • 1
    CHANSON POUR L AUVERGNAT
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:05:36
    2006
  • 2
    LES SABOTS D HELENE
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:02:38
    2006
  • 3
    BECASSINE
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:04:10
    2006
  • 4
    JEANNE
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:04:48
    2006
  • 5
    LES RICOCHETS
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:03:33
    2006
  • 6
    AU BOIS DE MON COEUR
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:03:40
    2006
  • 7
    LE GRAND CHENE
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:02:03
    2006
  • 8
    LE PARAPLUIE
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:04:00
    2006
  • 9
    LA MAUVAISE REPUTATION
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:05:04
    2006
  • 10
    RIEN A JETER
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:01:41
    2006
  • 11
    MARINETTE
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:03:39
    2006
  • 12
    LA CHASSE AUX PAPILLONS
    RODOLPHE RAFFALLI
    GEORGES BRASSENS
    00:03:24
    2006
Livret

Rodolphe Raffalli Quartet Vol 2

A Georges Brassens
Volume 2

Rodolphe Raffalli Quartet

Produit par Rodolphe Raffalli Quartet
Enregistre en analogique sur magnetophone Studer A80, microphones Neumann, preamplis Studer 960, en juin, juillet & septembre 2005 au Studio Labroue a Paris / Enregistrement et mixage : Philippe Labroue.
Photos couverture : Gaston Bergeret
Photo interieure (Duc des Lombards) : Guillaume Lajarige
Dessin : Charlotte Raffalli
Rodolphe Raffalli a enregistre sur guitares Dupont, modeles MD 20 et MCC, et cordes Argentine - Savarez / Max Robin joue sur guitare Favino / Doudou Cuillerier joue sur guitare Dupont / Antonio Licusati joue sur contrebasse Ferrarotti (fin XIXeme)
Remerciements : Charlotte Raffalli, Gaston Bergeret, Philippe Labroue, Guillaume Lajarige, Pierre Schuller / (Aupres de son arbre) & Jean-Paul Sermonte  / (Les Amis de Georges), Jean-Pierre Tandin, Patrick Fremeaux et Benjamin Goldenstein.
Contact - scene : + 33 (0)6 12 24 19 16


Rodolphe Raffalli Quartet
A Georges Brassens volume 2

1. Chanson pour l’Auvergnat 5’36
2. Les Sabots d’Helene 2’38
3. Becassine  4’10
4. Jeanne 4’48
5. Les Ricochets 3’33
6. Au bois de mon coeur 3’40
7. Le Grand Chene 2’03
8. Le Parapluie 4’00
9. La Mauvaise Reputation 5’04
10. Rien a jeter 1’41
11. Marinette 3’39
12. La Chasse aux papillons 3’24


Compositions de Georges Brassens
Arrangements : Rodolphe Raffalli Quartet


Rodolphe Raffalli : guitare
Philippe “Doudou” Cuillerier : guitare
Max Robin : guitare
Antonio Licusati : contrebasse


CD Rodolphe Raffalli Quartet - A Georges Brassens volume 2 © Frémeaux & Associés (frémeaux, frémaux, frémau, frémaud, frémault, frémo, frémont, fermeaux, fremeaux, fremaux, fremau, fremaud, fremault, fremo, fremont, CD audio, 78 tours, disques anciens, CD à acheter, écouter des vieux enregistrements, albums, rééditions, anthologies ou intégrales sont disponibles sous forme de CD et par téléchargement.)

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