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« Un livre qui servira de référence » par Abs Mag
Categories : Press« Au même titre que les musiques (pourtant évidentes !) des Indiens d’Amérique influencent une partie du blues, les Caraïbes ont elles aussi largement possédées les musiques Afro-Américaines. A l’instar de la musique Hawaïenne qui prendra une importance notable dans les compositions des musiciens noirs dès la fin du 19ème siècle. On pense à Son House qui citait souvent cette influence et on revoit cette image d’un Blind Lemon Jefferson avec sa guitare sur les genoux, dans le style d’un Kekuku (Joseph Kekuku, 1874-1932) dont la paternité de la steel guitar est aujourd’hui reconnue (Charles DeLano, « Musique hawaïenne à Los Angeles »). Nombreuses sont les influences qui ont enrichi cette musique et pourtant, durant fort longtemps, peu de spécialistes parlaient de ces ascendances qui nourriront les deux plus grands piliers musicaux que sont le Jazz et le Blues. L’esclavage, ce crime contre l’humanité, qui mit à nu des dizaines de millions d’Africains (mais pas que !) ne leur enlevère [...]
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« Indispensable » par Abs Mag
Categories : Press« En 1959, Joël Dufour a été foudroyé par le 45 tours de Ray Charles avec What’d I Say, Blackjack et Heartbreaker. Une dizaine d’années plus tard je subis le même sort avec le 45 tours Greenbacks, Come Back Baby et Black Coffee déniché dans la discothèque de mon père et écouté sur le Teppaz de la salle de séjour. Je ne suis, depuis, qu’un simple grand amateur de la musique de Ray Charles quand Joël Dufour est devenu le plus grand spécialiste mondial de l’artiste. Son expertise de l’œuvre monumentale du Genius est universellement reconnue. « Ray Charles on records – discographie complète de Ray Charles » que publie Frémeaux & Associés est une espèce de précipité final dans lequel se résout, s’exprime, se synthétise et se cristallise un long processus d’écoute passionnée de toute la musique de Ray Charles, quel que soit le support : 78 tours, 45 tours, LPs vinyle, CDs, cassettes VHS, DVDs, apparitions radio, télévision et cinéma. De nombreux articles dans Soul Bag et la production d [...]
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« Magnifique objet ! » par ABS Mag
Categories : Press« Magnifique objet ! 5 CD et 108 titres qui retracent une partie importante de sa carrière. Shirley Bassey, avec cent quarante millions de disques vendus, est une icône de la chanson en Grande Bretagne. Née au Pays de Galles, elle est reconnue dans le monde entier pour sa voix et son talent. Lorsqu’elle chante le blues dans son album « Born to sing the blues » avec des classiques comme Beale street blues, Basin street blues ou Careless love, on est loin du vrai blues, mais on plaît au grand public. Dans « The fabulous Shirley Bassey », le répertoire dit tout : A foggy day in London, April in Paris. Voici donc un coffret de grande qualité mais qui s’adresse plus au grand public qu’à l’amateur de blues chevronné. Une biographie est parue en 2008 intitulée : « Diamond Diva » et en 1999 Shirley Bassey fut élevée au rang de Dame de l’ordre de l’Empire britannique par la reine d’Angleterre. Une riche carrière, sans aucun doute ! » Par Marin POUMEROL – ABS MAG
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« Un beau voyage » Le Soir
Categories : PressDesafinado, Garota de Ipanema, Corcovado, Agua de Beber, Chanson sur une seule note, tous ces morceaux sont devenus des tubes intemporels. Ils sont nés au Brésil, il y a plus de 70 ans, grâce à des musiciens comme Antonio Carlos Jobim, João Gilberto, Vinicus de Moraes, Johnny Alf, Luis Bonfa. C’est de la samba, musique populaire par excellence, mélangée à du jazz cool. Cette musique se développe à Rio de Janeiro et éclate dans le monde, grâce à des artistes de jazz comme Stan Getz, Charlie Byrd, Dizzy Gillespie, Coleman Hawkins, Dave Brubeck, Quincy Jones et même Sonny Rollins et Bob Brookmeyer. On se r appelle le succès incroyable de Jazz Samba, de Getz et Byrd, et celui des disques de Getz avec Astrud Gilberto. Cette odyssée de la bossa nova, l’écrivain et critique Alain Gerber la raconte avec justesse et talent dans le livre et l’illustre en musique dans le coffret. Un beau voyage. » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Un vrai showman » Le Soir
Categories : Press« Dans les années 1950, Lionel Hampton est une star. Il a joué avec le grand orchestre de Benny Goodman, a monté son propre band, parcourt le monde, s’arrête à Paris, qu’il adore. Et il joue. A l’Olympia, devant des foules déchaînées, pendant plusieurs jours, en janvier 1956 et en mars 1961. « Entertainer acharné, Lionel Hampton est réputé en France pour être aussi populaire que Gilbert Bécaud », écrit un chroniqueur de l’époque. « Lionel livre une prestation haletante, suivie par un public debout qui danse le be bop jusqu’à la transe. » C’était au temps où le jazz était populaire. Lionel Hampton était né en 1908, il est mort en 2002. I l a marqué le jazz par son rythme – il était d ’abord batteur –, par sa science du vibraphone dont il fut le premier vrai soliste, par son enthousiasme et sa joie de jouer. Hampton était un vrai showman, il arpentait la scène, devenait magicien dès qu’il empoignait ses maillets, soulevait l’énergie de ses quinze musiciens, offrait du bonheur à des [...]
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« Une passionnante leçon d’histoire » Le Soir
Categories : Press« On vient encore de le remarquer avec la mort de Jimmy Cliff la semaine dernière : les musiques des Caraïbes ont formidablement influencé les musiques américaines qui, elles, ont influencé le monde entier. Et pourtant, on n’en parle que peu. De Bob Marley, de Peter Tosh, de Harry Belafonte, oui, mais de ce mouvement global venu de la Jamaïque, de Cuba, de la Martinique, de Haïti, pas grand-chose. C’est pourtant là, dans ce berceau créole, que la musique américaine, et le jazz en particulier, ont puisé la salsa, le rap, la soul, le ska, le funk… Bruno Blum retrace cette fusion musicale AntillesEtatsUnis comme une passionnante leçon d’histoire. Et on peut le lire en écoutant les chansons qu’il a lui-même choisies. »Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Le graal pour les vrais fans » par Le Soir
Categories : Press« Ray Charles, c’est une icône. What’d I say, chanté au piano avec les Raelettes derrière, en 1959, Georgia on my mind, si triste, Hit the road Jack, qui fut un immense hit dès 1961, Unchain my heart enregistré en 1961 encore. On se rappelle ses lunettes noires et sa tête qui valsait de droite à gauche du micro. De son abattage, du grain de sa voix, de son blues, de la soul qu’il dégageait. De son combat pour les droits civiques. L’homme a beaucoup enregistré, pendant 50 ans et avec des tas de formations et d’artistes. Les disques, les coffrets ne manquent pas. Comment s’y retrouver ? Ce livre est là pour ça. Joël Dufour a rassemblé dans ce livre l’ensemble des sessions studios et des concerts enregistrés, classés par labels, périodes, formations et supports. Le graal pour les vrais fans. »Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Un musicien qui affine petit à petit son style » par Le Soir
Categories : Press« John Barry, c’est évidemment le thème des James Bond. L’équipe de James Bond contre Dr No n’était pas satisfaite de la musique proposée par Monty Norman, elle demande alors à John Barry d’arranger ce thème, et il en fait l ’un des plus connus au monde. Et qui reste encore aujourd’hui le thème principal de tous les films de la saga, dont il fait toutes les musiques jusqu’en 1987. John Barry fut aussi le mari de Jane Birkin, dont il eut une fille, Kate, décédée en 2013. Et c ’est le premier à avoir introduit le synthétiseur dans les musiques de film. C ’est le début de la carrière du compositeur que retrace cet album, de 1957, avec son groupe de rock The John Barry Seven, il a alors 24 ans, aux musiques de jazz puis de films. Il composera encore beaucoup après 1962, bien sûr, pour The Cotton Club, Out of Africa, The Scarlet Letter, etc. Mais là, on voit un musicien qui affine petit à petit son style. » Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
