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« La moisson est inespérée ! » par Le Figaro Magazine
Categories : Press« […] Dans un diptyque disque-livre, l’éditeur met à l’honneur Jimmy Gourley, guitariste américain disciple du grand Jimmy Raney qui, installé à Paris, y fera école à son tour, fixant les acquis du be-bop et du jazz cool sur les rives de la Seine avec la crème du jazz parisien (et américain de passage). Avec son lot d'enregistrements jamais réédités jusqu’alors et un demi-siècle idéalement résumé en trois CD, la moisson est inespérée ! » Bruno GUERMONPREZ – Le Figaro Magazine
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« Henri Crolla savait tout faire » par Le Figaro Magazine
Categories : Press« Les talents de ce guitariste trop méconnu et fauché par la mort à peine franchie la quarantaine étaient aussi immenses que nombreux. Jazzman (entouré des meilleurs de son temps), accompagnateur de stars de la chanson (Mouloudji, Piaf et surtout Yves Montand, qui reconnaissait sa dette envers lui), compositeur de musique de films, acteur et même poète à sa manière (Prévert le surnomma « mille-pattes » en hommage à son éloquente virtuosité, pétrie de décontraction et d'émotion) : Henri Crolla savait tout faire. La belle anthologie savamment concoctée par Stéphane Carini (accompagnée d'une monographie quasi définitive sur son sujet) nous rappelle son génie, voisin de celui de Django Reinhardt, son ami […]. » Bruno GUERMONPREZ – Le Figaro Magazine
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Recommandé par L’Osservatore (Italie)
Categories : Press« Per chi non conosce Miles Davis, vi consigliamo per cominciare i cofanetti antologici in CD realizzati dalla francese Frémeaux et Associés (i due volumi The Quintessence, che ne riassumono l’attività dei primi quindici anni), e, della stessa etichetta, l’album dal vivo Live in Paris, 4 CD contenenti splendidi concerti parigini del 1960 e 1961. » Par Luca CERCHIARI – L’OSSERVATORE
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« Un ouvrage qui vous éclairera par-delà vos espérances » par Paris Move
Categories : Press« Swanny Elzingre désigne son art et son métier sous un vocable que le Petit Robert et l’Académie Française assimilent de nos jours encore à un outil agricole (“machine à égréner les céréales”!). Décidément à la pointe sur ce thème, la maison Frémeaux, après les exemplaires “Deux petits bouts de bois – Une autobiographie de la batterie de jazz” d’Alain Gerber et “La naissance de la batterie – Les origines de la batterie et les premiers batteurs à La Nouvelle-Orléans” de Guillaume Nouaux (tous deux dûment chroniqués ICI et ICI) donne à présent la parole à cette jeune batteuse (non, on ne dit pas battrice, Patrice), et son livre est une plongée dans son itinéraire personnel, depuis son tout premier kit cofinancé par son papa jusqu’à ses tournées internationales au sein du trio pop-rock actuel Juniore. En chemin, elle nous fait part de ses réflexions sur la musique, ainsi que sur la part congrue qu’y tiennent encore trop souvent les femmes, mais sans pathos ni gémissements excessifs. [...]
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« Chapeau bas ! » par Blues Magazine
Categories : Press« Couronnant des décennies de patientes et exigeantes recherches d’un passionné, ce remarquable ouvrage bilingue couvre l’oeuvre prolifique de Ray Charles, enregistrée depuis ses débuts en 1948 jusqu’à sa fin en 2004. Ayant pris la précaution d’avertir le lecteur de sa prédilection pour la période la plus féconde et novatrice du Genius, celle des blues, du R&B imbibé de gospel et du soul jazz créés avec sa petite formation dans les années 50, Joël Dufour, collaborateur de Soul Bag et spécialiste reconnu de Brother Ray, pose quelques nécessaires jalons biographiques préalables puis, selon un ordre chronologique, commente les différentes influences et étapes de la carrière discographique du prodigieux musicien pionnier de la soul, compositeur, interprète, arrangeur, chanteur, pianiste, organiste et saxophoniste, à travers ses enregistrements produits sous son nom, puis à travers les albums auxquels il a participé. Dans ses commentaires, l’auteur aborde les différents styles que Ray [...]
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« Le timbre le plus classe de la nouvelle scène française » par Faces
Categories : Press« Stéphanie Acquette est probablement la chanteuse pop qui a le timbre le plus classe de la nouvelle scène française. Aperçue au sein du groupe à géométrie variable Les Clopes, elle est revenue toute seule cette année avec un nouvel EP, « Mes Soeurs », réalisé avec le nom moins classe Fred Pallem qui a produit ces 5 titres entre variété et pop, message sonore et mélodique dont le très beau premier titre, « Amour Charnel », annonce la couleur suave et addictive. Entre les références aux grandes dames brunes qui peuplent la chanson française et ses nouvelles consoeurs à succès (pour faire vite entre Clara Luciani et Anne Sylvestre), Stéphanie Acquette réussit en 5 titres à œuvrer à une forme d’intemporalité tout étant bien d’aujourd’hui. Nous, perso, on adore ces 5 titres qui nous accompagnent depuis leur sortie en Octobre et on espère un album au moins aussi réussi pour la suite ! Rencontre passionnante sur la voix, la sophistication et la chanson populaire. » Par Nicolas VIDAL [...]
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« Le son de la résistance » par Télérama
Categories : PressDu reggaeton de Bad Bunny au shatta d'Aya Nakamura, quantité de musiques actuelles prennent racine dans les îles caribéennes à l'époque de l'esclavage. Loin de l'imagerie exotique associée aux rythmes créoles.Il existe un point commun entre la plupart des musiques sur lesquelles on danse aujourd'hui dans les clubs de Paris, Buenos Aires ou Kuala Lumpur ; entre les airs que l'on entend dans les rues de Lagos, les karaokés de Tokyo ou sur les rooftops de Dubai; entre les tubes diffusés à la radio du Portoricain Bad Bunny, star mondiale du reggaeton, ou de la Française Aya Nakamura, qui s'essaye au shatta martiniquais sur son nouvel album. Tous plongent plus ou moins profondément leurs racines dans un minuscule territoire, les Caraïbes, et dans le bouleversement considérable qui s'y est perpétué durant quatre siècles : la traite atlantique et l'esclavage.Les îles caribéennes constituent le creuset des musiques populaires d'aujourd'hui, grâce à un processus de
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« Un livre qui servira de référence » par Abs Mag
Categories : Press« Au même titre que les musiques (pourtant évidentes !) des Indiens d’Amérique influencent une partie du blues, les Caraïbes ont elles aussi largement possédées les musiques Afro-Américaines. A l’instar de la musique Hawaïenne qui prendra une importance notable dans les compositions des musiciens noirs dès la fin du 19ème siècle. On pense à Son House qui citait souvent cette influence et on revoit cette image d’un Blind Lemon Jefferson avec sa guitare sur les genoux, dans le style d’un Kekuku (Joseph Kekuku, 1874-1932) dont la paternité de la steel guitar est aujourd’hui reconnue (Charles DeLano, « Musique hawaïenne à Los Angeles »). Nombreuses sont les influences qui ont enrichi cette musique et pourtant, durant fort longtemps, peu de spécialistes parlaient de ces ascendances qui nourriront les deux plus grands piliers musicaux que sont le Jazz et le Blues. L’esclavage, ce crime contre l’humanité, qui mit à nu des dizaines de millions d’Africains (mais pas que !) ne leur enlevère [...]
