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  • Tout Arletty, ça vous dit ? - Par La Montagne
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    Tout Arletty, ça vous dit ? On y trouve évidemment "Atmosphère !? Atmosphère !? Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?", sa tirade culte dans Hôtel du Nord (1938), qui l’installe dans la légende du cinoche. Mais ces deux disques déroulent bien davantage tant Léonie Bathiat dite Arletty (1898-1992), la môme de Courbevoie, était aussi à l’aise au micro que devant une caméra. Elle avait fait ses classes dans l’opérette et au music-hall, et ça nous vaut un éclatant bouquet de complaintes, de goualantes et de chansons lestes, voire carrément grivoises qu’elle interprétait comme personne, avec son accent inimitable (A La Villette, Coeur de Parisienne, J’enlève ma liquette, Comme de bien entendu, qu’elle chante avec son grand pote Michel Simon...). Cette anthologie épatantes (aux éditions Frémeaux & associés) offre aussi deux lectures, épiques, d’extraits de Mort à crédit (Louis-Ferdinand Céline, 1936), et puis des poèmes de (et lus avec) son autre copain, Jacques Prévert. Que du très [...]

  • « Une bibliothèque sonore conçue comme un jardin antique »
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    "Peut-on rêver mieux que cette bibliothèque sonore de Frémeaux & Associés conçue comme un jardin antique ? Déambuler au bras des plus brillantes figures qui font l’intelligence, la créativité de notre monde, c’est possible et nous n’avons que l’embarras du choix ! Moi ce sera Violaine Sebillotte, la spécialiste des femmes de la Grèce antique !" Caroline Fourgeaud-Laville (Autrice de "Le grec pour tous")

  • « Déjà deux références jazz qui retiennent toute notre attention » par Soul Bag
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    Le label Frémeaux & Associés, qui nous régale régulièrement avec des anthologies historiques dans les domaines les plus variés, élargit son offre et se met aux livres (versions papier et numérique). On imagine que le soin apporté aux disques se retrouvera dans les réalisations de ce qu’il convient donc désormais d’appeler les éditions Frémeaux & Associés. Pas encore de blues ou de soul au programme (ça ne saurait tarder !), mais déjà deux références jazz qui retiennent toute notre attention. Par SOUL BAG

  • « C’est magistral » par Le Soir (Bruxelles)
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    C’était le 14 avril 1987, au Festival international de guitare de Liège, dirigé par un autre guitariste, belge lui, Guy Lukowski. Le Brésilien Baden Powell de Aquino était au programme. Sa prestation a été enregistrée. C’est ce concert que sort aujourd’hui Frémeaux & Associés. Guy Lukowski écrit sur la pochette de l’album : « Le voilà, impassible, glissant vers son tabouret, cigarette au doigt. Et c’est la fièvre, les doigts s’énervent sur les cordes, le mouvement s’accélère et la bossa nova, fille de samba, rythme nos pulsations. Sa guitare emplit l’espace et déroule des accords nouveaux. Et puis, il chante dans un murmure qui nous fige. » La bossa nova est née à la fin des années 50 au Brésil. Jobim, le maître du genre, dit qu’elle est « née de la rencontre entre la samba brésilienne et le jazz moderne ». Baden Powell en est un des grands interprètes. Cet enregistrement est la parfaite illustration de la virtuosité, du talent, de la musicalité de ce guitariste, mort en 2000 à 63 [...]

  • « Les baguettes et la plume » par Jazz Magazine
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    On aurait pu intituler l’ouvrage : « Les baguettes et la plume ». Dans ce très original récit autobiographique Alain Gerber raconte, tambour battant, l’histoire d’un aspirant batteur, longtemps abattu par ses insuffisances, qui se décide à l’âge de la retraite à recharger ses batteries pour enfin « travailler » son instrument et découvrir cette évidence longtemps refoulée : « le batteur que je ne serai jamais m’aura été plus proche que le professeur, le journaliste, l’homme de radio, l’écrivain que je fus ». En 2008, Alain Gerber, pour cause de limite d’âge, fut chassé des ondes de France Musique où il animait une émission quotidienne aujourd’hui culte : « Le jazz est un roman ». Fort meurtri par ce brutal « remerciement », cet ours solitaire et « irrécupérable timide » trouva à Toulon deux ans plus tard dans une maison dotée d’un cabanon où il séjourne désormais une heure par jour pour y tambouriner assidument en toute allégresse. « Chaque fois que je franchis les portes de mon c [...]

  • « Une intégrale réjouissante » par Travellingue
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    Si elle a commencé comme secrétaire, Léonie Maria Julia Bathiat, plus connue sous le nom d’Arletty, a mis à « profit » sa relation avec un jeune armateur, Jacques-Georges Lévy pour découvrir la « haute » société, les grands couturiers, la littérature avant de quitter son compagnon et de mener une carrière en solo comme mannequin chez Paul Poiret. C’est en faisant connaissance avec le marchant de tableau Paul Guillaume – qui fut l’ami de Picasso et Modigliani – qui la recommande au directeur du Théâtre des Capucines, Armand Berthez, qu’elle passe des auditions et est engagée pour deux figurations. C’est lui qui va angliciser son nom qui deviendra son nom d’artiste. Le succès va vite venir et, en 1922, Arletty est à l’affiche de cinq spectacles dont une opérette. Au cinéma, elle débute aussi dans l’adaptation de La Garçonne, de Victor Margueritte où elle figure au côté de Marie Bell, Suzy Solidor et Edith Piaf, une jeune débutante. Mais, c’est en chanteuse, dans le rôle de Clémentin [...]

  • « Monk en uno de sus mejores momentos » par Rock Bottom Magazine
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    … « Aqui tenemos casi dos horas de hard bop y bebop con Monk en gran forma. » … « Este es un disco genial para comprobar la originalidad y grandeza de su sonido. » Par Txema MAÑERU  - ROCK BOTTOM MAGAZINE

  • « J.J.J. était un géant et ce volume le prouve » par Jazz News
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    Quel bonheur de voir arriver un nouveau volume de la collection dirigée par Alain Gerber depuis des années, cette fois-ci épaulé par les experts Jean-Claude Ricard (qui fait honneur au statut de remplaçant du regretté Alain Tercinet) et Jean Buzelin ! Bonheur double puisque le tromboniste jay Jay Johnson est honoré comme son génie le mérite. Celui qui fut le « Charlie Parker de son instrument » (souvent considéré comme malcommode) et chez qui « la mélodie fut l’objet d’une quête permanente » a gravé parmi les plus belles pages du jazz moderne – avec Bird, Dizzy, Sonny Stitt, Benny Carter ou Miles – en réalisant le prodige de ne jamais se mettre « au service de sa virtuosité ». J.J.J. était un géant et ce volume le prouve une fois de plus. Par Bruno GUERMONPREZ - JAZZ NEWS

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