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« Le continent musical Portal est en effet immense » par Couacs
Categories : Press« "Michel Portal n’est pas un interprète, c’est un continent." Il vous surprendra de savoir que cette citation, incertaine toutefois, serait de François Mitterrand d’après Patrick Frémeaux, éditeur du nouvel ouvrage de Franck Medioni consacré à l’un des plus grands clarinettistes français. Clarinettiste ? Ce n’est pas assez. Musicien polymorphe plutôt, tant le continent musical Portal est en effet immense et divers. Au-delà d’un Maître de la clarinette, Portal a aussi joué des saxophones, et du bandonéon . Et il a exercé dans tous les répertoires. Musique classique, et avec quels partenaires ! Musique contemporaine, pour les plus importants compositeurs de son temps. Jazz bien sûr, (et plus free que personne !). Il composé des musiques de film et des indicatifs qui restent dans toutes les mémoires (Droit de réponse, c’était lui…). Et il a collaboré avec les grands noms de la chanson française. Le livre de Franck Medioni est un “propos recueillis”, presque brut, un peu crépus [...]
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« Un vent nouveau souffle sur le klezmer » par Le canard folk
Categories : Press« De nombreux groupes klezmer se ressemblent, avec des mélodies et des arrangements qui se répètent. Heureusement, de temps à autre apparaît une agréable surprise, comme le groupe du violoniste Marc Crofts. Dans son enfance, sa mère lui a appris des chansons juives. Plus tard, il s’est lancé à la recherche des traditions klezmer, a étudié les musiques balkaniques, se familiarisant ainsi avec le folklore grec et turc entre autres, le tout en pratiquant du jazz. Il réunit des musiciens français, suisses et polonais, et concocte des arrangements légers, personnels, originaux, qui mêlent des éléments de différents pays ainsi qu’un peu de jazz. Un vent nouveau souffle sur le klezmer et cela vaut assurément la peine de s’y frotter. »Par Marc BAUDUIN – LE CANARD FOLK
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« Une vision réellement moderne et personnelle du klezmer » par la RTS
Categories : Press« Enfant de la diaspora, Marc Crofts propose avec ce projet une nouvelle interprétation à un répertoire klezmer ancien. Lʹensemble réunit des musiciens virtuoses, de Suisse, France, Pologne et Bulgarie, autour dʹun programme né de ses recherches sur la tradition klezmer et basé sur des retranscriptions de partitions du début du siècle passé, dans un esprit où la la maîtrise de différentes traditions enrichit avec succès une vision réellement moderne et personnelle du klezmer. » Par RTS – RADIO TELEVISION SUISSE
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« Swingue avec vivacité » par Télérama
Categories : Press« Entre jazz et musique yiddish, airs slaves et tourbillons turcs, le brassage d'influence swingue avec vivacité » Télérama
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« Un hommage plein d’authenticité et de légitimité » par Action Jazz
Categories : Press« Le saxophoniste Claude Tissendier a été membre du Big Band de Claude Bolling durant 35 ans. Ce big band de 17 musiciens, son chef l’a porté à bout de bras et de finances toute sa carrière. On le voyait partout, festivals, télévision, musiques de film… une véritable institution en France et au-delà. Son créateur est décédé en 2020 et les dernières années, depuis 2013, c’était Philippe Milanta qui le remplaçait au piano. Il est présent sur cet album de 14 titres composés par Claude Bolling. Pas de big band cette fois mais un quintet : Claude Tissendier au sax alto et aux arrangements (il a fallu faire des réductions !), Eric Levrard au sax baryton, Philippe Milanta au piano, Pierre Maingourd à la contrebasse (20 ans de maison Bolling), Alain Chaudron à la batterie ; Faby Médina est au chant sur deux titres (12 ans au service du Big Band).Le titre de cet album bourré de swing (comme par hasard ça rime avec Bolling, son vrai nom !) en traduction directe signifiant « nourris les chat [...]
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« Une œuvre d’anthologie » par Paris Move
Categories : Press« Dans la langue limpide et recherchée qui le caractérise, Alain Gerber livre une œuvre d’anthologie, et ce à plus d’un titre. Non content de narrer par le menu la genèse de l’un des genres musicaux majeurs de la seconde moitié du siècle dernier, l’auteur se risque ici à dépeindre et décortiquer l’essence même d’un art dont l’évanescence n’en fut pas moins revendiquée pour qualité cardinale par ses initiateurs même. Les quelques 18 pages qu’il consacre à l’immense (bien qu’énigmatique) João Gilberto comptent ainsi parmi les analyses les plus pertinentes de l’art et de la personnalité de cet artiste notoirement fuyant. Les autres figures emblématiques qu’il énumère ne sont pas en reste (du fantasque Vinicius de Moraes à Tom Jobim, Marcos Valle, Caetano Veloso, Gilberto Gil, Chico Buarque, Baden Powell et Nara Leào). Le dernier tiers de cet ouvrage se consacre à l’imprégnation de la bossa par le gotha du jazz à l’orée des sixties, via des ambassadeurs tels que Dizzy Gillespie, Dave [...]
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« Irrésistible et passionnant » par Paris Move
Categories : Press« Événement: le prolixe et érudit Alain Gerber (par ailleurs directeur artistique de la collection jazz “The Quintessence”, chez Frémeaux), se fend à nouveau d’une de ces foisonnantes exégèses dont il a le secret – cette fois à propos de la bossa, à laquelle on adjoignit à sa naissance l’épithète nova. Bossa nova (littéralement “nouvelle vague” en portugais), ou l’histoire d’une révolution douce, initiée en catimini dans les faubourgs de Copacabana au mitan des années 50. Sous la présidence de Juscelino Kubitschek, le Brésil connaissait alors un vent de libéralisme (terme n’ayant alors guère à voir avec son acception antagoniste de nos jours). De même qu’en Europe et aux États-Unis à la même période, la jeunesse y aspirait à l’émancipation, et sous ses latitudes tropicales, la langueur nonchalante avec laquelle ses créateurs portèrent la bossa sur les fonds baptismaux séduisit d’abord la génération montante, animée d’une bourgeonnante soif de vivre. Le phénomène aurait pu rester c [...]
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« Un hommage intimiste à neuf chansons » par Jazz Mania
Categories : Press« La qualité et la puissance mélodiques des compositions de Paul McCartney et de John Lennon pour les Beatles sont d’une telle évidence que, même avec un accompagnement minimaliste, elles continuent de nous séduire. Sara Longo est chanteuse et Alvise Seggi l’accompagne à la contrebasse ou au violoncelle. A eux deux, ils rendent un hommage intimiste à neuf chansons / classiques des Beatles en leur prodiguant une approche carrément jazzy et le charme opère dès la première écoute. Sur quelques titres, cinq, quelques instrumentistes apportent leur soutien : un violon, un trombone, un orgue Hammond (magnifique sur « Eleanor Rigby »), une batterie et des percussions. C’est souvent un appui prodigué avec efficacité, mais aussi avec parcimonie. Pour le reste, le duo captive avec ce soutien jazzy qui sait varier aussi bien vers le swing que vers la pop ou le solennel. Sara possède une superbe voix qu’elle module avec aisance ou parfois grâce à des effets (« Let It Be » presque religieux) e [...]