CHOC CLASSICA REPERTOIRE / RECOMMANDÉ PAR RADIO FRANCE / RECOMMANDÉ PAR FRANCE MUSIQUE / GRAND PRIX RÉÉDITION DU HOT CLUB DE FRANCE / RECOMMANDÉ PAR L'EXPRESS
On peut sans crainte affirmer que parmi les plus incontestables artistes qu’ait produit le vingtième siècle, seul Charles Chaplin fut aussi universellement reconnu que Louis Armstrong. Dan MORGENSTERN, Directeur de l’Institut des Jazz Studies, Rutgers University
It is safe to say that among performing artists of the 20th century, only Charlie Chaplin was as universally recognized as Louis Armstrong. Dan MORGENSTERN, Director, Institute of Jazz Studies, Rutgers University
DIRECTION ARTISTIQUE : Daniel NEVERS
DROITS : DP / FREMEAUX & ASSOCIES
CD 1 - “THIS IS JAZZ” (RADIO – 25 OU/OR 26/04/1947) : PRESENTATION & THEME WAY DOWN YONDER IN NEW ORLEANS - WHEN THE SAINTS GO MARCHIN’ IN - 2:19 BLUES - DO YOU KNOW WHAT IT MEANS TO MISS NEW ORLEANS ? - DIPPERMOUTH BLUES - BASIN STREET BLUES - HIGH SOCIETY - YOU RASCAL YOU - THEME : WAY DOWN YONDER IN NEW ORLEANS • TOWN HALL CONCERT (17/05/1947) : PRESENTATION PAR/BY FRED ROBBINS & CORNET CHOP SUEY - OUR MONDAY DATE - DEAR OLD SOUTHLAND - BIG BUTTER AND EGG MAN - STRUTTIN’ WITH SOME BARBECUE - SWEETHEARTS ON PARADE - ST. LOUIS BLUES - PENNIES FROM HEAVEN - ON THE SUNNY SIDE OF THE STREET - I CAN’T GIVE YOU ANYTHING BUT LOVE - BACK O’TOWN BLUES - AIN’T MISBEHAVIN’ - MUSKRAT RAMBLE.
CD 2 - TOWN HALL CONCERT (17/05/1946) : TIGER RAG - ROCKIN’ CHAIR - SAVE IT PRETTY MAMA - ST. JAMES INFIRMARY - ROYAL GARDEN BLUES - DO YOU KNOW WHAT IT MEANS TO MISS NEW ORLEANS ? - JACK-ARMSTRONG BLUES • LOUIS ARMSTRONG IN HENRY MORGAN SHOW (RADIO – 21/05/1947) : PANAMA - WHEN THE SAINTS GO MARCHIN’ IN • LOUIS ARMSTRONG AND HIS ALL-STARS (RCA SESSION – 10/06/1947) : JACK-ARMSTRONG BLUES - ROCKIN’ CHAIR - SOME DAY (YOU’LL BE SORRY) - FIFTY-FIFTY BLUES • LOUIS ARMSTRONG AND THE ORIGINAL ALL-STARS (CONCERT & RADIO – 19/06/1947) : PRESENTATION & WAYDOWN YONDER IN NEW ORLEANS - BASIN STREET BLUES - MUSKRAT RAMBLE - DEAR OLD SOUTHLAND - DO YOU KNOW WHAT IT MEANS TO MISS NEW ORLEANS ? - SOME DAY (YOU’LL BE SORRY) - TIGER RAG • “LEADER’S ORCHESTRA” (FILM A SONG IS BORN – 08/1947) : GOLDWYN STOMP - A SONG WAS BORN (VERSION I).
CD 3 - “LEADER’S ORCHESTRA” (FILM A SONG IS BORN – 08/1947) : A SONG WAS BORN (VERSION II) • LOUIS ARMSTRONG AND HIS ALL-STARS (CONCERT “SYMPHONY HALL”, BOSTON – 30/11/1947) : MUSKRAT RAMBLE - BLACK AND BLUE - ROYAL GARDEN BLUES - STARS FELL ON ALABAMA - ICRIED FOR YOU - SINCE I FELL FOR YOU - TEA FOR TWO - BODY AND SOUL - MAHOGANY HALL STOMP - STEAK FACE - ON THE SUNNY SIDE OF THE STREET - HIGH SOCIETY - THAT’S MY DESIRE - BABY WON’T YOU PLEASE COME HOME - BOFF BOFF (MOP MOP).
Liste des articles de presse consacrés à ce CD :
- « Trois heures solaires incomparables » par Classica Répertoire
Une des grandes entreprises discographiques de notre époque se poursuit avec ce treizième volume de l’intégrale de Louis Armstrong. Comme les précédents, celui-ci détaille en un livret illustré de 28 pages comprenant une discographie méticuleuse la production musicale du trompettiste au cours de l’année 1947 regroupée sur trois CD. Les moments marquants : les concerts au Town Hall de New York en mai et au Symphony Hall de Boston en novembre ; mais aussi l’émission de radio « This is Jazz », enfin convenablement restaurée, et la musique pré-enregistrée aux côtés de Benny Goodman, Lionel Hampton et Louis Bellson pour la bande sonore du film d’Howard Hawks « A Song Is Born ». Armstrong, qui approche alors la cinquantaine y demeure impérial, éclatant. En ces temps de morosité chronique, profitons de ces trois heures solaires incomparables. Par Jean-Pierre JACKSON – CLASSICA REPERTOIRE
- « Il reste insurpassable » par Jazz Mag-Jazzman Treizième volume de cette intégrale Louis Armstrong, concoctée par Daniel Nevers. Avec amour, humour et une érudition qui laisse toujours pantois. Rien, dans le copieux livret, qui n’ait été vérifié, recoupé, justifié par des témoignages de musiciens ou de spécialistes. Un travail de bénédictin. Le moindre doute sur une date, la moindre interpolation de morceau donnent lieu à des investigations dignes d’une enquête policière. Des anecdotes significatives viennent parfois illustrer le propos. C’est assez dire que nous tenons là un texte de référence. Il est consacré à l’année 1947, un tournant dans la carrière de Satchmo qui se voit contraint, devant la crise des big bands, de condenser l’effectif de ses formations et d’adopter la formule du all-stars. Il la conservera, avec de nombreux changements, jusqu’à la fin de sa carrière. A l’époque, il ne réduit pas pour autant ses activités, se multipliant sur tout les fronts, cinéma (New Orleans, A Song Is Born), concerts (au Town Hall, au Symphony Hall), radio (This Is Jazz, Henry Morgan Show), séances de studio. Tout cela, d’un intérêt inégal - difficile de se maintenir, avec constance sur les sommets ! – ne saurait pourtant laisser indifférent. Ne serait-ce que pour comparer plusieurs versions d’un même morceau. Et se rendre compte que certains partenaires du trompettiste mériteraient d’être redécouverts. Je pense notamment au tromboniste George Brunis, qu’éclipsa plus ou moins le succès de Jack Teagarden. Ou encore au Cozy Cole (Tiger Rag). Quant à Armstrong lui-même, s’il chante désormais plus volontiers que naguère, il n’a rien perdu, à la trompette, de sa sonorité, de son swing, de son imagination. Ni de cet art d’irradier et de communiquer la joie. En quoi il reste insurpassable. Jacques ABOUCAYA/JAZZ MAG-JAZZMAN
- « Armstrong y demeure Impérial » par L’Express Une des grandes entreprises discographiques de notre époque se poursuit avec ce treizième volume de l’intégrale Louis Armstrong. Comme les précédents, celui-ci détaille en un livret illustré la production musicale du trompettiste au cours de l’année 1947 regroupée sur trois CD. Les concerts marquants mais aussi l’émission de radio « This Is Jazz », enfin convenablement restaurée, et la musique préenregistrée aux côtés de Benny Goodman, Lionel Hampton et Louis Bellson pour la bande sonore du film d’Howard Hawks « A Song Is Born ». Armstrong, qui approche alors la cinquantaine y demeure impérial. Par L’EXPRESS
Liste des crédits sur ce CD :
H. Creamer , Louis Armstrong And Orchestra , T. Layton , Traditionnel , Desdoune , E. De Lange , L. Alter , J. Oliver , Sp. Williams , P. Steele , S. Theard , Louis Armstrong's Quartet , E. Hines , Louis Armstrong & Dick Cary , Venable , L. Hardin , Louis Armstrong And His Orchestra , Newman , C. Lombardo , W.c. Handy , Burke , Johnston. , D. Fields , J. Mchugh , L. Russell , A. Razaf , T. Waller , Ed Ory , D.j. La Rocca , H. Carmichael , D. Redman , J. Primerose , C & Sp. Williams , Jack Teagarden , W.h. Tyers , W.h Tyers , Louis Armstrong And His All-stars , B. Moore Jr , Louis Armstrong And His Original All-stars , D.j. Larocca , D. Raye , Louis Armstrong And The All-stars , T.w. Waller , Parish , Perkins , G. Arnheim , A. Lyman , Johnson , I. Caesar , V. Youmans , Sour , Heyman, Green , L. Loveday , Helmy Kresa , C. Warfield , C. Williams , C. Hawkins