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« Un beau voyage » Le Soir
Categories : PressDesafinado, Garota de Ipanema, Corcovado, Agua de Beber, Chanson sur une seule note, tous ces morceaux sont devenus des tubes intemporels. Ils sont nés au Brésil, il y a plus de 70 ans, grâce à des musiciens comme Antonio Carlos Jobim, João Gilberto, Vinicus de Moraes, Johnny Alf, Luis Bonfa. C’est de la samba, musique populaire par excellence, mélangée à du jazz cool. Cette musique se développe à Rio de Janeiro et éclate dans le monde, grâce à des artistes de jazz comme Stan Getz, Charlie Byrd, Dizzy Gillespie, Coleman Hawkins, Dave Brubeck, Quincy Jones et même Sonny Rollins et Bob Brookmeyer. On se r appelle le succès incroyable de Jazz Samba, de Getz et Byrd, et celui des disques de Getz avec Astrud Gilberto. Cette odyssée de la bossa nova, l’écrivain et critique Alain Gerber la raconte avec justesse et talent dans le livre et l’illustre en musique dans le coffret. Un beau voyage. » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Un vrai showman » Le Soir
Categories : Press« Dans les années 1950, Lionel Hampton est une star. Il a joué avec le grand orchestre de Benny Goodman, a monté son propre band, parcourt le monde, s’arrête à Paris, qu’il adore. Et il joue. A l’Olympia, devant des foules déchaînées, pendant plusieurs jours, en janvier 1956 et en mars 1961. « Entertainer acharné, Lionel Hampton est réputé en France pour être aussi populaire que Gilbert Bécaud », écrit un chroniqueur de l’époque. « Lionel livre une prestation haletante, suivie par un public debout qui danse le be bop jusqu’à la transe. » C’était au temps où le jazz était populaire. Lionel Hampton était né en 1908, il est mort en 2002. I l a marqué le jazz par son rythme – il était d ’abord batteur –, par sa science du vibraphone dont il fut le premier vrai soliste, par son enthousiasme et sa joie de jouer. Hampton était un vrai showman, il arpentait la scène, devenait magicien dès qu’il empoignait ses maillets, soulevait l’énergie de ses quinze musiciens, offrait du bonheur à des [...]
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« Une passionnante leçon d’histoire » Le Soir
Categories : Press« On vient encore de le remarquer avec la mort de Jimmy Cliff la semaine dernière : les musiques des Caraïbes ont formidablement influencé les musiques américaines qui, elles, ont influencé le monde entier. Et pourtant, on n’en parle que peu. De Bob Marley, de Peter Tosh, de Harry Belafonte, oui, mais de ce mouvement global venu de la Jamaïque, de Cuba, de la Martinique, de Haïti, pas grand-chose. C’est pourtant là, dans ce berceau créole, que la musique américaine, et le jazz en particulier, ont puisé la salsa, le rap, la soul, le ska, le funk… Bruno Blum retrace cette fusion musicale AntillesEtatsUnis comme une passionnante leçon d’histoire. Et on peut le lire en écoutant les chansons qu’il a lui-même choisies. »Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Le graal pour les vrais fans » par Le Soir
Categories : Press« Ray Charles, c’est une icône. What’d I say, chanté au piano avec les Raelettes derrière, en 1959, Georgia on my mind, si triste, Hit the road Jack, qui fut un immense hit dès 1961, Unchain my heart enregistré en 1961 encore. On se rappelle ses lunettes noires et sa tête qui valsait de droite à gauche du micro. De son abattage, du grain de sa voix, de son blues, de la soul qu’il dégageait. De son combat pour les droits civiques. L’homme a beaucoup enregistré, pendant 50 ans et avec des tas de formations et d’artistes. Les disques, les coffrets ne manquent pas. Comment s’y retrouver ? Ce livre est là pour ça. Joël Dufour a rassemblé dans ce livre l’ensemble des sessions studios et des concerts enregistrés, classés par labels, périodes, formations et supports. Le graal pour les vrais fans. »Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Un musicien qui affine petit à petit son style » par Le Soir
Categories : Press« John Barry, c’est évidemment le thème des James Bond. L’équipe de James Bond contre Dr No n’était pas satisfaite de la musique proposée par Monty Norman, elle demande alors à John Barry d’arranger ce thème, et il en fait l ’un des plus connus au monde. Et qui reste encore aujourd’hui le thème principal de tous les films de la saga, dont il fait toutes les musiques jusqu’en 1987. John Barry fut aussi le mari de Jane Birkin, dont il eut une fille, Kate, décédée en 2013. Et c ’est le premier à avoir introduit le synthétiseur dans les musiques de film. C ’est le début de la carrière du compositeur que retrace cet album, de 1957, avec son groupe de rock The John Barry Seven, il a alors 24 ans, aux musiques de jazz puis de films. Il composera encore beaucoup après 1962, bien sûr, pour The Cotton Club, Out of Africa, The Scarlet Letter, etc. Mais là, on voit un musicien qui affine petit à petit son style. » Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Le plus grand improvisateur de l’histoire du jazz » par Le Soir
Categories : Press« Pour un oiseau comme le Bird, comme on appelait le saxophoniste américain, il fallait un ornithologue comme Alain Tercinet, expert en bebop, en Getz et en Parker. « Bird était un drôle d’ovni, oiseau volant non identifié », dit Pascal Anquetil dans sa préface. « Force de la nature, champion hors catégorie de l’intempérance et de l ’abus, il était exceptionnel en toutes choses. » Dans cette bio, Alain Tercinet peint la route difficile d’un créateur insatiable, soumis à des oppressions insupportables, le fait d ’être noir dans cette société américaine, les addictions, et pourtant flamboyant dès qu’il mettait ses lèvres en contact avec l’anche de son sax. Il est sans doute le plus grand improvisateur de l’histoire du jazz. Ecoutez-le, c’est incroyable. Et, justement, Frémeaux a édité l’intégrale de Parker en treize coffrets. Aussi un fameux cadeau ! » Par JEAN-CLAUDE VANTROYEN
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« Du sourire dans sa musique » par Le Soir
Categories : Press« Qui connaît encore Henri Crolla ? « Après lui, il n ’y a plus de guitaristes », a pourtant dit Naguine, l’épouse de Django Reinhardt. C’était en effet un guitariste, né en 1920 et décédé en 1960. Il fit du jazz, des musiques de film, de la chanson. Il était l ’accompagnateur attitré d’Yves Montand dans les années 40 et 50. Il travailla avec Mouloudji, Germaine Montero, Edith Piaf. Il fit les musiques de films d ’Astruc, Grangier (le fameux Gasoil, avec Gabin), Boisrond… Il joua même l ’acteur dans quelques films. Ce fils spirituel de Jacques Prévert et Paul Grimault, ce frère de rue de Mouloudji, cet ami de Montand, donna aussi une famille à un Jacques Higelin débutant en l’hébergeant chez lui. Cet homme trop tôt disparu, on peut le découvrir grâce à ce coffret qui englobe sa carrière. Et on peut le dire : il avait de la gnaque, du talent, de la poésie et du sourire dans sa musique. » Par JEAN-CLAUDE VANTROYEN
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« Des concerts légendaires » par Action Jazz
Categories : Press« Chez Frémeaux et Associés on aime le jazz et en particulier son histoire. Albums, livres la retracent à travers diverses collections très complètes. Au tour de Lionel Hampton de venir percuter ses mailloches avec ce double CD qui font revivre des concerts légendaires à Paris en 1956 et 1961.Le roi Hamp, le lion du swing est alors au sommet de sa gloire et en 1956, il repart pour l’Europe pour une tournée de 300 concerts dans 13 pays qui va durer 7 mois. Il restera du 19 janvier au 7 février à l’Olympia avec son big band. Du grand spectacle, le public en folie pour cette musique irrésistible délivrée par ce personnage hors normes. Après les concerts ce sont des jams-sessions au Vieux Colombier avec Claude Luter, Sidney Bechet ; des disques sont enregistrés avec Guy Lafitte, Claude Bolling…Il reviendra le 25 mars 1961 toujours à L’Olympia toujours dans une ambiance folle et enthousiasmante « Les trompettes se balancent comme des palmes sous le vent. Les saxos se balancent comme de [...]
